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musique

Isidore de Séville ne compte que cinq symphonies ou accords, l'octave, la quarte, la quinte, l'octave et la quinte [la douzième] et la double octave.

Auteur: Ortigue Joseph Louis D'

Info: Dict. de plain-chant, au mot symphonie

[ intervalles ] [ technique ] [ historique ]

 

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décadence

Cela n'a aucun sens de parler de sociétés qui réussissent si c'est dans un environnement où les écoles, les hôpitaux, les églises, les symphonies, ou les bibliothèques se détériorent ou se ferment.

Auteur: Garvin Clifton JR.

Info:

[ capitalisme ] [ bêtise ]

 

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gaz

Il y a des choses dans la vie qu'un homme ne peut pas oublier. Je ne parle pas d'épiphanies rectales. Je n'évoque pas de simples bruitages odoriférants. Il s'agissait de colossales symphonies à faire exploser son pantalon.

Auteur: Stahl Jerry

Info: Mémoires des Ténèbres

[ flatulence ] [ pet ]

 

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beaux-arts

Ce que les êtres humains conscients ont peut-être de plus extraordinaire, c'est leur art - leur capacité de transmettre des sentiments et des émotions, de manière symbolique et formelle, à travers des objets externes tels des poèmes, des tableaux ou des symphonies.

Auteur: Edelman Gerald Maurice

Info: Biologie de la conscience, Odile Jacob, 1992

[ . ]

 

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beaux-arts

L'intérêt intuitif que l'art inspire à chaque homme se développera de plus en plus, réalisant toujours des espérances, en faisant naître de nouvelles, ouvrant toujours de nouvelles perspectives jusqu'au jour ou chaque homme murmurera ses propres poèmes, chantera ses propres symphonies (des opéras s'il lui plait) pendant qu'il arrache ses pommes de terre.

Auteur: Ives Charles

Info:

[ futuriste ] [ optimiste ]

 

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progrès

J'ai vécu assez longtemps pour voir le remède à la mort, assister à l'ascension de la société Bitchun, apprendre dix langues étrangères, composer trois symphonies, réaliser mon rêve d'enfance d'habiter à Disney World et assister non seulement à la disparition du lieu de travail, mais du travail lui-même.
Je n'aurais jamais cru voir un jour Dan la Bougeotte décider de se mettre en temps mort jusqu'à la fin thermique de l'univers.

Auteur: Doctorow Cory

Info: Dans la Dèche au Royaume Enchanté

[ science-fiction ]

 

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art pictural

J'obtiens par des arrangements de lignes et de couleurs, avec le prétexte d'un sujet quelconque emprunté à la vie ou à la nature, des symphonies, des harmonies ne représentant rien d'absolument réel, au sens vulgaire du mot, n'exprimant directement aucune idée, mais qui doivent faire penser comme la musique fait penser, sans le secours des idées ou des images, simplement par les affinités mystérieuses qui sont entre nos cerveaux et tels arrangements de couleurs et de lignes...

Auteur: Gauguin Paul

Info:

[ indicible ]

 

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processus créateur

Il [Mozart] écrivait d'un coup tout le morceau en notant d'abord les parties les plus importantes, par exemple, le premier violon, ensuite il ajoutait la basse puis les parties intermédiaires. Il est prouvé cependant que des parties très travaillées comme les passages rapides et contrapuntiques de certains quatuors ou de grandes symphonies ont fait l'objet d'un travail particulier. Landon dans son dictionnaire de Mozart mentionne l'existence d'esquisses pour la symphonie Jupiter, mais d'une façon générale le compositeur, selon l'expression "jetait sur le papier" ce qu'il entendait mentalement dans son intégralité. Cette possibilité, ce don, expliquent que l'ouverture de Don Giovanni ait été "écrite" à Prague entre minuit et six heures du matin la veille de la générale ; écrite, oui sans nul doute, avec les parties de chaque instrumentiste, mais il serait préférable de dire "autodictée" et composée mentalement sans doute depuis plusieurs jours. Pas besoin d'instrument, un bon stock de papier rayé, de bonnes plumes bien taillées, de l'encre noire suffisent [...] 

Auteur: Lechevalier Bernard

Info: Le cerveau de Mozart

[ musique classique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

rapports humains

J'ai souvent remarqué que nous avons tendance à attribuer à nos amis le genre de stabilité que les personnages littéraires acquièrent dans l'esprit du lecteur. (...) Quelle que soit l'évolution de tel ou tel personnage populaire dans un bouquin, son destin se fixe dans notre esprits et nous attendons pareillement de nos amis qu'ils suivent tel ou tel modèle logique et classique que nous leur avons attribué. Ainsi X ne composera jamais la musique immortelle qui entrerait en conflit avec les symphonies de deuxième ordre auxquelles il nous a habitués. Y ne commettra jamais de meurtre. En aucun cas Z ne peut nous trahir. Tout est arrangé dans notre esprit, et moins nous voyons une personne en particulier, plus il est satisfaisant de vérifier à quel point elle se conforme à cette conception que nous avons d'elle chaque fois que nous en entendons parler. Toute déviation dans ces destins par nous ordonnés semble non seulement insolite, mais contraire à l'éthique. Nous aurions préféré ne pas connaître notre voisin, ou le vendeur retraité du stand de hot-dogs, s'il s'avère qu'il vient de produire le plus grand livre de poésie de sa génération.

Auteur: Nabokov Vladimir

Info: Lolita

[ imagination ] [ personnages assignés ] [ représentations ]

 

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tourments internes

Elle a couru derriere moi, la folie... tant et plus pendant vingt-deux ans. C’est coquet. Elle a essayé quinze cents bruits, un vacarme immense, mais j’ai déliré plus vite qu’elle, je 1’ai baisée, je 1’ai possédée au "finish". Voila ! Je déconne, je la charme, je la force a m’oublier. Ma grande rivale c’est la musique, elle est coincée, elle se détériore dans le fond de mon esgourde... Elle en finit pas d’agonir... Elle m’ahurit a coups de trombone, elle se défend jour et nuit. J’ai tous les bruits de la nature, de la flüte au Niagara... Je promène le tambour et une avalanche de trombones... Je joue du triangle des semaines entières... Je ne crains personne au clairon. Je possède encore moi tout seul une volière compléte de trois mille cinq cent vingt-sept petits oiseaux qui ne se calmeront jamais... C’est moi les orgues de 1’Univers... J’ai tout fourni, la bidoche, 1’esprit et le soufflé... Souvent j’ai 1’air épuisé. Les idéés trébuchent et se vautrent. Je suis pas commode avec elles. Je

fabrique 1’Opéra du déluge. Au moment oü le rideau tombe c’est le train de minuit qui entre en gare... La verrière d’en haut fracasse et s’écroule... La vapeur s’échappe par vingt-quatre soupapes... les chaïnes bondissent jusqu’au troisième... Dans les wagons grands ouverts trois cents musiciens bien vinasseux déchirent 1’atmosphère à quarante-cinq portées dun coup...

Depuis vingt-deux ans, chaque soir elle veut m’emporter... a minuit exactement... Mais moi aussi je sais me défendre... avec douze pures symphonies de cymbales, deux cataractes de rossignols... un troupeau complet de phoques qu’on brüle a feux doux... Voila du travail pour célibataire... Rien a redire. C’est ma vie seconde. Elle me regarde.

Auteur: Céline Louis-Ferdinand

Info: Mort à credit.

[ autofiction ] [ délire ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste