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musique

Une belle voix de ténor, c'est comme le son d'une trompette étouffée par de la soie.

Auteur: Alec Guiness de Cuffe

Info:

[ timbre ] [ métaphore ] [ vocale ]

 

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ding-dong

Nous avons dans le Suffolk une des plus belles cloches du monde, le ténor de Lavenham, fondu par Miles Gray en 1625. Elle passe pour avoir la sonorité la plus moelleuse de toute l'Angleterre.

Auteur: Blythe Ronald

Info: Mémoires d'un village anglais, Les carillonneurs, page 87

[ résonnance ]

 

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bêtise

Là, brusquement, on s'est retrouvés devant un con. Mais alors un vrai ! Un maousse ! Un nickelé ! Con comme un balai, comme une valise sans poignée, comme un ténor ! Oh bien sûr j'avais déjà côtoyé la connerie - qui n'a pas ? - mais toujours aimable, folichonne, principalement avec les dames, j'ignorais son côté tragique. J'avais pas fini de m'instruire !

Auteur: Audiard Michel

Info: Le petit cheval de retour

[ exagération ]

 

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musique

Un jour, alors que le saxophoniste Frank Foster jouait dans la rue avec les jazzmobiles de Harlem, il annonça et lança un blues en Si b. Arriva bientôt un jeune sax ténor qui d'entrée développa un solo complètement "out", improvisant des choses sans relation ni avec la progression harmonique ni avec le rythme. 

Foster l'arrêta :

- Qu'est-ce que tu fais, là ?

- Ben je joue ce que je ressens

- Ah !... Eh bien ressens des trucs en Si b... Putain

Auteur: Foster Frank

Info: Rapporté par Wynton Marsalis

[ anecdote ] [ tonalité ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

répartie

Défenseur de Landru et ténor du barreau, Me de Moro-Giafferri ne fait pas mentir sa réputation. Tendant le bras vers le fond de la salle, il lance : "Ces femmes dont on vous dit qu'elles sont mortes, elles vont maintenant faire leur apparition !" Toutes les têtes se tournent vers la porte d'entrée qui demeure close. L'avocat reprend : "Vous avez regardé, vous n'êtes donc pas sûr que ces femmes sont mortes." Impavide, l'avocat général répond : "Toutes les têtes se sont tournées, maître, sauf celle de votre client."

Auteur: Fuligni Bruno

Info: Dans les archives secrètes de la police : Quatre siècles d'Histoire, de crimes et de faits divers

[ tribunal ] [ anecdote ]

 

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Créateur

Bouddha l’Éternel, éternellement distrait par ses séances de contemplation et ses illuminations, resta avec tous les éléments de cette histoire mélangés dans sa tête. Il pouvait suivre le fil de la narration, comme un panorama vu des hauteurs. Ce qu’il ne comprenait pas, c’était le rapport que pouvait entretenir cette histoire aux personnages multiples (qui se développait tout au long de leur vie moyennant des enchaînements et des entrecroisements subtils de causes et d’effets), avec l’instant discret, très bref par définition (puisque c’était un "clic"), où Mme Gohu mettait en marche la climatisation.

Auteur: César Aira

Info: Le testament du magicien ténor

[ détail ] [ littérature ] [ Dieu ] [ point de vue ]

 

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belle mort

A mesure que le printemps ramenait la vie, la chasse devint de plus en plus fructueuse et agréable. Le matin, dès le point du jour, la forêt se remplissait de voix, étranges et incompréhensibles pour l’habitant des villes. Le coq de bruyère, perché sur les hautes branches d’un cèdre, gloussait et faisait entendre son chant d’amour en contemplant avec admiration la poule grise qui grattait les feuilles mortes au-dessous de lui. Il était facile d’approcher le ténor emplumé et, d’un coup de fusil, de le faire dégringoler des hauteurs où l’élevait son lyrisme, pour le ramener à des fonctions plus utilitaires. Sa mort était une euthanasie : il tombait fauché en pleine extase d’amour, sourd à tout le reste.

Auteur: Ossendowski Ferdynand

Info: Dans "Bêtes, hommes et dieux", traduit de l’anglais par Robert Renard, éditions Phébus, Paris, 1995, page 34

[ animal ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

États-Unis

Harlem, c’est la patrie du jazz. Le jazz, c’est la mélodie nègre du sud débarquant à la gare de Pennsylvanie, plaintive et languissante, soudain affolée par ce Manhattan adoré, où tout est bruit et lumière ; c’est le rêve du Mississipi, devenu cauchemar, entrecoupé de trompes d'autos, de sirènes ; comme à travers Wagner on pressent le tumulte des éléments, ce qu’on entend au fond du jazz, c’est la rumeur de Lenox Avenue. Le nègre est heureux à New-York. Ni durs travaux, ni Klu-Klux-Klan, ni wagons réservés ; en pleine ville, dans les restaurants populaires, un nègre peut maintenant se faire servir. Beaucoup d'écoles de Blancs l’admettent, sauf protestation des parents blancs. Les plus cultivés ont accès aux professions libérales ; ils forment un centre artistique agréable, une petite "intelligenzia" en contact avec les milieux analogues blancs ; elle compte des artistes comme le ténor Roland Hayes, Paul Robeson, l’acteur incomparable d’Emperor Jones et le beau baryton de Show-boat, Walter White, excellent Romancier noir.

Auteur: Morand Paul

Info: New York

[ vingtième siècle ] [ musique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

musique

Il se raconte que Lucio Dalla, le Brel italien, fut contraint, en 1985, pour cause de soucis techniques avec son bateau au large de Naples, de faire étape dans le port de Sorrente. Il se retrouva à l’Hôtel Excelsior Vittoria. Seule disponibilité : la suite Caruso, du nom du grand ténor napolitain mort en août 1921. Devant les tarifs, Dalla aurait affirmé, riant un peu jaune : "Je vais être obligé de composer une chanson pour régler la note !"

Ce sont les propriétaires de l’hôtel qui auraient raconté à Dalla les derniers jours d’Enrico Caruso dans cet établissement, agonie due à un un cancer alors qu'il était fou d’amour pour une jeune femme à laquelle il avait donné des cours de chant.

Il y avait un vieux piano dans la pièce principale de la suite et Lucio D'alla resta 4 jours à l'hôtel. A la suite desquels il ressortit avec son plus grand hit, où cette passion est chantée en napolitain : "Qui dove il mare luccica (Ici où la mer scintille), E tira forte il vento (Et où le vent souffle fort), Sulla vecchia terazza (Sur la vieille terrasse), Davanti al golfo di Surriento (Devant le golfe de Sorrente), Un uomo abbraccia una ragazza (Un homme embrasse une fille), Dopo che aveva pianto (Après qu’elle ait pleuré), Poi si sciarisce la voce (Puis il s’éclaircit la voix), E ricomincia il canto (Et recommence son chant), Te voglio bene assai (Je t’aime tellement), Ma tanto tanto bene sai (Mais tellement, tellement, tu sais)… "

Le clip de la chanson originale fut filmé dans ce même Hôtel, où grâce à ce titre, l'âme d'Enrico Caruso plane un peu plus encore.  

Une pièce pour mandoline et orchestre d’opéra, dans le plus pur style lyrique italien, devenue un succès mondial repris par les plus grands : Luciano Pavarotti, Plàcido Domingo, José Carreras, Andrea Bocelli, Florent Pagny, Lara Fabian, Josh Groban… Son refrain demande du coffre et une capacité à monter la voix en puissance sans dérailler.

Auteur: Internet

Info: compilé et mis en forme par Mg

[ tube latino ]

 
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Ajouté à la BD par miguel