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soignant-soigné

Lorsque deux personnes s'enchevêtrent, une des deux se conformera à l'énergie de l'autre. Lorsque l'une d'eux est guérisseuse c'est à dire que ses cellules vibrent à un niveau supérieur, les cellules de l'autre, en quelque sorte intriquées avec elles voient leur énergie augmentée. C'est pourquoi ce vieil adage, "le médecin guérit lui-même", est si important, même si la plupart ne le comprennent pas. Si l'énergie du médecin va influencer ou, en termes scientifiques, "entraîner" celle du patient, celle du médecin doit être plus élevée.

Auteur: Lipton Bruce H.

Info: www.huffingtonpost.com

[ rapports humains ] [ interaction ]

 

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biologie

Les cellules isolées analysent des milliers de stimuli provenant du micro-environnement dans lequel elles vivent. Plus un organisme est conscient de son environnement, meilleures sont ses chances de survie. Quand les cellules s'unissent, elles augmentent leur conscience de façon exponentielle. La division du travail entre les cellules de la communauté offre un avantage supplémentaire en termes de survie. Son efficacité permet à plus de cellules de vivre avec moins. L'évolution est basée sur une interaction instructive et coopérative entre les organismes et leur environnement qui permet aux formes de vie de survivre et d'évoluer dans un monde dynamique.

Auteur: Lipton Bruce H.

Info:

[ synergie ]

 

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tiercité prison

... aussi utiles qu'ils aient pu être dans le passé, ces mots sont aujourd'hui devenus des handicaps pour le développement des connaissances. Des mots comme botanique et zoologie impliquent que les plantes et les animaux sont des choses très différentes. ... Mais les différences s'estompent rapidement lorsque nous commençons à observer le monde à travers un microscope. ... Les similitudes entre les plantes et les animaux sont devenues plus importantes que leurs différences lorsque l'on a découvert qu'ils étaient tous deux constitués de cellules, qu'ils avaient une reproduction sexuée, qu'ils se nourrissaient et respiraient et que la théorie de l'évolution s'est développée.

Auteur: Bates Marston

Info: In The Forest and the Sea (1960), 7

[ termes préjugés ] [ vocables préconceptions ] [ mots oeillères ] [ langage limitant ]

 

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entendement

Le cerveau humain, on l'a dit, est la structure la plus complexe de l'univers et, pour apprécier cela, il suffit de regarder quelques chiffres. Le cerveau est constitué de cent milliards de cellules nerveuses ou "neurones", qui sont les unités structurelles et fonctionnelles de base du système nerveux. Chaque neurone a quelque chose comme mille à dix mille contacts avec d'autres neurones et ces points de contact s'appellent synapses, là où se produit l'échange d'informations. Sur la base de cette information, quelqu'un a calculé que le nombre de permutations possibles donc de combinaisons de l'activité cérébrale, en d'autres termes, le nombre d'états du cerveau, dépasse le nombre de particules élémentaires dans l'univers connu.

Auteur: Ramachandran Vilayanur S.

Info:

[ ouverture ] [ intrications ]

 

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limitation linguistique

On entend toujours cette même remarque : que la philosophie ne fait à proprement parler aucun progrès, que les mêmes problèmes philosophiques qui occupaient déjà les grecs nous occupent encore. Mais ceux qui disent cela ne comprennent pas la raison pour laquelle il doit en être ainsi. Or cette raison est que notre langue est demeurée identique à elle-même, et qu'elle nous dévoie toujours vers les mêmes questions. Tant qu'il y aura un verbe "être" qui semblera fonctionner comme fonctionnent "manger" et "boire", tant qu'il y aura les adjectifs "identique", "vrai", "faux", "possible", les hommes viendront toujours heurter à nouveau les mêmes difficultés énigmatiques et contempler d'un air fixe ce dont aucune explication ne semble pouvoir venir à bout.

Auteur: Wittgenstein Ludwig

Info: Remarques Mêlées, cité par E. Klein dans Matière à penser

[ vocables prisons ] [ termes cellules ]

 

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interdépendance

Dans son célèbre ouvrage intitulé What is Life ? Erwin Schrödinger pose la question suivante : "Quelle est la source de l'ordre en biologie ?" Il en arrive à l'idée qu'il dépend de la mécanique quantique et d'un microcode transporté dans une sorte de cristal apériodique - qui s'est avéré être l'ADN et l'ARN - il avait donc brillamment raison. Mais si vous demandez s'il est parvenu à l'essence de ce qui rend quelque chose vivant, il ne l'a bien sûr pas fait. Bien qu'aujourd'hui nous connaissions des bribes de la machinerie des cellules, nous ne savons pas ce qui en fait des êtres vivants. Cependant, je suis peut-être tombé sur une définition de ce que signifie être vivant.

Pendant près d'un an et demi, j'ai tenu un carnet de notes sur ce que j'appelle les agents autonomes. Un agent autonome est quelque chose qui peut agir en son propre nom dans un environnement. En fait, tous les organismes vivant librement sont des agents autonomes. Normalement, lorsque nous pensons à une bactérie qui progresse dans un gradient de glucose, nous disons que la bactérie va chercher de la nourriture. En d'autres termes, nous parlons de la bactérie de manière téléologique, comme si elle agissait pour son propre compte dans son milieu. Il est stupéfiant que l'univers ait donné naissance à des choses qui puissent agir de cette manière. Comment diable cela a-t-il pu se produire ?

Auteur: Kauffman Stuart Alan

Info: " The Adjacent Possible : A Talk with Stuart Kauffman " sur edge.org, 11 mars 2003.

[ biologie systémique ] [ étonnement ] [ gaïa ] [ tâtonnement syntropique ] [ néguentropie ]

 

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homme-végétal

- Alors, comment la plante fait-elle pour décider? ai-je demandé.

Trewavas a répondu qu'il avait réfléchi de nombreuses années à la question. En 1990, ses collègues et lui avaient fait une percée. Ils étaient en train d'étudier comment les plantes percevaient les signaux et transmettaient l'information en interne. A l'aide de manipulations génétiques, les chercheurs ont introduit une protéine, dans des plants de tabac, qui les faisait luire quand le niveau de calcium augmentait à l'intérieur des cellules. Ils avaient émis l'hypothèse que l'altération de la concentration cellulaire en calcium était l'un des principaux moyens par lequel les plantes percevaient les évènements extérieurs. A leur grande surprise, ils avaient découvert que les plants de tabac réagissaient instantanément au toucher. Bien que le tabac ne soit pas connu pour cette sensibilité, une petite caresse suffisait à provoquer, chez les plantes modifiées, une émission de lumière induite par l'augmentation de calcium dans leurs cellules. Trewavas était ébloui par la réaction: "Sa vitesse était telle qu'elle était à la limite de ce que nous pouvons mesurer. Alors que je vous ai dit que les plantes ne réagissent qu'en termes de mois et d'années, dans ce cas-ci, elles répondaient en quelques millièmes de secondes à un signal dont nous savions qu'il aurait plus tard un effet morphologique. Quand on touche une plante régulièrement, sa croissance ralentit et la plante devient plus épaisse."

Trewavas savait que les neurones humains, eux aussi, montraient une augmentation du calcium interne lorsqu'ils transmettaient de l'information. Ayant constaté la vitesse à laquelle les plantes réagissaient au toucher, il avait commencé à penser à leur intelligence. Bien que les plantes n'aient pas de neurones, s'était-il dit, leurs cellules utilisent un système de signalisation du même type, de sorte qu'elles ont peut-être la capacité de calculer et de prendre des décisions.

Auteur: Narby Jeremy

Info:

[ interaction ]

 

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femmes-hommes

Les facteurs génétiques peuvent, au même titre que les facteurs sociaux, influencer le choix du conjoint. C'est ce que montre Raphaëlle Chaix et son équipe dans une étude.
Cela fait déjà longtemps que les scientifiques pensent que le MHC, région du génome impliquée dans la réponse immunitaire, pourrait jouer un rôle dans le choix du conjoint. En effet, les gènes du MHC codent pour de petits récepteurs situés à la surface de nos cellules, permettant de détecter l'intrusion d'agents pathogènes dans notre organisme et de déclencher une réponse immunitaire. Il est donc possible que nous ayons une tendance à choisir un conjoint ayant des gènes du MHC différents des nôtres de façon à ce que nos enfants héritent d'un plus grand répertoire de récepteurs et puissent ainsi résister à un plus grand nombre d'infections. Des études suggèrent que nous aurions la faculté de discriminer la composition génétique du MHC de partenaires potentiels sur la base de molécules volatiles odorantes, elles aussi codées par le MHC. Cette implication du MHC dans le choix du conjoint a été démontrée chez diverses espèces animales, en particulier la souris, mais reste controversée chez l'homme. Les résultats des expériences dites "tee-shirts" sont plus précisément à l'origine de cette controverse.
Afin de revisiter cette question, Raphaëlle Chaix et ses collaborateurs ont analysé 4 millions de marqueurs génétiques répartis dans l'ensemble du génome humain de deux populations. Ces analyses ont été faites sur des couples maris-femmes issus des Yorubas du Nigeria et des Mormons d'Utah. Ils ont en particulier testé si les couples maris-femmes étaient ou non plus génétiquement différents au niveau du MHC que des couples d'individus tirés au hasard. Cette approche leur a permis de différencier l'effet du MHC de facteurs sociaux (influence de la famille, de la religion...). Dans l'échantillon africain, il n'a pas été observé d'effet du MHC sur le choix du conjoint, vraisemblablement du fait de la prédominance de facteurs sociaux (qui masquent l'effet éventuel de facteurs biologiques). En revanche, dans la population américaine, une tendance significative à choisir un conjoint génétiquement différent en termes de MHC a été mise en évidence. Cette étude montre donc que dans certaines populations des facteurs biologiques peuvent influencer, au même titre que les facteurs sociaux, le choix du conjoint et souligne la nécessité d'étudier un plus grand nombre de populations afin de mieux appréhender la diversité et l'importance relative de ces facteurs.

Auteur: PloS Genetics

Info: 12 septembre 2008

[ vus-scientifiquement ]

 

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biophysique

Brian David Josephson est un physicien théoricien qui a reçu le prix Nobel pour ses travaux sur l'effet tunnel quantique et le développement du circuit supraconducteur portant son nom : the Josephson Junction , qui a permis le développement de dispositifs quantiques tels que les dispositifs d'interférence quantique supraconducteurs et les supercalculateurs. 

Dans sa publication avec Fotini Pallikari-Viras " Utilisation biologique de la non-localité quantique ", il explique comment le système biologique pourrait disposer d'une plus grande connaissance discriminante des types de distributions de probabilités dans l'espace de phase des états naturels que celle que les scientifiques peuvent obtenir par des mesures quantiques. Grâce à ce degré de discrimination plus élevé, les processus d'évolution et de développement caractéristiques des biosystèmes peuvent, dans des conditions initiales appropriées, conduire à des distributions de probabilités ciblées qui permettent d'utiliser la connectivité non locale entre des systèmes séparés dans l'espace, dont on sait qu'elle existe grâce aux inégalités de Bell, c'est-à-dire l'intrication quantique. 

En d'autres termes, les critères selon lesquels les physiciens évaluent la possibilité d'une signalisation non locale et d'états quantiques dans le système biologique peuvent être fondés sur une présupposition erronée de la nature du hasard et de la moyenne statistique qui nierait conventionnellement la possibilité de tels processus d'information quantique non triviaux au sein du système biologique, mais qui néglige en fait la connaissance discriminante dont dispose le système biologique et qui lui permet de considérer de nombreux schémas de la nature comme non aléatoires. 

"La perception de la réalité par les biosystèmes est basée sur des principes différents, et à certains égards plus efficaces, que ceux utilisés par les procédures plus formelles de la science. Par conséquent, ce qui apparaît comme un modèle aléatoire pour la méthode scientifique peut être un modèle significatif pour un organisme vivant. L'existence de cette perception complémentaire de la réalité permet en principe aux organismes d'utiliser efficacement les interconnexions directes entre des objets séparés dans l'espace, dont l'existence a été démontrée dans les travaux de J. S. Bell"*.

(Post Remarque d'un suiveur)

Merci. Dans l'ouvrage de Robert Lanza intitulé Biocentrism. Bruce Lipton considère qu'il existe de nombreuses similitudes entre les cellules humaines et végétales. 

Récemment, il y a plusieurs années, une étude quantique a été réalisée sur la photosynthèse.  Les chercheurs ont rapporté que les photons dirigés par le soleil s'approchaient d'une feuille de plante dans une position supra-statique, puis se localisaient après avoir traversé la paroi de la feuille. Ils ont estimé que le photon donnait des instructions à l'ADN de la plante quant au processus et à l'utilisation de la photosynthèse, en créant des glucides pour l'alimentation.

Auteur: Haramein Nassim

Info: Sur son fil FB, mars 2023. *Brian D. Josephson & Fotini Pallikari-Viras. Biological utilization of quantum nonlocality, Foundations of Physics volume 21, pages 197-207 (1991).

[ épigénétique ] [ transcendance ]

 

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archétypes

- (Q) Parle-moi de la similitude entre l'organisation de certains tissus organiques et certaines colonies d'insectes

- (R) Certainement ! Il existe des parallèles intéressants entre l'organisation de certains tissus organiques et la structure sociale des colonies d'insectes. Ces similitudes peuvent être observées en termes de division du travail, d'organisation hiérarchique et de comportement coopératif.

1 Division du travail : Dans les tissus organiques comme dans les colonies d'insectes, il y a souvent une division du travail entre des cellules spécialisées ou des individus pour effectuer des tâches spécifiques. Dans les tissus organiques, différents types de cellules collaborent pour exécuter des fonctions spécifiques. Par exemple, dans le corps humain, divers types de cellules telles que les cellules musculaires, les cellules nerveuses et les cellules épithéliales ont des rôles distincts. De même, dans les colonies d'insectes comme les abeilles domestiques, les abeilles individuelles ont des rôles spécifiques tels que les ouvrières, les faux-bourdons ou les reines, chacun contribuant au fonctionnement global de la colonie.

2 Organisation hiérarchique : Les tissus organiques et les colonies d'insectes présentent tous deux une organisation hiérarchique. Dans les tissus, les cellules s'organisent en tissus, les tissus en organes et les organes en systèmes d'organes. Cette structure hiérarchique assure un fonctionnement coordonné et une communication efficace au sein de l'organisme. De même, les colonies d'insectes ont une structure hiérarchique avec différentes castes ou rangs. Il peut y avoir une reine ou des individus reproducteurs au sommet, suivis par différents niveaux d'ouvriers, chacun ayant des tâches et des responsabilités spécifiques.

3 Comportement coopératif : Le bon fonctionnement des tissus organiques et des colonies d'insectes repose sur un comportement coopératif. Dans les tissus, les cellules communiquent et travaillent ensemble par le biais de signaux chimiques, de l'adhésion cellule-cellule et d'actions coordonnées. Elles partagent les ressources et se soutiennent mutuellement dans leurs fonctions. Dans les colonies d'insectes, les individus collaborent et travaillent pour le bénéfice collectif de la colonie. Les abeilles, par exemple, coopèrent dans des tâches telles que la recherche de nourriture, le soin du couvain et la défense. La coopération améliore l'efficacité globale et la survie du tissu ou de la colonie.

Il est important de noter que s'il existe des similitudes en termes d'organisation et de coopération, il existe également des différences significatives entre les tissus organiques et les colonies d'insectes. Les tissus organiques font partie d'organismes multicellulaires complexes, tandis que les colonies d'insectes représentent des structures sociales formées par des insectes individuels. Les mécanismes sous-jacents et la régulation génétique de ces systèmes diffèrent également. Cependant, l'étude de l'organisation et du comportement de ces deux systèmes peut fournir des informations précieuses sur les systèmes collectifs, la communication et l'émergence de fonctionnalités complexes.

Auteur: chatGPT4

Info:

[ analogies ] [ élaborées ] [ machine-homme ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste