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santé

Les médecins, très souvent très riches, vivent sur la misère des gens.

Auteur: Augsbourg Gertrude

Info:

[ toubibs ] [ profiteurs ]

 

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limite

Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien.

Auteur: Voltaire

Info:

[ ironie ] [ toubibs ]

 

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Ajouté à la BD par GAIOTTINO

toubibs

Une des sciences égyptiennes, la plus anciennement et la plus brillamment pratiquée, est bien celle que maîtrisait l'illustre Imhotep : l'art de guérir et son inséparable corollaire, la pharmacopée.

La réputation des médecins égyptiens, les sinous, était telle, que l'on venait de l'étranger consulter ces savants, des médecins laïques par excellence, par opposition aux guérisseurs ou magiciens, les fameux prêtres de Sekmet ou encore les conjurateurs de Selket.

Auteur: Desroches-Noblecourt Christiane

Info: Le fabuleux héritage de l'Egypte, pp 136-137

[ historique ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

suicides

Vous autres, les toubibs, vous vous tuez beaucoup, pas vrai ? (...) Les psys arrivent en tête avec un taux six fois plus élevé ; puis on trouve, par ordre décroissant, les vétos, les pharmaciens, les dentistes, les paysans et les médecins. (...) Mais à la police aussi, on est sous pression. (...) C'est à la retraite qu'on est le plus en danger. Question de pouvoir, je crois. D'un pouvoir qu'on a exercé tous les jours et qu'on nous retire d'un seul coup.

Auteur: Amis Martin

Info: Train de nuit

[ métier ] [ statistiques ] [ autodestruction ]

 

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toubibs

Je hais les médecins. Les généralistes en général, et les spécialistes spécialement. Pour la distance olympienne qu'ils mettent entre eux et leur patients - Oh, le joli mot -, pour cette assurance imbécile, affichée comme une force, alors qu'elle n'est qu'un bouclier à la faiblesse de leur science. Je déteste leur jargon, élaboré pour impressionner et réduire au silence ceux dont ils vivent, afin de mieux pouvoir les vampiriser. J'aborrhe enfin l'écriture, rendue soigneusement illisible aux profanes par ces zélateurs hypocrites d'Hippocrate, de qui le fameux serment sert d'alibi à toutes les dérobades et à toutes les arrogances.

Auteur: Réouven René

Info: Ne dites jamais 33, cité in Noirs scalpels de Martin Winckler

[ dénigrés ] [ arrogants ] [ pédants ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

toubibs

Au nom de la nature, Montaigne efface la frontière de la maladie et de la santé. Les maladies font partie de la nature; elles ont leur durée, leur cycle de vie, auquel il est plus sage de se soumettre que de prétendre le contrarier.

Le refus de la médecine fait partie de la soumission à la nature. Montaigne modifie donc le moins possible ses habitudes quand il est malade.

Vient alors la flèche du Parthe : les médecins ne vivent pas mieux ni plus longtemps que nous ; ils souffrent les mêmes maux et n'en guérissent pas davantage.


Auteur: Compagnon Antoine

Info: Un été avec Montaigne, p 124

[ dénigrés ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

toubibs

Les médecins, debouts, du haut de leur superbe, paradent tous les jours dans tous les mourroirs à pauvres de l'assistance publique, poursuivis par le zèle gluant d'un troupeau de sous médecins serviles qui leur collent au stétoscope comme un troupeau de mouches à merde sur une bouse diplômée !

Et les médecins, debouts, paradent au pied des lits des pauvres qui sont couchés, et qui vont mourrir. Et le médecin leur jette à la gueule, sans les voir, des mots en graco-latin, que les pauvres, couchés ne comprennent jamais. Et les pauvres, couchés, n'osent pas demander, pour ne pas déranger le médecin debout, qui pue la science, et qui cache sa propre peur de la mort en distribuant, sans sourciller ses sentences définitives et ses antibiotiques approximatifs, comme un pape au balcon dipersant la parole et le sirop de dieu sur le monde à ses pieds.

Alors, fais gaffe toubib, j'ai piégé me métastases, le premier qui touche à mon cancer, j'y saute à la gueule !

Auteur: Desproges Pierre

Info: Réquisitoire, prononcé dans le Tribunal des flagrants délires. Rapporté par Mona Chollet dans Sorcières

[ dénigrés ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

toubibs

Le psychiatre a une expérience qui lui permet d’apprécier la gravité de la pathologie mentale. Il examine l’état neurologique du malade. Il prescrit, si cela suffit, des médicaments chimiques efficaces pour apaiser les troubles. Il juge si le malade peut, sans risques pour lui ou pour les autres, rester dans sa famille, ou s’il est plus prudent de le mettre au repos sous surveillance. Dans le dernier cas, il indique l’hôpital ou la clinique psychiatrique. Là le malade peut être mis en observation, au repos, tout en fréquentant les autres malades et le personnel soignant ; ou, si nécessaire, on recourt à l’isolement, à la cure de sommeil, etc.

Le psychiatre, en sus de la prescription de médicaments, conseille parfois une psychothérapie, qu’il conduit lui-même ou dont il charge un autre. Ainsi, aidé à la fois par le repos, la séparation de son milieu habituel, l’arrêt d’un travail surmenant et la chimiothérapie, le malade peut reprendre contact, entrer en relation avec le psychiatre ; la psychothérapie l’aide à critiquer son état et à recouvrer son équilibre perdu.

Auteur: Dolto Françoise

Info: Dans "Lorsque l'enfant paraît", tome 2, éditions du Seuil, 1978, page 189

[ fonctions ] [ rôle ] [ corps médical ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

médecine

Santé : Nous éradiquons des bactéries qui nous protègent.
Certaines maladies sont indispensables pour que le corps humain développe son système immunitaire. Et des bactéries (infectieuses) censées nous protéger de l'asthme ont été purement et simplement... éradiquées. Telles sont les conclusions d'une nouvelle étude scientifique.
L'augmentation épidémique des maladies allergiques est généralement attribuée à la pollution atmosphérique, aux additifs alimentaires, au tabagisme... Mais, depuis plusieurs années, les scientifiques ont changé leur souris d'épaule. Ils multiplient les études sur les effets néfastes de l'hygiène. Car au fur et à mesure des investigations, il s'avère de plus en plus nettement que le système immunitaire se développe d'autant mieux que son exposition aux agents infectieux est régulière et répétée. La maladie, meilleure amie de l'homme...
L'asthme cloué au pylori
Dans un récent article publié dans le Journal of Clinical, des chercheurs de l'Université de Zurich et du Centre médical universitaire de l'Université Johannes Gutenberg de Mayence viennent d'en rajouter une couche. L'augmentation de l'asthme pourrait être attribuée à l'éradication de la bactérie gastrique Helicobacter pylori des sociétés occidentales.
La moitié de la population mondiale serait porteuse saine de cette bactérie (comme beaucoup d'autres d'ailleurs). Mais, sous certaines conditions, le microbe peut entrainer des gastrites, des ulcères gastriques et duodénaux et des cancers de l'estomac. Les toubibs préfèrent donc ne pas prendre de risques et la bactérie est systématiquement combattue, outragée, brisée, martyrisée. Et H. pylori est souvent éliminée par des prescriptions d'antibiotiques préventives. Résultat : la bactérie est aujourd'hui quasiment éradiquée de nos sociétés "avancées".
La santé ? Un truc de malade...
Pour leur étude, les chercheurs ont injecté la grande méchante bactérie à une cohorte de gentilles petites souris. Lorsque les cobayes étaient infectés en bas âge, ils ont développé une tolérance immunologique à la bactérie, ne développant que quelques symptômes négligeables. Par contre, lorsque les souris étaient infectées à l'âge adulte, leur défense était beaucoup plus faible, et la maladie plus violente. Leur tendance à développer de l'asthme était aussi beaucoup plus importante.
"L'infection précoce altère la maturation des cellules dendritiques et augmente la production de lymphocytes T régulateurs qui sont cruciaux pour la suppression de l'asthme", explique Anne Müller, chercheuse en cancer moléculaire à l'Université de Zurich. Pour l'expérience, des cellules T régulatrices ont ensuite été transférées à des souris non infectées ; elles ont alors bénéficié d'une protection efficace contre les asthmes d'effort. En revanche, les souris qui avaient été infectées dès le début ont perdu leur résistance à l'asthme lorsqu'on leur injectait des antibiotiques qui tuaient H. pylori.
Selon le chercheur Christian Taube, spécialiste des maladies allergiques pulmonaires, ces nouveaux résultats confirment l'hypothèse que l'augmentation des asthmes allergiques dans les pays industrialisés est liée à l'utilisation généralisée d'antibiotiques et la disparition induite de micro-organismes qui peuplent le corps humain.

Auteur: Internet

Info: 4 juillet 2011, par Napakatbra

[ fiente ] [ anticorps ]

 

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