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insulte

Un organisme unicellulaire le bat aux tests de QI.

Auteur: Anonyme

Info: Brèves de comptoir

[ bêtise ]

 

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symbiogenèse

Une plante, un chêne par exemple, est avant tout un animal. Un énorme animal au sein duquel vivent des parasites vivants ou plutôt des symbiotes, une multitude infinie de petits organismes verts microscopiques, d'une espèce d'"algues" unicellulaires, les cyanophycées.

Auteur: Merezhkovskii Konstantine

Info: In Jan Sapp. Evolution by Association: A History of Symbiosis. Chapter 4 (p. 47) Oxford University Press, Inc. New York, New York, USA. 1994

[ évolution ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

humour

Des millions d'années... Je me rappelle avoir commencé comme organisme unicellulaire, je suis ensuite péniblement arrivé à devenir amphibien, puis consommateur d'air. J'ai alors entendu une voix venant du haut des arbres.
"Il arrive !"
J'ai alors évolué en homo sapiens, et puis, un peu après, en gueule de bois.

Auteur: Zelazny Roger

Info: The Doors of His Face, the Lamps of His Mouth 1965

[ progression ]

 

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symbiose

Dans les rythmes cycliques de la nature, il n'y a aucune place pour l'opinion discriminatoire qui sous-tend la vision hiérarchique de Darwin, qui considère les organismes unicellulaires comme des formes de vie inférieures et les plus complexes comme supérieurs. Il serait plus approprié de dire que nous sommes tous une forme de vie continue.

Auteur: Fukuoka Masanobu

Info: Sowing Seeds in the Desert: Natural Farming, Global Restoration, and Ultimate Food Security

[ Gaïa ] [ unicité ] [ intrication ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

anthropocentrisme

Nous avons tous une magnifique représentation schématique de l'évolution des espèces qui commence avec les animaux unicellulaires, se poursuit en de multiples ramifications avec les organismes inférieurs, s'élève vers les animaux supérieurs et culmine enfin avec l'homme, couronnement et fin ultime de la création. Et après ça, plus rien ! On placarde post festum sur le grand devenir du monde organique, qui s'est effectivement déroulé selon ce schéma, une pancarte montrant l'homme comme l'objectif dernier de la marche du monde depuis son origine.

Auteur: Lorenz Konrad

Info: L'homme dans le fleuve du vivant, p.29

[ anthropomorphisme ]

 

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neurotransmetteur

- Vous dites que l’acétylcholine est une " molécule extrêmement ancienne ". Pouvez-vous développer ce point ?

Certains des êtres vivants les plus simples, dont les bactéries, les unicellulaires, les algues et les plantes primitives, produisent de l’acétylcholine. Et chez les êtres complexes tels que nous, l’acétylcholine est impliquée dans de nombreuses activités cellulaires fondamentales, y compris la mise en place de la production d’autres hormones. L’acétylcholine fait partie du système de signalisation cellulaire de base du monde vivant. Nous, les humains, avons des récepteurs pour cette substance dans tout notre corps.

Auteur: Narby Jeremy

Info:

 

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Ajouté à la BD par miguel

arbre du vivant

Je déguste ces jours "l'univers bactériel" de Lynn Margulis et son fils Dorion Sagan. Je savoure. Surtout cette mise en perspective de la place de l'humain au sein de l'incroyable jeu évolutif. Un peu comme si être la race la plus ingénieuse (la plus évoluée ?) impliquait aussi d'être la plus fragile. Non seulement parce que, dépendants de nos outils, nous nous affaiblissons, mais aussi parce que - entre autres exemples et par comparaison aux bactéries - nous autres organismes eucaryotes*, serons très mauvais en termes d'adaptation et de survie si un changement climatique important survient à l'échelle mondiale.

Auteur: Mg

Info: 9 janv. 2019. *tous les organismes, unicellulaires ou multicellulaires, qui se caractérisent par la présence d'un noyau et généralement d'organites spécialisés dans la respiration

[ humanité ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

évolution

Les bactéries magnéto tactiles, équipées de minuscules barres de magnétites, nageaient vers le nord, (vers le pôle magnétique) dans l'hémisphère nord, et vers le pôle sud magnétique de l'hémisphère sud il y a plusieurs centaines de millions d'années. Les systèmes chimiques de détection et de signalisation des bactéries vieux de 3,5 milliards d'années ont été remplacé par la formation et le traitement d'une image cellulaire chez les protistes depuis environ un milliard d'années. Il ne fait aucun doute qu'au moins deux protistes dynomstigotes différents, "Neodinium et Erythrodinium", ont des yeux qui voient. Ces yeux unicellulaires, munis de l’équivalent d'une lentille et d'une rétine, sont à l’affût pour repérer leurs ennemis sous-marins. Les organes de l'odorat, de l'ouïe et du goût, de la sensibilité à électricité et de la localisation par l'écho qu'ont certains animaux étaient tous bien développés il a 100 millions d'années. L'accélération des perceptions a continué avec la parole chez les premiers hommes depuis environ un million d'années.

Auteur: Margulis Lynn

Info: L'univers bactériel, l'homme égocentrique, p. 257

[ cognition ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

théorie endosymbiotique

Des gènes "étrangers", issus de micro-organismes ayant cohabité avec nos lointains ancêtres sont présents dans notre ADN, révèle une étude publiée le 13 mars 2015 dans la revue Genome Biology. En d’autres termes, nos gènes ne sont pas seulement hérités de nos ancêtres : ils proviennent aussi d’organismes vivants très différents de notre espèce, qui nous ont été transmis au cours de notre évolution. Un résultat d’autant plus surprenant que ces travaux révèlent que ces gènes issus de ces micro-organismes, loin de jouer un rôle anecdotique, ont des fonctions cruciales dans le fonctionnement de notre organisme. En effet, ils sont notamment impliqués dans le métabolisme des lipides […] et dans les processus de défense immunitaire. Quels sont ces micro-organismes qui nous ont transmis ces gènes ? Il s’agit essentiellement de bactéries et de protistes (des organismes généralement unicellulaires comme les micro-algues et les protozoaires). Comment ces gènes ont-ils bien pu pénétrer dans notre génome ? Par un processus appelé "transfert horizontal de gènes" (HGT pour horizontal gene transfer en anglais). Un processus déjà connu pour être à l’œuvre chez certains animaux simples, comme le ver nématode dont le génome possède des gènes issus de plantes et de micro-organismes. […] Or, ces nouveaux travaux montrent que, loin de concerner des animaux très simples comme le ver nématode, le transfert horizontal de gènes concerne aussi en réalité très probablement… la plupart des êtres vivants complexes, dont les primates et l’homme.

Auteur: Anonyme

Info: Dans "Les magiciens du nouveau siècle", page 153

[ mutations génétiques ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

survie

Les océans sont responsables de plus de la moitié de la production d'oxygène de la planète grâce à l'activité de photosynthèse du plancton végétal marin. Responsables de la majorité de cette photosynthèse océanique, les protistes, des micro-organismes marins eucaryotes (avec un noyau), unicellulaires et parfois photosynthétiques. Ni bactérie, ni virus, ni plante, ni animal à proprement parler, les protistes présentent une grande plasticité tant anatomique que physiologique, et un métabolisme complexe.
Emiliania huxleyi est un protiste appartenant à la lignée des haptophytes. De par son extrême abondance, cette toute petite cellule planctonique forme une espèce emblématique du phytoplancton marin. Dotée de métabolismes fondamentaux variés (photosynthèse, calcification, etc.), elle est connue pour son micro-squelette calcaire qui rend l'océan blanc-laiteux et visible depuis l'espace, lorsque les cellules se multiplient en gigantesques efflorescences.
Pour décrypter le génome d'Emiliania, premier génome d'haptophyte séquencé, les scientifiques ont utilisé treize souches de cette espèce provenant de tous les océans qui ont ensuite été isolées dans différents laboratoires.
Première découverte, le génome d'Emiliania huxleyi est vingt fois plus petit que le génome humain: il est constitué de 141 millions de bases (le génome des diatomées a environ 24 millions de bases et le génome humain environ 3 200 millions). Mais, surprise, il contient au moins un tiers de gènes en plus que le génome humain. Le consortium international a mis en évidence la présence de plus de 30 000 gènes codant pour toutes sortes de protéines et de fonctions, dont plus de la moitié sont totalement inconnues dans les bases de données génétiques existantes.
D'autre part, les treize souches séquencées, que l'on croyait relativement proches, ne partagent en moyenne que 75% de leurs gènes: on pourrait parler de génome-coeur d'Emiliania. Ainsi, 25% des gènes ne sont présents que dans certaines souches: ce génome "permutable" est composé des gènes spécifiques à certaines souches. Cette configuration en "pan-génome" (avec un génome-coeur entouré d'un génome permutable) est typique des bactéries et des archées. La présence d'une telle proportion de gènes spécifiques à certaines souches est remarquable pour un organisme eucaryote sexué. Elle offre sans nul doute à Emiliania une flexibilité génomique et des capacités d'adaptation élevées.

Auteur: Internet

Info: 14 juin 2013

[ sciences ] [ génétique ]

 

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