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univers

Il est remarquable que l'infiniment petit est peuplé d'une prodigieuse quantité d'êtres animés et que l'infiniment grand ne l'est pas ; de telle sorte qu'on pourrait dire, en n'employant toutefois ces expressions que d'une manière relative, que l'infiniment petit est peuplé et que l'infiniment grand est désert.

Auteur: Hugo Victor

Info: Choses vues

[ sciences ] [ physique ] [ extrémités ] [ nanomonde ] [ macromonde ]

 

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nanomonde

Nous avons essayé pendant des siècles de chercher des causes et des explications de plus en plus profondes, et soudain, lorsque nous allons au plus profond, au comportement des particules individuelles, des quanta individuels, nous découvrons que cette recherche d'une cause s'arrête là. Il n'y a pas de cause. À mes yeux, ce caractère fondamentalement insensé de l'univers n'a pas encore été réellement intégré dans notre vision du monde.

Auteur: Zeilinger Anton

Info:

[ impasse ] [ indifférencié ] [ impersonnel ]

 

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nanomonde

Même si nous ne pouvons pas les voir, nous savons que ces particules virtuelles sont "vraiment là" dans le vide car elles laissent une trace détectable de leurs activités. L'un des effets des photons virtuels*, par exemple, est de produire un léger changement dans les niveaux d'énergie des atomes. Ils provoquent également un effet d'entraînement, un changement minime dans le moment magnétique des électrons. Ces minuscules mais significatives altérations ont été mesurées avec une grande précision grâce à des techniques spectroscopiques.

Auteur: Davies Paul

Info: The Last Three Minutes: Conjectures About the Ultimate Fate of the Universe. Chapter 3 (p. 32). Basic Books. New York, New York, USA. 1994. *Photon non observable qui n’existe que pendant une interaction électromagnétique

[ quantique ] [ infra-monde ]

 

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évolution

Les microbes, en raison de leur petite taille et de leur nombre gigantesque, réagissent relativement vite à des changements d'environnements majeurs. Ils se reproduisent sans hésitation s'ils disposent de nourriture et d'énergie. Des bactéries rapides se divisent environ toutes les vingt minutes, ce qui donne en principe 2 puissance 144 d'individus en deux jours. Un nombre largement supérieur à celui de tous les êtres humains ayant jamais vécus sur Terre. En 4 jours de croissance sans borne il y aura donc environ 2 puissance 286 de bactéries. Ce nombre est largement supérieur au nombre de protons ou de quarks dans l'univers tel qu'estimé par les physiciens (environ 2 puissance 266), il ne sert qu'à rappeler au lecteur la nature de la croissance exponentielle. Environ une division sur un million donne un descendant différent de son parent. (Comme les bactéries se reproduisent de manière asexuée par simple division, elles n'ont qu'un seul parent) la plupart des mutants sont moins bien pourvus que leurs parents et meurent. Mais un seul mutant survivant avec succès peut rapidement s'étendre dans tout son habitat.

Auteur: Margulis Lynn

Info: L'univers bactériel. Le microcosme fait son entrée, p. 75. Ecrit avec Dorion Sagan

[ nanomonde ] [ hétérogénie ]

 

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avidité industrielle

A la fin des années 1970, son labo [à Richard Smalley, chimiste] de la Rice University (Texas) collabore avec Exxon à la mise au point d’un appareil laser capable de vaporiser n’importe quoi. En 1985, en vaporisant des échantillons de carbone, Smalley et ses partenaires, Harold Kroto et Robert Curl, découvrent une molécule inconnue, composée de 60 atomes, et ayant la forme d’un ballon de foot : 20 hexagones et 12 pentagones soudés en sphère. En hommage à Buckminster Fuller, l’architecte des dômes géodésiques, ils baptisent leur trouvaille "Buckminsterfullerène", vite abrégé en "Buckyballs" ou fullerènes voire C60, en référence au nombre de ses atomes. Les laboratoires se jettent sur les fullerènes, et des Japonais découvrent qu’on peut les assembler en nanotubes aux propriétés étonnantes. Cent fois plus résistants et six fois plus légers que l’acier, ils peuvent entrer dans la composition de nouveaux matériaux. […] L’industrie les utilise vite dans une foule de secteurs qui vont du spatial à l’informatique et à la supraconductivité, des pneus et des crèmes solaires au traitement de l’eau et à la production d’électricité. Si vite que les études de toxicité ne révèlent qu’après-coup la nocivité des nanoparticules. Inhalées par des rats, celles-ci attaquent leurs poumons comme l’amiante. Pis, leur petite taille leur permet de circuler dans le corps et de franchir même la barrière hémato-encéphalique protégeant le cerveau […]. Les nanomatériaux nous réservent peut-être une pandémie de cancers.

Auteur: PMO Pièces et main-d'oeuvre

Info: Dans "Aujourd'hui le nanomonde", pages 134-135

[ principe de précaution ] [ innocuité ] [ recherche et développement ] [ science-industrie ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

sciences

Nous savons tous intuitivement que les liquides ordinaires s'écoulent plus rapidement au fur et à mesure que le canal dans lequel ils se trouvent se resserre, à l'instar d'une rivière qui trouve son chemin dans une succession de rapides de plus en plus étroits.
Mais qu'arriverait-il si le tuyau était si minuscule que seuls quelques atomes d'hélium superfluide pouvaient s'échapper de son extrémité en même temps ? Selon un modèle de la mécanique quantique établi depuis longtemps, l'hélium superfluide se comporterait différemment d'un liquide ordinaire: loin d'accélérer, il ralentirait.
Une équipe de chercheurs de l'Université McGill et de collaborateurs de l'Université du Vermont et de l'Université de Leipzig, en Allemagne, a réussi à réaliser une expérience dans le plus petit canal jamais utilisé - un microcanal de moins de 30 atomes de diamètre. Les chercheurs révèlent que l'écoulement de l'hélium superfluide dans ce robinet miniature semble effectivement ralentir.
"Les résultats que nous avons obtenus suggèrent qu'un robinet quantique adopte effectivement un comportement fondamentalement différent", affirme Guillaume Gervais, professeur de physique à McGill, qui a dirigé le projet. "Nous n'en avons pas encore la preuve irréfutable, mais nous croyons avoir franchi une étape importante vers la confirmation expérimentale de la théorie de Tomonaga-Luttinger dans un véritable liquide."
Les résultats de cette étude pourraient un jour contribuer à la mise au point de nouvelles technologies, comme des nanocapteurs dotés d'applications dans les systèmes GPS. Mais pour l'instant, affirme le professeur Gervais, les résultats sont intéressants simplement "parce qu'ils repoussent les limites de la compréhension des choses à l'échelle nanométrique. Nous approchons de la zone grise où tous les concepts physiques changent."

Auteur: Science Advances

Info: Internet 17 mai 2015

[ nanomonde ]

 

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H

Cette lettre symbolise l'hydrogène, de numéro atomique 1, qui est l'élément chimique le plus simple et le plus abondant de l'univers.

Les étoiles brillent parce qu'elles transforment d'immenses quantités d'hydrogène en hélium. Notre Soleil, à lui seul, consomme 600 millions de tonnes d'hydrogène par seconde, qu'il convertit en 596 millions de tonnes d'hélium. Imaginez un peu : 600 millions de tonnes par seconde! Et même la nuit !

Mais où partent les quatre millions de tonnes de différence par seconde ? Ils sont convertis en énergie, selon la célèbre formule d'Einstein : E = mc2. Un peu plus de mille cinq cent quatre-vingt-sept grammes par seconde partent vers la Terre où ils vont créer la lumière de l‘aube, la chaleur d'un après-midi d'été ou le flamboiement du crépuscule.

La consommation effrénée d'hydrogène par le Soleil nous fait tous vivre, mais l'importance de cet élément pour la vie telle que nous la connaissons commence plus près de chez nous. L'hydrogène s'allie en effet à l'oxygène pour former les nuages, les océans, les lacs et les rivières. Il se combine au carbone, à l'azote et à l'oxygène pour former la chair et le sang de tous les êtres vivants.

L'hydrogène est le plus léger de tous les gaz - plus léger même que l'hélium - et il coûte beaucoup moins cher, d'où son emploi malencontreux dans les premiers aéronefs comme le Hindenburg. Vous avez sans doute entendu parler de cette tragédie - bien que, dans les faits, les passagers soient morts des suites de leur chute et non brûlés par l'hydrogène, moins dangereux à transporter dans un véhicule que de l'essence.

L'hydrogène est l'élément le plus abondant, le plus léger et le plus apprécié des physiciens parce qu'avec un seul proton et un seul électron, leurs formules de mécanique quantique fonctionnent à merveille. Dès que l'on passe à l'hélium (avec deux protons et deux électrons), les physiciens abandonnent le terrain aux chimistes.

Auteur: Gray Theodore

Info: Atomes : Une exploration visuelle de tous les éléments connus dans l'univers

[ nanomonde ] [ science fondamentale ] [ résumé ] [ abrégé ] [ source ]

 

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mondes du dessous

En géologie, le terme "monde souterrain" peut faire référence à des espaces souterrains tels que des grottes, des cavernes ou des réseaux d'eau souterrains. Ces domaines cachés existent sous la surface de la Terre et sont étudiés pour comprendre les formations géologiques, les systèmes d'eau souterraine ou les habitats des espèces souterraines.

En astronomie, le concept d'infra-monde souterrain métaphoriquement à des régions situées sous l'univers observable, comme d'hypothétiques univers parallèles ou des dimensions qui restent invisibles ou inaccessibles pour nous.

Dans les contextes religieux ou mythiques, le concept d'inframonde souterrain fait souvent référence à un royaume ou à un lieu associé à l'au-delà, généralement séparé du monde des vivants. Cette croyance est répandue dans diverses cultures et religions, comme l'Hadès de la mythologie grecque, l'Hel de la mythologie nordique ou le concept de Naraka dans l'hindouisme et le bouddhisme. Dans les approches religieuses imaginaires, ce monde d'en-dessous est souvent dépeint comme un lieu où les âmes des défunts se rendent après la mort, subissant un jugement ou une punition en fonction de leurs actes durant leur vie.

Il est important de noter que les interprétations scientifiques et religieuses-imaginaires du terme "monde souterrain" diffèrent considérablement. Alors que la science cherche à expliquer les phénomènes naturels par des preuves empiriques et l'observation, les croyances religieuses ou mythiques sont basées sur la foi, les expériences spirituelles ou les traditions culturelles.

Métaphoriquement, le monde d'en dessous et le nanomonde partagent des similitudes en termes de nature cachée, mystérieuse et invisible. Tout comme on imagine un royaume caché sous la surface, le nanomonde représente un monde secret qui existe à une échelle beaucoup plus petite que celle que nous pouvons observer, hors de portée de notre perception normale et nécessitant des outils et des techniques spécialisés pour être explorés et compris.

En outre, inframonde et nanomonde sont souvent associés à la notion de découverte et de mise au jour de connaissances inédites. Dans de nombreuses mythologies, l'exploration de ce monde "au-dessous" était considérée comme un voyage permettant de comprendre les mystères de la vie, de la mort et de l'au-delà. De même, l'exploration du nano-monde permet aux scientifiques et aux chercheurs d'explorer et de manipuler la matière au niveaux atomique et moléculaire, ce qui conduit à de nouvelles découvertes et à des avancées dans divers domaines, notamment la médecine, l'électronique, la science des matériaux et bien d'autres encore.

Il est important de noter que ce lien entre cet underworld et le micro-monde est une interprétation allégorique, qui souligne les similitudes de leur nature cachée et le besoin d'exploration et de recherche plutôt qu'une compréhension scientifique ou religieuse littérale.

Auteur: Chatgpt3.5

Info:

[ définitions ] [ linguistique ] [ basses vibrations ] [ énigme ] [ enfer ] [ micromonde ]

 

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anecdote

Demodex Folliculorum crapahute sur votre visage et ses excréments provoqueraient la couperose. De minuscules insectes se cachent dans les pores de votre peau en ce moment, ils sont étroitement liés aux araignées et ils vivent de votre sébum sur votre visage. Habituellement, rosaceces acariens sont inoffensifs, mais si vous en abritez un trop grand nombre, leur tendance à se décomposer lorsqu'ils meurent, pendant qu'ils sont à l'intérieur de vous, peu devenir un peu problématique. En effet, selon le chercheur Kevin Kavanagh de l'université nationale d'Irlande, ces acariens pourraient être responsables de ce que l'on appelle la couperose ou rosacée (image ci-contre), une maladie chronique de la peau qui touche environ 5 à 20 % de la population mondiale.

Ces minuscules acariens à huit pattes (arachnides), vivent dans les pores de la peau du visage. Ils sont particulièrement friands des follicules pileux des sourcils et des cils et des pores huileux (sébum) plus localisés sur le nez, le front et les joues. Appelés Demodex, les acariens mangent le sébum et colonisent votre visage lors de votre puberté.

Instant frisson : Ils rampent sur votre visage dans l'obscurité pour s'accoupler, puis s'introduisent dans les pores pour y pondre leurs oeufs et meurent. Les adultes en bonne santé ont environ un ou deux acariens par centimètre carré de peau du visage. Les personnes atteintes de rosacée, cependant, peuvent en contenir 10 fois plus, selon Kavanagh. La recherche (lien plus bas) suggère que le stress, qui provoque des poussées de rosacée, modifie les substances chimiques dans le sébum, ce qui en fait une meilleure nourriture pour les acariens.

Le pauvre Demodex ne dispose pas d'un anus et ne peut donc pas se débarrasser de ses matières fécales. Leur abdomen grossit de plus en plus et quand ils meurent et se décomposent, ils libèrent tous leurs excréments accumulés, dans les pores. Lorsque les acariens sont nombreux, les excréments relâchés sont suffisants pour déclencher une réaction immunitaire, des inflammations et des lésions tissulaires. Kavanagh note qu'une sorte de bactérie vit dans ces acariens, le Bacille oleronius, qui est tuée par les antibiotiques contre la rosacée et pas par d'autres types d'antibiotiques. 80 % des personnes avec la sorte la plus commune de rosacée ont des cellules immunitaires dans leur sang qui réagissent fortement à deux protéines de la B. Oleronius, déclenchant ainsi l'inflammation. Seulement 40 % des personnes sans rosacée ont cette réaction.

Donc, vous l'aurez certainement compris, il ne faudra pas chercher à vous débarrasser à tout prix de ces gentils monstres en vous frottant le visage avec du papier de verre, car ce n'est pas la cause première de vos problématiques de couperose. Ces acariens arachnides sont utiles, vous êtes juste victime d'un dérèglement temporaire dans votre production de sébum (comme pendant l'adolescence), mais qui peut devenir chronique une fois adulte, à cause notamment du stress. Le sébum qui lui-même est censé protégé votre peau lorsqu'il n'est pas surproduit ou d'une composition chimique différente. Tout est une question d'équilibre!

Auteur: Internet

Info: publié sur le Journal of Medical Microbiology : The potential role of Demodex folliculorum mites and bacteria in the induction of rosacea

[ homme-animal ] [ nanomonde ]

 

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nanomonde

Une découverte pourrait bouleverser un principe fondamental de la physique des particules 

L’une des règles fondamentales qui régissent le champ de la physique explique que les particules de charges opposées vont s’attirer, tandis que celles dont la charge est identique vont se repousser. Un principe qui, en réalité, peut être démenti, comme le dévoilent des chercheurs de l’université britannique d’Oxford dans une récente étude.

La science physique est régie par un certain nombre de règles fondamentales. L’un de ces principes établit que les particules peuvent être dotées d’une charge positive ou négative, qui va dicter leur comportement en présence d’autres particules.

Ainsi, si vous mettez en présence deux particules qui ont des charges opposées, elles vont s’attirer. En revanche, celles qui possèdent la même charge vont se repousser. Cette force électrostatique, connue sous le nom de "loi de Coulomb", se fait plus forte au fur et à mesure que la charge totale augmente et que les particules se rapprochent.

Néanmoins, des chercheurs de l’université d’Oxford (Royaume-Uni) ont récemment découvert que, dans certaines circonstances, les particules pouvaient attirer celles de la même charge. Ces exceptions ont été évoquées dans une étude parue le 1er mars dans la revue scientifique Nature Nanotechnology.

Une nouvelle force d’attraction découverte

Dans le détail, les scientifiques qui ont pris part à cette étude ont appris qu’il existait des particules chargées qui, lorsqu’elles se retrouvent en suspension dans certaines solutions, vont attirer des particules de même charge. Il arrive même que cela se produise sur des distances relativement longues, précisent les experts, qui ont aussi remarqué que les particules chargées positivement et négativement se comportaient différemment selon les solutions.

L’équipe, qui a réalisé divers tests, a mis en suspension des microparticules de silice chargées négativement dans l’eau. Une opération qui a démontré aux spécialistes que, sous un certain niveau de pH, ces particules pouvaient s’attirer les unes les autres pour former des amas de forme hexagonale. Un constat qui, a priori, viole le principe électromagnétique de base selon lequel les particules de même charge sont répulsives à n’importe quelle distance.

La structure des solvants au cœur de cette étude

Dans un second temps, les universitaires ont décidé d’étudier cet effet en adoptant une autre stratégie. Cette fois-ci, ils ont eu recours à une théorie des interactions interparticulaires qui prend en compte la structure du solvant. Cette technique s’est avérée payante, puisqu’ils ont mis au jour une nouvelle force d’attraction, capable de vaincre la répulsion électrostatique.

Or, ce n’était pas le cas en ce qui concerne les particules de silice aminée chargées positivement. Quel que soit le pH, cette interaction reste en effet répulsive dans l’eau. Les chercheurs, désireux de savoir s’il était possible d’inverser la situation, ont découvert qu’en utilisant un solvant différent (des alcools, en l’occurrence), les particules négatives restaient répulsives, tandis que les particules chargées positivement se regroupaient.

Aux yeux des auteurs de cette étude, ces enseignements sont tout sauf anecdotiques. Ils pourraient, en effet, inciter leurs pairs à repenser considérablement les hypothèses formulées à ce jour dans ce domaine. Ces apprentissages pourraient également être mis en pratique dans le champ de la chimie et intervenir dans divers processus, tels que l’autoassemblage, la cristallisation et la séparation de phases. 

Auteur: Internet

Info: Sur geo.fr, Charline Vergne, 5 mars 2024

[ aimantation ] [ renversement ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste