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perdu

Je vadrouille à travers les jours comme une putain dans un monde sans trottoirs.

Auteur: Cioran Emil Michel

Info: Syllogismes de l'amertume

[ égaré ]

 

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apprentissage

La vie m'éduque et la vadrouille m'ouvre l'esprit : les rencontres m'apprennent bien plus que leurs profs...

Auteur: Arkana Keny

Info: Je Me Barre

[ autodidacte ]

 

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écriture

Ayant donc formé le projet de décrire l'état habituel de mon âme dans la plus étrange position où se puisse jamais trouver un mortel, je n'ai vu nulle part manière plus simple et plus sûre d'exécuter cette entreprise que de tenir un registre fidèle de mes promenades solitaires et des rêveries qui les remplissent quand je laisse ma tête entièrement libre, et mes idées suivre leur pente sans résistance et sans gêne. Ces heures de solitude et de méditation sont les seules de la journée où je sois pleinement moi et à moi sans diversion, sans obstacle, et où je puisse véritablement dire ce que la nature a voulu.

Auteur: Rousseau Jean-Jacques

Info: Les Rêveries du promeneur solitaire

[ vadrouilles imaginatives ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

déclic

Je m'appelle Simon, j'ai 23 ans. J'ai contracté mes acouphènes il y'a un an.
J'étais en vadrouille au Costa Rica en Amérique Centrale. J'ai eu l'occasion de faire une école de méditation, la Vipassana pour ceux qui connaissent. Au bout du 4e jours, je me suis senti partir, sans bien comprendre ce qui m'arrivé. En revenant, le coté supérieur gauche de mon corps était très engourdi, comme une mini hémiplégie. J'ai eu très chaud... et depuis ce jour là j'ai des acouphènes.
J'ai un accouphène hyper aigu moi aussi depuis 4 ans bientôt, je m'y suis totalement habitué mais les trois premiers mois ont été très très dur moralement.
Le mien est à 17khz (j'ai utilisé un logiciel générant des fréquences audio et c'est à cette fréquence que mon accouphène entre en "résonance" et où j'entends un son qui parait très amplifié).

Auteur: Internet

Info:

[ ésotérisme ] [ amorce ] [ cornement ] [ métaphysique ]

 

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handicap

V-A : Perdre la vue est un deuil et vous avez vraiment vécu , je crois, de ce côté, les différentes étapes du deuil ; déni, refus, marchandage et enfin, acceptation. Cela vous a pris du temps. Vous souvenez-vous de quand vous avez enfin lâché de ce côté et ce que cela a changé, dans le voyage et en vous ?

J-P B : Le schéma proposant différentes étapes à franchir pour faire son deuil d’une perte importante s’est révélé exact me concernant, mais naturellement, dans la réalité, les choses sont plus emmêlées, elles se chevauchent, il y a de nombreux retours en arrière… Le premier vrai déclic a eu lieu lorsque j’avais 18 ans. J’étais en vadrouille, assis au bord du Rhône, et d’un seul coup, l’évidence d’être une conscience installée dans l’instant m’a habité avec une force incroyable qui ne pouvait rien être d’autre que juste ! Comme si, avant, je ne m’étais perçu que comme une image, une apparence : aveugle, handicapé. Là, d’un coup, on trempait cette image dans un bain de confiance (un simple moment de vie) et à force de tous ces trempages, le cadre figé (l’identification à un aveugle, perçu de l’extérieur) disparaissait et le vrai moi se révélait peu à peu. Tout ceci a été très long. Cesser d’avoir honte de demander aux autres par exemple. Tant que l’on n’accepte pas ce que l’on est, on vit dans le regard de l’autre et un rien vous blesse, un rien vous humilie. J’ai bien avancé de ce côté, heureusement. Je suis désormais un thermomètre plongé dans le trou du cul du monde : quand on ne répond pas à ma demande, c’est simplement que je suis quelque part où le monde n’entend pas les gens et donc ne se porte pas bien. Je ne me vis plus comme un handicapé, mais comme quelqu’un de différent, de complémentaire, ce qui est la réalité. Quand dans la vie vous échoie un handicap, cela ressemble beaucoup à une grosse m… mais ce n’en est pas une. C’est un bouquet que la vie vous offre pour grandir, un accélérateur de particules. Et mon ami Philippe Pozzo di Borgo que vous connaissez bien pour avoir inspiré le film "Intouchables" est parfaitement de mon avis. La différence, c’est que nous, on est quasi obligés de se transformer pour trouver la paix, alors que les gens dits "normaux" subissent moins de pression et souvent, malheureusement, n’essaient même pas de changer.

Auteur: Brouillaud Jean-Pierre

Info: http://www.voyageons-autrement.com/jean-pierre-brouillaud-l-illusion-du-handicap. Interview de Jerome Bourgine

[ initiatique ] [ non-voyant ]

 

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Ajouté à la BD par miguel