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équivoque

De la vendeuse de poisson qui crie : - elle est belle ma raie, elle est belle...

Auteur: Internet

Info:

[ ambivalences ]

 

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ville

C'était presque palpable - là, à l'intérieur du vieillard, de la vendeuse malchanceuse et de la fillette délaissée - cette solitude urbaine partagée par tant de gens, et pourtant toujours distincte, tellement individuelle et tellement commune.

Auteur: Heim Scott

Info: Nous disparaissons

[ isolements ]

 

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femmes-par-homme

C'était une jalousie maussade des vendeuses contre les clientes bien mises, les dames dont elles s'efforçaient de copier les allures, et une jalousie encore plus aigre des clientes mises pauvrement, des petites-bourgeoises contre les vendeuses, ces filles vêtues de soie, dont elles voulaient obtenir une humilité de servante, pour un achat de dix sous.

Auteur: Zola Emile

Info: Les Rougon-Macquart, tome 11 : Au bonheur des dames

[ littérature ] [ femmes-entre-elles ]

 

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liberté

J’aimais vivre ainsi, me lever après avoir dormi tout mon saoul, n’être attaché qu’au soleil ou au froid, aller au port me promener. J’aimais m’asseoir au soleil et au vent, dans les jardins du quartier avec les vieillards arthritiques, saluer les vendeuses de fèves de la Piazza Vacchero, m’étendre dans l’herbe des collines et parler avec Mario de femmes, d’autrefois et d’après.

Auteur: Arpino Giovanni

Info: Giovanni le bienheureux, P 26

[ flâner ]

 

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sociologie

Presque toutes les vendeuses, dans leur frottement quotidien avec la clientèle riche, prenaient des grâces, finissaient par être d’une classe vague, flottant entre l’ouvrière et la bourgeoise ; et, sous leur art de s’habiller, sous les manières et les phrases apprises, il n’y avait souvent qu’une instruction fausse, la lecture des petits journaux, des tirades de drame, toutes les sottises courantes du pavé de Paris.

Auteur: Zola Emile

Info: Les Rougon-Macquart, tome 11 : Au bonheur des dames

[ mimétisme ] [ rapports humains ] [ femmes-entre-elles ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

vêtements

La vendeuse, une fille d'une vingtaine d'années au visage recouvert d'une épaisse couche de poudre et aux yeux fardés de mauve, la considérait d'un air méfiant. Ce jour-là, Razia portait une chemise d'homme sans col sur un pantalon brun extensible qui s'achevait malencontreusement avant le haut de ses chaussettes. La vendeuse jeta un rapide coup d’œil à ses propres vêtements, qu'elle lissa machinalement comme s'ils risquaient d'être contaminés par un terrible virus anti-mode.

Auteur: Ali Monica

Info: Sept Mers et Treize Rivières

[ femmes-entre-elles ]

 

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discordance

Grande surface cherche vendeuse en poissonnerie. Je vous imprime l'annonce, elle peut vous intéresser. Mon conseiller est tout ce qu'il y a de plus sérieux. Alors, par politesse, je me retiens de rire. Pourtant, les bras m'en tombent. Je suis titulaire d'un bac+4, spécialisée dans le commerce, le management et le marketing, je parle l'anglais et le russe, et Pôle Emploi me propose de vendre du poisson derrière un étal...Je n'ai rien contre ce métier-à part l'odeur-, mais ce n'est pas le mien. Je suis assistante commerciale dans le tertiaire, au chômage depuis quelques mois. Et j'ai bien peur que Pôle Emploi ne puisse pas faire grand-chose pour moi.

Auteur: Tressos-Le Dauphin Alexandra

Info: Au boulot, chomette

[ formation ] [ disproportion ] [ travail ]

 

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humour

C'est une dame qui se cherche un sac à main car on lui a volé le sien. elle entre chez un grand maroquinier, et là, la vendeuse lui présente un assortiment de sacs pour dames. Il y en a un qui lui plait vraiment, petit parfait pour la ville et le soir.
La vendeuse lui dit : vous avez raison madame c'est notre plus bel article
La dame demande: - Quel est son prix?
- 10000 francs, répond la vendeuse
- 10000 francs, dit la dame, Mais c'est horriblement cher pour un petit sac de rien du tout!
- Peut être', dit la vendeuse, 'mais ce sac est fait en vraie peau de bite humaine ..
- Et alors' dit la dame
- Eh bien si vous le chatouillez un peu vous avez un sac de voyage...

Auteur: Internet

Info:

[ absurde ]

 

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nationalisme

Vos Tatars, là, on va les expulser, déclara la vendeuse... On va sûrement les forcer à retourner dans leurs ouzbekistans. Ils auraient mieux fait d’y rester bien tranquilles plutôt que de revenir ici…

– Mais c’est leur terre, objecta timidement Sergueïtch.

– Leur terre ? C’est la meilleure ! s’indigna la femme benoîtement. Elle est russe et chrétienne, et ça depuis la nuit des temps ! Bien avant les Tatars, les Russes ont apporté de Turquie le christianisme ici. À Chersonèse. Il n’y avait alors aucun musulman. Ce sont les Turcs qui plus tard les ont envoyés en même temps que l’islam. Poutine, quand il est venu, a raconté lui-même tout ça : ici, on est en sainte terre russe.

- Bon, moi, je ne connais pas l’histoire. Les choses peuvent s’être passées de mille façons.

– Les choses se sont passées comme Poutine l’a dit, insista la vendeuse. Poutine ne me ment pas.

Auteur: Kourkov Andreï

Info: Les abeilles grises. (Il est question de la Crimée)

[ religion ] [ irrédentisme ] [ droit du sol ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

femmes-hommes

Il se rendit chez Hélène en sortant de l’hôpital.
Dès qu’il arriva, il s’enferma dans la salle de bains. Un gant de toilette s’égouttait sur le rebord du lavabo. Hélène venait de se laver. La brosse à dents était mouillée. Hélène voulait avoir l’haleine fraîche au cas où Loïc l’embrasserait. Il vit, sur un coin de la baignoire, une boîte bleue. Une boîte plate, presque ovale, qui ressemblait à un grand poudrier. C’était la boîte d’un diaphragme. Loïc l’ouvrit. Elle était vide. Il sourit. Ainsi, Hélène s’était préparée pour lui. Elle s’était soigneusement lavée et, jambes fléchies, un pied en appui sur le bord de la baignoire, elle avait mis son diaphragme. Puis elle avait enfilé un slip propre, neuf peut-être, avec le soutien-gorge assorti. Elle avait sûrement quitté son bureau plus tôt que d’habitude et elle était allée au magasin de lingerie. Elle avait essayé plusieurs modèles. Nue dans la cabine, elle avait sans doute eu froid. Elle s’était rapidement décidée. La vendeuse lui avait souri, complice. Et maintenant, elle était assise à côté de lui, propre, dans ses beaux dessous, avec, dans la bouche, le goût du dentifrice. Il lui parlait, elle ne l’écoutait pas. Elle pensait au moment où il se déciderait à poser la main sur elle, à la toucher, à la caresser. Elle y penserait au restaurant et dans la voiture, au retour. Jusqu’à ce qu’il s’arrête devant chez elle, sans se garer, sans couper le contact. Là, elle comprendrait. Les sous-vêtements neufs et le diaphragme n’auraient servi à rien. Elle rentrerait seule. Dans la salle de bains, elle verrait le gant de toilette avec lequel elle s’était lavée et la boite bleue et elle se jetterait sur son lit en pleurant. Lui, il irait chez Brigitte.

Auteur: Bernheim Emmanuèle

Info: Un couple

[ littérature ]

 

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