Bien qu'il y ait maints fleuves ils ne font qu'un dans la mer.
Dans l'océan où ils se perdent, ces fleuves n'ont qu'une saveur même s'ils paraissent multiples. Et la mer reste immuable sans croître ni décroître.
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Info: Mahayana cité et traduit par André Padoux, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.343
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