Bien plus que le temps, c'est le sommeil qui est l'antidote du chagrin. L'insomnie, en revanche, qui grossit la moindre contrariété et la convertit en coup du sort, veille sur nos blessures et les empêche de dépérir.
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Info: Aveux et anathèmes, 1987, Oeuvres, Quarto Gallimard 1995, p.1686
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