C'est souvent l'imprévu qui modifie le plus le comportement d'un être vivant et, par conséquent, c'est ce qui lui apporte le plus. On constate un grand paradoxe : c'est ce qui est inconnu, non prévisible, non planifié qui est le plus constructif.
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Info: De la vie in silico, p.90, in La Complexité, vertiges et promesses, Le Pommier/Poche, 2006
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