perdu

[...] bientôt il ne restera du monde que quelques mécanismes horlogers qui se dévideront jusqu'au silence. Alors effectivement la terre sera morte. Il n'y aura plus que le bruit des eaux, du vent, mais pour aucune oreille. Et je me dis que déjà nous en sommes là et que nous tous qui parlons, marchons, nous n'avons pas plus d'épaisseur que des images... des images, c'est cela avec lesquelles se distraient les dieux...

Auteur: Faraggi C.

Info: Le maître d'heure, p.127, Folio n° 990

 

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