L'autre, l'homme à l'habit vert, le bourgeois riche, avec sa torve de gueule de faux Gréco, ses décorations de Paul Bourget macérées dans le foutre rance et l'eau bénite, ces oscillations entre l'Eucharistie et le bordel à pédérastes qui forment l'unique drame de sa prose aussi bien que de sa conscience, c'est l'un des plus obscènes coquins qui aient poussé dans les fumiers chrétiens de notre époque.
Auteur:
Info: à propos de François Mauriac
Commentaires: 0