L'idée de "parler mathématique" avec un ordinateur peut être élargie à celle d'apprendre les mathématiques en "Mathématie", tout comme on apprendrait l'italien en Italie. [...] Mon hypothèse est donc qu'une large part de ce que nous considérons à l'heure actuelle comme "trop formel" ou "trop mathématique" s'apprendra aussi simplement que la langue du pays dès l'instant où, dans un futur très proche, les enfants grandiront dans un monde riche en ordinateurs.
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Info: Jaillissement de l'esprit, p.17, Champs-Flammarion,210, trad. Rose-Marie Vassallo-Villaneau, 1981
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