Par rapport au jazz, que je considère comme mon vrai métier, j'aborde le cinéma avec nonchalance. Franchement, aucun autre métier paye autant pour bosser aussi peu. Je n'ai jamais souffert sur un tournage, même sur Loulou, avec Pialat qui était fâché avec le bonheur. Ma seule souffrance, c'est quand la cantine est mauvaise.
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Info: Télérama nº 3021 déc. 2007
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