Je la regardais marcher, jusqu'à ce que mes yeux soient fatigués, et je pensais que je n'oublierais jamais.
Je la regardais marcher, et là j'ai compris.
Il n'y avait pas de parc, en réalité. Il n'y avait pas d'arbres, ni d'herbe. Hélène allait et venait à l'intérieur de son propre esprit. Elle ne savait pas où elle allait. Elle tournait en rond à l'intérieur d'elle-même.
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Info: Le lagon et autres nouvelles, Des femmes, p.154
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