Mourir cent fois le jour, et ne pouvoir mourir,
C'est le mal qui me tue, et dont je meurs sans cesse,
Comme un fleuve qui passe et qui ne peut tarir.
Auteur:
Info: Les Délices de la poésie française, 1620, in Anthologie de la Poésie française du XVIIe siècle, Poésie/Gallimard, p. 120
Commentaires: 0