marginal

Le fort est, chez Nietzsche, une individualité supérieure qui ne cherche pas à dominer les autres, ce qui serait un signe de faiblesse. Au contraire, le fort, fondamentalement, recherche la solitude de l'esprit, la distance, le quant-à-soi. Souvent, en effet, ce qu'on appelle la société n'est qu'un rassemblement fondé sur la faiblesse. On a peur de penser par soi-même. On suit ce que les autres pensent. On se rassemble avec eux et l'ont dit du mal de ceux qui n'entrent pas dans le moule du conformisme collectif.

Auteur: Vergely Bertrand

Info: Nietzsche ou la passion de la vie

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