guerre

Nous sommes tous très fatigués. Mes hommes manquent de sommeil à tel point que les guetteurs s'endorment. Je suis obligé d'employer des sanctions peu ordinaires: le fautif, par exemple, est envoyé à l'extérieur des barbelés pour continuer son guet. Il n'est armé que d'un bambou. C'est la peur qui le tient éveillé.

Auteur: Sergent Pierre

Info: Ma peau au bout de mes idées avec envoi de l'auteur

[ recette ]

 

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