Nous étions terrifiés à l'idée de nous arrêter, d'arrêter quoi que ce soit et d'admettre que quelque chose n'allait pas. Il semblait que nous aspirions tous à cette activité frénétique. (...)
Tout se passerait bien, tout serait possible, tout pourrait être sauvé, tout danger serait écarté tant que nous resterions tous en mouvement.
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Info: Le parfum de ces livres que nous avons aimés, p.36
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