Le samsara, [...] c'est l'esprit affligé et obscurci par d'innombrables constructions mentales, vacillant tel l'éclair dans la tempête, et recouvert par la souillure tenace de l'attachement et des autres passions. L'excellent nirvana, lui, est lumineux et libre de toute construction mentale, Débarrassé de la souillure de l'attachement et des autres passions.
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Info: 700, Prajopayaviniscayasiddhi, IV section : la contemplation de la Réalité, cité et traduit par André Padoux, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.298
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