Alors, j'ai renoncé et lorsque, plus tard, on m'a proposé ce poste de médecin d'usine, j'ai accepté parce que je savais ne pas être taillé pour continuer la lutte. J'ai cru y trouver une tranquillité de l'esprit, une absence de responsabilité. C'était faux. La mort s'est trouvée remplacée par le travail; la souffrance, la peur, l'ennui sont sous mes yeux tous les jours: c'est la condition ouvrière.
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Info: Partage de la soif
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