pensée-de-femme

Nous nous mêlons, nous enchaînons nos corps, nous n'avons plus qu'une même chair, nous ne sommes plus qu'une même créature et quand notre étreinte se desserre et que tu sors de moi, je sens bien que je suis plus à toi et que tu es plus à moi. Mon corps a absorbé du tien et le mien t'a donné ce qu'il avait de meilleur.

Auteur: Anonyme

Info: Mademoiselle S.: Lettres d'amour 1928-1930

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