Presque mélancoliquement, il caressa ses petits seins nus. Elle joua un brusque glissando descendant et se pencha tellement en arrière sur un interminable et sombre si bémol que le chemisier glissa de ses épaules. Puis de façon dissonante, elle joua un si bécarre ; Wolfgang se figea jusqu’à pouvoir comprendre ce quelle faisait. Elle ne jouait le vibrato que d’une main tout en secouant l’autre bras pour en faire glisser la manche et elle répéta l’opération avec la même ravissante évidence. Cette fois, un do dièse retentit dans l’espace bleu noir. Fasciné, Wolfgang la regarda en se demandant s’il pourrait désormais penser à un do dièse sans revoir cette scène devant lui.
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Info: Monsieur Mozart se réveille
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