Elle aimait retenir sa respiration et, couchée un long moment, percevoir la chaleur et l'odeur des cristaux de bain. Car Keiko avait appris que le bonheur et le plaisir, c'est aussi simple que de passer du froid à la chaleur, la chaleur d'un foyer, d'une couverture ou de celui qui t'emmitoufle le coeur.
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Info: La soledad, p 20
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