misère

Je me souviens des paroles de ma grand-mère. Elle disait : "durant les périodes de grande immigration au Cameroun, en pays bamiléké, dès que l’on arrivait dans un endroit, on allait toujours demander refuge chez le pauvre, car il a eu froid dans sa vie, il sait de quoi il s’agit, alors il lui serait difficile de rester insensible en nous refusant refuge". Oui, il y avait une certaine solidarité entre pauvres, à cette époque-là, en pays bamiléké.

Auteur: Tagne Foko Michel

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