progrès

Le calme que les Européens et plus particulièrement les Américains européens avaient oublié, ou n’avaient peut-être jamais connu. Le calme d’où provenait la puissance personnelle de l’être humain, cette puissance qui avait capitulé devant la machine qui, apparemment, faisait les choses plus vite et mieux. La machine avait abaissé l’homme industriel, l’avait amené à n’employer que sept pour cent de ses facultés, sinon moins, contre neuf pour cent en moyenne chez les primitifs.

Auteur: Sapir Richard

Info: L'Implacable, tome 2 : Savoir c'est mourir

[ abrutissement ] [ technologie ]

 

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