Je méprise tout particulièrement mon goût pour le paradoxe. Je déteste le pessimisme, le narcissisme, le solipsisme, la truculence, les jeux de mots et la couardise, mes inclinations à commander. J'abhorre la self-détestation, donc moi. N'ayez aucune pitié pour l'auto-apitoiement de fait je suis libre de cette douce bassesse. Je doute que je le sois. Être moi-même, c'est pas de la rigolade.
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