question

Spinoza parle de la vitalité comme de la vertu la plus pure, la seule vertu. Le besoin de perdurer, de s’épanouir, dit-il, est la qualité absolue, partagée par tous les êtres vivants. Que se passe-t-il, toutefois, quand la vitalité devient si puissante que la vertu de Spinoza s’inverse et que, au lieu de s’épanouir, on est conduit à se dévorer ?

Auteur: Greenberg Michael

Info: Le jour où ma fille est devenue folle

[ folie ]

 

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