La mortalité des officiers stationnés à Bombay, Calcutta et Madras avait longtemps été stupéfiante. Aux dix-septième et dix-huitième siècles il n'était pas rare que la moitié des Européens dispersés en Inde meurent dans la première année, de fièvre, d'alcool ou d'insolation. ... Encore un siècle plus tard ... Les statistiques montrent que six officiers sur sept envoyés dans le sous-continent entre 1800 et 1825 ne rentrèrent pas.
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Info: Thug : La confrérie secrète des étrangleurs indiens
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