Le monde de l’âme de Jung est homérique et shakespearien. C’est-à-dire sauvage et barbare, encore païen, à l’archè : à l’origine du jaillissement de la vie et de la mort, dans la démesure des grandes Images (l’hubris).
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Info: Dans "Les cahiers jungiens de psychanalyse", n°53, page 33
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