Ça ressemblait à n'importe quel autre boulot impossible, tu te fatiguais, t'avais envie de te tailler, et puis tu fatiguais encore plus et tu oubliais de te tailler, les minutes n'avançaient pas, tu vivais éternellement la même minute, sans espoir, sans échappatoire, piégé, trop sonné pour te tailler et nulle part où aller si tu te barrais pour de bon.
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Info: Dans "Au sud de nulle part" page 53
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