Le sujet idéal de la domination totalitaire n’est ni le nazi convaincu ni le communiste convaincu, mais celui pour qui les distinctions entre fait et fiction (c.-à-d. la réalité de l’expérience) et entre vrai et faux (c.-à-d. les normes de la pensée) n’existent plus
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Commentaires: 2
Le sous-projectionniste
04.04.2020
On peut le voir des deux côtés je trouve. Mais il semble ici q Ici l'idée veut plutôt entendre que les masses font leur choix sur des critères émotifs
Benslama
04.04.2020
Une formulation paradoxale : le totalitarisme se nourrirait plutôt du doute, que de la conviction...