accessoires sexuels

Le prix unitaire des bites oscillait, suivant la taille, entre 1500 et 2000 francs. A ce moment, j'ai aperçu la frimousse du producteur avec son air bonhomme, oui la tienne, mon cher :
- Pourquoi faut-il tant de bites ?
- Je ne sais pas. Demande à Max.
Les meilleures de toutes étaient, cependant, celles qui avaient une ventouse qu'on pouvait fixer au fond de la baignoire, c'est-à-dire, si j'ai bien compris, aujourd'hui il n'y a pas un endroit tranquille où l'on n'en prenne pas plein le cul.

Auteur: Monteiro João César

Info: In "Une semaine à Paris & autres textes", éd. La Barque, p. 82

[ sodomie ] [ godemichet ] [ cinéma ] [ ironie ]

 

Commentaires: 2

Ajouté à la BD par Benslama

Commentaires

Coli Masson, colimasson@live.fr
2020-04-11 16:35
Une découverte typiquement parisienne ?
Benslama, karim.benslama@orange.fr
2020-04-11 16:42
Il est vrai que Monteiro, portugais, découvre ces "accessoires" à Paris (où il prépare une adaptation de Sade) - j'avoue que je ne suis pas un connaisseur de ce genre de quincaillerie