La présence du professeur Benjamin Peirce, ses longs cheveux gris, sa barbe poivre et sel, les yeux pétillants sous un chapeau de feutre souple alors qu'il traversait la cour du collège d'un pas vif - mais aussi un peu disgracieux, correspondait parfaitement à l'opinion courante parmi nous selon laquelle nous étions en présence d'un véritable génie vivant, avec quelque chose de prophétique dans l'apparence.
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Info: Writing as a Professor Emeritus at Harvard University, a former student of Peirce, in 'Benjamin Peirce: II. Reminiscences', The American Mathematical Monthly (Jan 1925), 32, No. 1, 5. Trad Mg
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