Avant de venir ici [aux Etats-Unis], j’avais l’impression, depuis l’Europe, qu’il [Roosevelt] était un opportuniste, peut-être même un esprit velléitaire. Maintenant que je l’ai vu et entendu parler à Harvard, je suis convaincu que c’est un homme d’envergure, un grand homme. C’est peut-être pourquoi tant de personnes ne l’aiment pas.
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Info: Entretien publié dans le New-York Times, 4 octobre 1936
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