Peur, anxiété et tristesse ne sont pas nécessairement des états d'esprit indésirables ou inutiles ; au contraire, elles sont souvent représentatives d'une douleur nécessaire à la croissance psychologique. Et dénier cette souffrance, c'est nier son propre potentiel. Tout comme il faut souffrir de douleur physique pour renforcer ses os et ses muscles, il faut endurer de la douleur émotionnelle pour développer une plus grande résilience émotive, un sens de soi plus fort, une compassion accrue et en général une vie plus heureuse.
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Commentaires: 3
Coli Masson
30.12.2020
Pas évident ...
miguel
29.12.2020
certainement... reste à trouver les bons tags...
Coli Masson
29.12.2020
Y a-t-il pas une sorte de préjugé derrière cette conception, qu'on pourrait essayer de faire ressortir par étiquette, concernant le lien entre souffrance et croissance ?