citation s'appliquant à ce logiciel
Une fois bien intégrées les règles d'étiquetage, il ne faut pas se refuser à une forme de redoublement dans les tags. C'est à dire que pour pointer un mot/idée, on usera d'un synonyme proche pour étiqueter. Et si on veut vraiment insister pour qu'un concept pointe, on pourra y aller d'un 2e synonyme. Pour "pluie" on pourra joindre "averse", avec "orage", ou "déluge", "crachin", etc. selon les impressions. Et rien n'empêche qu'un extrait contienne deux, voire trois notions principales qu'on voudra souligner. Ceci valant bien sûr pour des textes d'une certaine longueur. Ou pourrait inspirer quelque bibliothécaire numérique qui voudrait développer une classification affinée des "contenus" d'un livre ou de ses parties. Ce qui fait penser à certaines éditions de Jules Verne où l'en-tête de chaque chapitre en détaille la matière.
Sauf que sur FLP l'ĥumain catalogage ne se refuse pas à l'intrication au simultanément et à toutes les temporalités possibles, conservant pour unique boussole le sens du ou des contenus. Les formulations de l'imaginaire humains n'étant plus limitées ici, sauf par les mots et autres tournures des idiomes divers - une fois ceux-ci transposés en français.
De fait, pour tenter de nourrir au mieux ce complexe corpus sémantique, il ne faudra pas hésiter à utiliser FLP en rétroaction, ainsi que les sites de synonymes, étymologiques, etc. qui foisonnent sur le web. Un autre objectif étant que l'extrait puisse être retrouvé sans trop de difficulté par celui qui l'a inséré ; ce qu'on nommera "réflexivité inversée" voire, le temps passant : "vérification diachronique des principes ou des représentations personnelles".
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Info: 30 avril 2021
Commentaires: 4
Coli Masson
02.05.2021
Oui, finalement c'est du bon sens.
miguel
02.05.2021
merci pour la remarque, qui permet d'affiner l'idée, ce que je vais faire de ce pas
miguel
01.05.2021
certes mais si l'extait est long ça peut être nécessaire