Liszt s’intéresse beaucoup à la littérature ; il lit tout ce qui lui tombe sous la main et pose ainsi les fondements d’une vaste culture. Beaucoup de ses auteurs préférés — Lamennais, Lamartine, Sainte-Beuve, Dumas, Balzac, Hugo et Heine — deviendront ses amis quelques années plus tard. C’est l’époque de la mode littéraire du "Weltschmerz", le "mal du siècle". La lecture favorite de Liszt est René, inséré par Chateaubriand dans le Génie du Christianisme, un pendant du Werther de Goethe. Le bilan de René — le héros renonce à sa passion pour se consacrer exclusivement à la foi et à la religion.
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Info: En 1829
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