Dès l’origine, l’enfant se nourrit de paroles autant que de pain, et il périt de mots. Comme le dit l’Évangile, l’homme ne périt pas seulement par ce qui entre dans sa bouche, mais aussi par ce qui en sort.
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Info: dans le "Séminaire, Livre IV", "La relation d'objet", éditions du Seuil, 1994, page 261
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