Programmation et autres codages informatiques ont aidé à expandre et enrichir nos capacités de réflexion sémantique. Pensons entre autres à Ted Chiang ou Greg Egan, écrivains informaticiens, héritiers d'une structuration de la pensée qu'on dit initiée par Leibniz.
Ce qui est intéressant ici c'est l'opposition entre les froides et complexes déductions cybernétiques - souvent statistiques - et l'éphémère et fondamentale instabilité des humain(s) qui en sont à la source.
Quoi faire ? Comment aborder et traiter ce paradoxe rationalisme-émotion - comme émané d'une divine et duale matrice à la source de tout - et qu'on remarque particulièrement dans les guerres infomationnelles en ce début de troisième millénaire globalisé ?
En esquisse de réponse on pourra aventurer que le langage humain, d'une grande pauvreté conceptuelle puisqu'encore et toujours enfermé dans notre logique du tiers exclus, ne peut, fondamentalement, qu'exprimer les constants paradoxes qu'il porte en lui. Comme si on répondait ainsi au paragraphe précédent.
"La réponse est simple Carl. C'est la différence entre sympathie et empathie." (T. Chiang - L'histoire de ta vie).
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Info: 18 mars 2022
Commentaires: 7
Coli Masson
24.03.2022
je sais.
miguel
23.03.2022
Je l'ai
Coli Masson
23.03.2022
Axiomatique Non gratos dans le cadre du masse critique. On va voir ... hé hé