Tu prends appui sur ton destin
Tu recomposes ton courage
L’hiver approche
Un instant tu t’exiles de toi-même
Et tu deviens l’ouvrier d’une vie
Qui jamais ne renonce
Voici qu’enfin tu nommes ta demeure
Pour contempler tes mains
Que vient combler le blé des nuits
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Info: "Le vent qui porte les pollens", extrait inédit paru dans la revue Arpa (135)
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