[...] Shakespeare a certainement été l’un des êtres qui se sont avancés le plus loin dans l’exploration des oscillations subjectives, au point que son œuvre nous décrit une sorte de cartographie de tous les rapports humains possibles, mais avec ce stigmate qui s’appelle désir en tant que point de touche, ce qui désigne irréductiblement son être – et c’est ce par quoi son œuvre partout recoupée présente une miraculeuse unité de correspondance.
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Info: Dans le "Séminaire, Livre VI : Le désir et son interprétation", éditions de La Martinière et Le Champ Freudien éditeur, 2013, page 480
Commentaires: 4
Coli Masson
26.01.2023
ce n'est pas universel ici : "qui s’appelle désir en tant que point de touche, ce qui désigne irréductiblement son être" et le désir dont parle Lacan n'est pas envie ou appétence, c'est plutôt pente, à la limite conatus, mais pas sûre.
miguel
25.01.2023
faudra que tu m'esspliques
Coli Masson
25.01.2023
Non.