C'est ce qui est amusant avec la critique littéraire : elle déteste son époque et ne se rend compte de sa valeur que vingt ans plus tard. Il suffit de deux décades pour qu'elle les sentimentalise à tout va, par nostalgie d'une jeunesse collective. Les cliques condamnées deviennent d'encensés " mouvements ", des jeunes gens jadis agaçants, d'augustes génies.
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