Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 166
Temps de recherche: 0.0497s

judaïsme

Les Juifs qui nous entourent n'ont plus avec leur religion qu'un rapport de cérémonie et de politesse. Je demandais à l'un d'eux pourquoi il avait fait circoncire son fils. Il me répondit: - Parce que ça faisait plaisir à ma mère et puis c'est plus propre.

Auteur: Sartre Jean-Paul

Info: Réflexions sur la question juive, 1946, p.79

 

Commentaires: 0

confidentiel

N'ordonnez pas à un enfant de garder un secret, serait-ce même une surprise que vous ménagez à un être chéri ! La discrétion, cette vertu héroïque, demande pour être exercée la force d'une raison plus mûre ; la raison seule enseigne à se taire, le coeur n'apprend qu'à parler.

Auteur: Jean-Paul

Info: Pensées de Jean-Paul/Paris, Firmin Didot 1829 [BnF] <p.29>

 

Commentaires: 0

accueil

- A Paradis, n'entrent ni les races, ni les couleurs de peau, ni les religions, ni l'argent, ni le désir de possession, ni le désir de dominer les autres, ni la violence, ni les égoïsmes, ni les rivalités, prévenait Ma, le premier jour de l'arrivée d'un éclopé de la vie...

Auteur: Nozière Jean-Paul

Info: Camp Paradis

[ havre ] [ refuge ]

 

Commentaires: 0

sensibilité

Je n'aime pas la viande. Ni blanche, ni rouge. Il y a trop de souffrance à l'intérieur. A chaque bouchée, à chaque fois que je mastique, je la sens. Parfois c'est si écoeurant. Ça pèse sur ta langue comme un billot de bois. Et parfois tu ne peux même plus avaler.

Auteur: Dubois Jean-Paul

Info: Le cas Sneijder

[ végétarien ] [ imagination ]

 

Commentaires: 0

solitude

Les arbres de nos villes sont des êtres séparés, qu'on taille et qu'on arrange à notre convenance, comme s'ils étaient nos sujets, nos objets, nos animaux domestiques. Quand tu regardes un arbre, perdu, oublié sur une place ou au bord d'une avenue, demande pardon pour le mal qu'on lui a fait.

Auteur: Bourre Jean-Paul

Info: Préceptes de vie issus de la sagesse amérindienne, p.21, Points/Sagesses n°Sa174

[ isolement ]

 

Commentaires: 0

zen

Si tu restes vide "de pensées", tu pèseras moins à ceux qui te fréquententent, et tu seras plus doux envers eux ; car tu auras la sagesse de ne pas te figurer savoir ce que tu ne sais pas ! Voilà tout ce que peux seulement mon art, et rien de plus.

Auteur: Galibert Jean-Paul

Info: Socrate, Cf. parole

[ rapports humains ] [ transparent ]

 

Commentaires: 0

manque

L'obscénité du sexe féminin est celle de toute chose "béante" : c'est un "appel d'étre", comme d'ailleurs tous les trous ; en soi la femme appelle une chair étrangère qui doive la tranformer en plénitude d'être par pénétration et dilution. Et inversement la femme sent sa condition comme un appel, parce qu'elle est "trouée".

Auteur: Sartre Jean-Paul

Info: "L'être et le néant", cité dans le "Dictionnaire de la Bêtise", éd. Robert Laffont, p. 420

[ le vide et le plein ] [ philosophie ] [ femmes-par-homme ] [ vagin ]

 
Commentaires: 2
Ajouté à la BD par Benslama

femmes-hommes

Quand elle est rentrée, ce soir, elle a enlevé son manteau et elle m'a annoncé qu'elle avait un cancer du sein qui s'était propagé un peu partout. Je l'ai prise dans mes bras et j'ai demandé : "Qu'est-ce qu'on va devenir ?" Elle a allumé une cigarette et a dit : "Qu'est-ce que tu vas devenir ?".

Auteur: Dubois Jean-Paul

Info: Parfois je ris tout seul, p. 119

[ dépendance ]

 

Commentaires: 0

permanence de l'écrit

Quand je prenais un livre, j'avais beau l'ouvrir et le fermer vingt fois, je voyais bien qu'il ne s'altérait pas. Glissant sur cette substance incorruptible : le "texte", mon regard n'était qu'un minuscule accident de surface, il ne dérangeait rien, n'usait pas. Moi, par contre, passif, éphémère, j'étais un moustique ébloui, traversé par les feux d'un phare.

Auteur: Sartre Jean-Paul

Info: In "Les Mots", éd. Gallimard, p. 152

[ métaphore animale ] [ face-à-face ] [ différence d'échelles ]

 
Commentaires: 2
Ajouté à la BD par Benslama

France

Ce ne sont pas des Gaulois hauts en couleur mais barbares, vivant dans des huttes au milieu des forêts, qui auraient été civilisés par leurs vainqueurs ; ce sont des sociétés prospères, à l'économie et aux techniques inventives et dynamiques, possédant villes et battant monnaie, qui furent intégrées avec succès dans un empire naissant, qu'elles fécondèrent d'autant.

Auteur: Demoule Jean-Paul

Info: On a retrouvé l'histoire de France, p.129

[ historique ]

 

Commentaires: 0