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discours analytique
Il faut concevoir le reste de l’opération où le sujet se stabilise comme quotient établi du désir qui l’a engendré au moi qu’il s’est cru être.
D’un tel reste peut s’éclairer l’enjeu (écrivez en-Je) de ce qui constitue un acte : à savoir, là où le sujet se réalise pour ce qu’il est, de sa structure : une perte.
Alors on verra que de la psychanalyse, le sujet sort n’ayant rien fait que d’aliéner ce reste : à savoir le rendre à l’autre dont il provient.
Mais ainsi quitte de sa dette, il peut annuler le créancier lui-même. Il n’a plus besoin de la demande de cet autre pour soutenir son propre désir. Il sait que son désir s’est formé de la zone qui fait barrière à la jouissance. Il se satisfait de ce vide où il peut aimer son prochain, parce que ce vide, c’est là qu’il le trouve comme luimême, et que ce n’est pas autrement qu’il peut l’aimer.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
La psychanalyse en ce temps, La Cause du Désir 2018/3 (N°100), pages 35 à 40
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cure analytique
]
[
description
]
décorporation
L’exportation des perceptions s’opère par la production de fibres de matière epsilon (énergétiques) qui partent de la masse epsilon associée au corps biologique tout en restant reliées à cette masse.
En sélectionnant la partie délocalisée de fibres pour produire ses perceptions, la personne a la sensation d’être ‘’ ailleurs’’ avec une intensité variable, de très faible (1 à 5%) jusqu’à totale (100%). Au stade maximum, l’explorateur ne perçoit plus du tout son corps biologique et a la sensation d’être localisé à l’extrémité du faisceau de fibres epsilon. Dans ce cas, s’il est dépourvu d’expérience de voyage hors du corps, il pensera en avoir vécu une.
C’est une méconnaissance extrêmement répandue qui donne l’illusion à la très grande majorité des praticiens du Marécage de vivre des sorties hors du corps : Chamanisme, Alchimie, trips sous psychotropes, pratiques énergétiques, Magie, etc. Dans 99,99999% des cas, l’expérience de ‘’ fusion avec le tout’’ est une expérience limitée au Marécage.
Dans le cas de l’exportation PSI* la personne reste totalement localisée dans le corps biologique, dans le cas du Voyage la personne n’est PLUS DU TOUT à l’intérieur du corps biologique.
De fortes caractéristiques marquent les différences entre les deux états, voici les principales qui concernent le VOYAGE seulement et aucunement la projection PSI :
- Observation d’un corps non-physique constitué de grains de ‘’lumière’’ vivants, enveloppe parfaitement visible, palpable et magnifique, sans aucun poids, aucune inertie, aucune limite de vitesse
- Présence de la corde d’argent fixée à la nuque du corps de lumière (dans 100% des cas)
- Conscience et mémoire beaucoup plus larges, plus claires, plus intenses, plus puissantes que dans le corps bio-énergétique
- Immersion continue dans des états supérieurs++ : Joie, Liberté, Vie, Confiance, Amour, Exultation continue, Ivresse d’exister, Dieu, Lumière, Eternité, Curiosité, Infini, Emerveillement, Création,
- Possibilité de circuler dans des mondes vibratoires très différents et de sortir totalement des mondes physico-énergétiques (que je nomme le ‘’Marécage’’)
C’est dans le lit, en rejoignant ma bien-Aimée Anne que je commence à tâtonner, à faire n’importe quoi, au hasard (s’il existe).
Tout d’abord, je ressens avec frustration la grande limitation des facultés PSI de mon corps de primate terrestre. Plus je me souviens du corps de SS3, et des autres, plus ce handicap me pèse.
Puis j’installe dans le système neuronal du singe proto-humain l’idée de sortir de la bulle locale, la prison constituée des pensées, des croyances, des pseudo-connaissances, des prétendues sciences terrestres, à commencer par les illusions locales de type ‘’spirituel’’.
L’intention posée agit immédiatement.
Une partie du ‘’moi’’ incarné s’affranchit des limitations terrestres. L’esprit évoque alors mon quotidien d’il y a 40 000 ans, sur SS3. Le rappel de la mémoire, entre autres choses, me pousse vers l’endroit où j’aime souvent aller, dans les moments de pause, après le travail où lorsque je décide de prendre 50 ans de vacances (en temps terrestre).
De l’autre côté de la ‘’ ville ’’ par rapport à mon ‘’ appartement ’’ se trouve le lieu où les Visiteurs Cosmiques arrivent. Bien entendu il n’y a aucune piste d’atterrissage car TOUS les vaisseaux se posent verticalement. Cette zone est juste après l’anneau de la ville (cet anneau n’est pas une route), et par convention, les Cosmiques se garent ici.
Nous n’avons pas beaucoup de visites, alors je suis toujours intéressé par une nouvelle arrivée. Quand je le peux je viens là, parfois juste pour observer, d’autres fois pour communiquer avec les Enfants des Étoiles, quelle que soit leur espèce.
Prodigieuse diversité qui nourrit mon esprit avide de savoir, cette immense curiosité ne semble pas avoir de limites, elle se combine à un esprit supérieur, un mental avancé dont le QI serait de 500 ou 600 en comparaison de celui d’un primate terrestre, et de facultés PSI nominales pour mon espèce.
Je ressens alors la frustration d’avoir quitté ce lieu et de me trouver isolé sur une planète de Rêveurs. Mais j’ai choisi.
Je tente alors de renouer le lien avec un de mes derniers contacts avant mon départ définitif de SS3. Immédiatement, un nouveau souvenir émerge.
Cet être avait gardé son scaphandre parce que l’atmosphère de SS3 aurait tué son corps biologique. Par parenthèse, sur SS3 un humain terrestre perdrait connaissance en moins de 3 minutes puis mourrait.
Lui et moi avons souhaité nous revoir. Mais je suis parti.
Et c’est à ce moment précis de l’évocation que l’exportation PSI jaillit brutalement. Jusque là j’étais conscient d’être dans le lit aux côtés d’Anne, en train de farfouiller dans les souvenirs, et maintenant je suis projeté vers mon contact, sur SS3.
Sensation de délocalisation à plus de 90%.
Les choses vont très vite. Tout d’abord je prends contact avec l’être en question. C’est fulgurant. J’avais complètement oublié que le temps n’est pas le même pour les Voyageurs des Etoiles, et que dans certaines conditions, 40 000 années terrestres sont juste quelques jours dans un autre référentiel.
La connexion avec mon interlocuteur déclenche en une microseconde une réorientation des fibres epsilon. Il m’a donné l’adresse d’un lieu qu’il m’avait évoqué lors de notre premier contact.
Sensation de délocalisation intégrale, je ‘’suis’’ en ce lieu, celui dont il m’a ‘’parlé’’. Je ne perçois plus du tout le corps biologique humain terrestre alors que je m’y trouve encore, à 100%.
Tout d’abord je vois un immense bâtiment blanc fait de formes arrondies, dont une ‘’ casquette ’’ gigantesque surplombant ce qui ressemble à une ‘’ entrée ’’. Le ciel est bleu très clair. Je pousse les filaments vers l’intérieur de ce lieu. C’est beaucoup plus grand qu’un aéroport.
Je suis extrêmement surpris, je ne comprends pas ce que je vois.
A l’intérieur il n’y a pas non plus le moindre angle, tout est arrondi, courbe, mais ce n’est pas ce qui me trouble
Il y a des êtres ici, de différentes apparences, des sortes de grands couloirs, de très grandes salles, j’avance avec les fibres comme on explorerait avec un endoscope, une fibre optique. C’est exactement ça, mais on peut faire plus que voir, on peut aussi toucher, percevoir par plusieurs autres sens dont certains n’existent pas dans un corps humain terrestre.
Ce que je ne comprends pas, c’est COMMENT je peux voir ici.
Car TOUT est d’un blanc intense. Y compris les êtres qui se trouvent dans le bâtiment.
Je n’aurais jamais imaginé un tel blanc dans une dimension physique, car j’observe nécessairement un lieu du Marécage, quelque part dans un cosmos physique. Les fibres epsilon ne peuvent pas aller au-delà.
C’est à la limite des possibilités PSI. Ce blanc intense, uniforme, fait quasiment tout disparaitre. Je réfléchis… J’arrive à distinguer les formes par d’infimes différences d’intensité de ce blanc, car il n’y a aucune source apparente de lumière, et il n’y a aucune ombre.
J’essaie de scanner ce blanc. Avec les capacités du corps de lumière c’est facile, avec les facultés PSI beaucoup moins, normalement on arrive néanmoins à distinguer les pixels de couleurs qui donnent un rendu coloré uniforme, y compris pour le blanc.
Mais là, il n’est pas possible pour moi de voir de pixels.
Je réfléchis : ces pixels, s’ils existent, sont-ils d’une résolution trop fine pour le PSI ?
Ou bien ce blanc est-il autre chose que le blanc dont j’ai l’habitude dans les mondes du Marécage ?
Ce blanc est-il l’assemblage d’un plus grand nombre de couleurs que celles que peuvent voir un œil humain de la Terre ? Il y a de cela, peut-être.
Je circule un peu, je vais en avant. Mes repères ne sont constitués que par des minuscules différences d’intensité du blanc. Je croise des êtres de différentes formes, différentes tailles, certaines humanoïdes, d’autres pas. Rien ne m’indique que ma ‘’ présence ’’ énergétique soit détectée, mais je n’en suis absolument pas certain.
Il semble que cette lumière particulière ne trouble aucunement les Personnes qui circulent ici.
Au bout de 2 minutes passées à m’obstiner sur la vision, je conclus la chose suivante : que les concepteurs de ces lieux l’aient voulu ou pas, ce Blanc de Blanc neutralise la majeure partie des perceptions PSI, du moins celles qui sont actuellement les miennes. A la réflexion, j’imagine que la quasi-totalité des projecteurs PSI de la terre ne verraient que du blanc, aucune forme ne serait perceptible pour eux.
Je n’ai pu arriver à distinguer les formes qu’en recrutant une fraction de mes aptitudes PSI de SS3…
Je ramène les extensions au corps biologique et j’analyse ce que je viens de vivre.
Encore une chose nouvelle, c’est la 100 000ème fois. Je n’arrive pas à comprendre, juste à formuler des hypothèses.
Le lendemain, il y a eu quelque chose qui m’a neutralisé physiquement durant quasiment toute la journée. Je suis resté KO non-stop. Je me suis demandé si cela pouvait être une conséquence de ma visite PSI. J’estime que la probabilité que ce soit lié est de 0,001%
Grosso modo.
Auteur:
Auburn Marc
Années: 196? -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: cadre corporate dans la vente, ésotériste astral dans la lignée de Dolores Cannon, pseudo de Stéphane Brice ou Brisse ?
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Post Facebook du 22 juin 2024. *recense au sens large les perception extra-sensorielles
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visée
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dessein
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résolution
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science-fiction
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distinguo
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voyage astral
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rêve lucide
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rève
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super conscience
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opéra cosmique
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extraterrestres
]
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synthèse additive
]
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frontières cognitives
]
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shc
]
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réincarnation
]
footballeur
Eden Hazard et moi avions donné à N’Golo Kanté un surnom brésilien, N’Golinho, lorsque nous étions ensemble à Chelsea. Évidemment, c’était un peu pour rire, mais cela montrait à quel point nous estimions N’Golo et combien nous apprécions certains aspects de son jeu que d’autres ne voient peut-être pas.
N’Golinho est l’un des meilleurs joueurs de tous les temps à son poste. Il est vu comme un milieu défensif qui fait tous ces tacles et récupère beaucoup de ballons et c’est fantastique, mais parfois on en oublierait qu’il ne perd jamais le ballon. Il peut courir avec le ballon, casser des lignes et dribbler, et, comme c’est lui, on n’apprécie pas ça à sa juste valeur. Il est l’un des milieux les plus complets au monde, assurément.
Jouer à côté de N’Golo te donne beaucoup de sécurité, d’assurance. La façon dont il récupère, dont il garde le ballon et intercepte. Je peux comprendre que sans avoir joué avec lui ou sans le connaître c’est difficile pour les gens d’apprécier combien il est important et bon, mais de plus en plus de gens réalisent qu’avoir N’Golo dans son équipe augmente beaucoup ton pourcentage de chance de gagner des matches et des compétitions. Si tu demandes aux meilleurs joueurs du monde s’ils aimeraient avoir N’Golo dans leur équipe, ils te répondraient tous oui sans hésiter.
Malheureusement, le football est désormais basé sur votre réputation. N'Golo est reconnu pour courir beaucoup et récupérer le ballon, mais il fait très bien beaucoup d'autres choses dont personne ne parle. C'est l'un des meilleurs joueurs avec qui j'ai joué.
Auteur:
Fabregas Francesco
Années: 1987 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: footballeur international
Continent – Pays: Europe - Espagne
Info:
Sur FB, juin 2024
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éloge
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jungle primaire
La forêt était une grande bête sombre, un long couloir de feuilles et de pluie. Et cette énorme fertilité de la nature avait quelque chose d'écoeurant.
Lianes, serpents géants, gommes, résines, baumes, tout n'était que vie, mort. Chaque instant, cent choses naissaient et cent autres mouraient, pourrissaient. Ici, la vie offrait tout ce qu'elle savait faire de beau et de précieux, tout ce qu'elle pouvait baver de ronces et de venin. Ici, la vie suintait de toutes parts son secret de jaune et de vert. C'était comme au cœur d'une ruche, là où la reine pond ses œufs, sans cesse. Et certains arbres, même, saignaient. Les Indiens s'approchaient d'eux en silence, et leur coupaient doucement le ventre. Ils pendaient à leur tronc de grandes cuillères et recueillaient leurs larmes crémeuses. Ces larmes coulaient très lentement, comme tout ce qui a lieu au fond des choses.
Auteur:
Vuillard Eric
Années: 1968 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain et cinéaste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Conquistadors
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interdépendance
]
dualité
Ce qui enveloppa le monde pour finir, ce fut un grand ricanement. Ricanement d'une résonnance profonde. On sentait que ça venait de loin et que ça irait partout. Mais savoir qui ricanait : le créateur, le destructeur ? Absolumentimpossible à dire. En tout cas, ce fut déprimant pour ceux
qui attendaient la juste trompette des anges.
Auteur:
Norge Géo
Années: 1898 - 1990
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: poète
Continent – Pays: Europe - Belgique
Info:
Fin du monde. Oignons, inédits
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apocalypse
]
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mourir
]
cosmologie
Où est le centre de l’Univers ?
(Photo : Le point d'interrogation cosmique en bas au centre de l'image)
Par sa grandeur et sa complexité, l’Univers continue de fasciner et d’interroger les esprits curieux depuis des siècles. Parmi les questions les plus fondamentales qui captivent les astronomes et les cosmologistes : existe-t-il un centre de l’Univers ? Et si oui, où se trouve-t-il ?
Les découvertes de Hubble
Au début des années 1920, l’astronome Edwin Hubble fit deux découvertes capitales qui transformèrent notre vision du cosmos. Tout d’abord, il observa que les nébuleuses lointaines étaient en réalité des galaxies distinctes, dispersées à travers l’Univers. Cette découverte marqua un tournant majeur dans l’astronomie, car elle montrait qu’il était bien plus vaste et complexe que ce que l’on croyait auparavant.
Plus surprenant encore, Hubble constata que toutes ces galaxies semblaient s’éloigner de la Voie lactée. En analysant leurs spectres lumineux, il observa un décalage vers le rouge proportionnel à leur distance : les galaxies les plus lointaines semblaient s’éloigner plus rapidement que celles situées plus près de nous. Ce phénomène, aujourd’hui connu sous le nom de loi de Hubble, est une preuve cruciale de l’expansion de l’Univers.
Ces observations révolutionnaires trouvèrent leur explication dans la théorie de la relativité générale d’Einstein, publiée quelques années auparavant. Ce scientifique avait en effet prédit que l’Univers pourrait être en expansion ou en contraction, une idée qui contrastait fortement avec la vision statique et immuable du cosmos qui prévalait à l’époque. La découverte de Hubble confirmait ainsi les implications dynamiques de la théorie d’Einstein.
En conséquence, le concept d’un cosmos en expansion constante fut solidifié. Selon cette nouvelle compréhension, l’Univers aurait commencé son expansion à partir d’un état de densité et de température extrêmes, un événement initial connu sous le nom de Big Bang. Cette théorie changea non seulement notre perception du cosmos, mais aussi ouvrit la voie à de nouvelles explorations sur la nature de l’espace, du temps et de notre place au sein de cette immense toile cosmique.
Où est le centre de l’Univers ?
La question du centre de l’Univers est fascinante, mais déroutante. À première vue, on pourrait penser que le Big Bang, le moment initial de son expansion, en est le centre naturel. Cependant, notre compréhension moderne de la cosmologie nous indique que cette notion est plus complexe qu’il n’y paraît.
Pour comprendre l’Univers, nous devons d’abord considérer ses dimensions et ses caractéristiques fondamentales. Il a lui-même un âge estimé à environ 13,77 milliards d’années, mais en raison de la limitation de la vitesse de la lumière, notre vision est limitée à environ 45 milliards d’années-lumière de distance. Au-delà de cette distance, son expansion est si rapide que la lumière émise par ces régions ne nous parviendra jamais. Ainsi, la majeure partie du cosmos nous reste invisible, comparable à chercher à traverser une forêt obscure avec une lampe de poche dont le faisceau ne peut éclairer que jusqu’à une certaine distance.
Pas de centre
Par définition, l’Univers englobe tout ce qui existe. Cela signifie qu’il ne peut y avoir de limites externes, car toute division impliquerait quelque chose en dehors de lui. Ainsi, il pourrait être si vaste qu’il serait impossible de localiser un centre précis dans un espace infini.
Une autre perspective est que l’Univers pourrait être fini, mais courbé sur lui-même à une échelle cosmique très large. Cela signifierait que si vous voyagez assez loin dans une direction, vous finiriez par revenir à votre point de départ, tout comme si vous marchiez autour de la Terre et reveniez à votre point de départ après avoir traversé toutes les directions possibles. Dans ce scénario, il n’y aurait toujours pas de point central privilégié. Chaque point serait alors équidistant du " centre " dans cette structure courbée.
Prenons l’analogie de la Terre : vous pouvez facilement identifier le centre de la planète en pointant vers son noyau, mais il est impossible de désigner un centre sur la surface d’une carte, car chaque point peut sembler être au centre de sa propre perspective. De la même manière, le Big Bang, l’événement qui a marqué le début de notre Univers, n’a pas eu lieu en un point de l’espace, mais à un instant précis dans le temps. Il a marqué le commencement de l’expansion de tout l’espace et de tout le temps simultanément.
Ainsi, même si d’un point de vue terrestre, toutes les autres galaxies semblent s’éloigner de la Voie lactée, donnant l’illusion que nous sommes au centre de l’expansion de l’Univers, cette perception est trompeuse, car toute galaxie pourrait prétendre être au centre de son propre champ d’expansion, chaque point dans l’espace ayant une perspective similaire.
La quête du centre de l’Univers nous invite donc à reconsidérer notre conception de l’espace, du temps et de notre place au sein de ce vaste cosmos en évolution perpétuelle. Elle nous enseigne que bien que nous soyons au centre de notre propre horizon observable, chaque point dans l’Univers peut légitimement prétendre être au centre de son propre univers observable. C’est une perspective vertigineuse, mais enrichissante qui nous pousse à apprécier la relativité de notre position dans cet espace immense en constante expansion.
Auteur:
Internet
Années: 1985 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: R
Profession et précisions: tous
Continent – Pays: Tous
Info:
https://sciencepost.fr/, Brice Louvet, 21 juin 2024
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astrophysique
]
[
positionnement topologique
]
préconscient
Comparer le pouvoir créatif du subconscient à celui de l'esprit conscient, c'est comme comparer une banque de superordinateurs à la calculatrice d'un enfant.
Auteur:
Bruce Robert
Années: 195? - 2024
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain mystique, spécialiste de l'astral
Continent – Pays: Angleterre - Australie
Info:
Astral Dynamics : une nouvelle approche de l'expérience hors du corps
ironie
Après la mort accidentelle du président iranien Ebrahim Raïssi, considéré comme un des principaux responsables des exactions et autres violences perpétrées contre le peuple en lutte avec le pouvoir islamiste. L'opposition se contenta de diffuser ce court message, maintes fois repris.
"Allah est grand".
Auteur:
Internet
Années: 1985 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: R
Profession et précisions: tous
Continent – Pays: Tous
Info:
mai 2024
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dictature religieuse
]
codages humains
( FLP ) - Bonjour. L'IA est toujours plus compétente pour le codage informatique... Elle sera peut-être capable d'autonomie d'ici quelques année en la matière. En tant qu'IA pourrais-tu m'expliquer les différences syntaxiques les plus importantes entre le langage humain et le codage informatique ?
(Perplexity.ai) - Voici les principales différences syntaxiques entre le langage humain et le codage informatique : Le langage humain est naturel, flexible et ambigu, tandis que le codage informatique est formel, rigide et précis. Le langage humain utilise des mots, des phrases et une grammaire complexe, alors que le codage utilise des instructions, des syntaxes et des structures de données spécifiques. Dans le langage humain, la signification dépend beaucoup du contexte et de l'interprétation. En revanche, le codage doit être sans ambiguïté et les instructions doivent être exécutées de manière déterministe. Le langage humain est souvent implicite et sous-entend des informations, tandis que le codage doit être explicite et détailler chaque étape. Les humains peuvent communiquer avec des gestes, des expressions et des sous-entendus, mais l'ordinateur ne peut comprendre que des instructions écrites de manière formelle. Enfin, le langage humain évolue naturellement, alors que le codage doit suivre des standards et des conventions stricts pour assurer la compatibilité et la maintenabilité des programmes.
(FLP) - Peut-on avancer que l'un précède s'appuie sur l'autre ? Et donc que l'un s'appuie sur l'autre ?
(Perplexity.ai) - Oui, on peut avancer que le codage s'appuie sur le langage humain, et que le langage humain précède le codage informatique. Voici les principales raisons qui étayent cette affirmation : Le langage humain est naturel, flexible et ambigu, tandis que le codage informatique est formel, rigide et précis. Le langage humain utilise des mots, des phrases et une grammaire complexe, alors que le codage utilise des instructions, des syntaxes et des structures de données spécifiques. Le langage humain a évolué naturellement au fil du temps, alors que le codage informatique a été développé pour permettre la communication avec les machines, en s'inspirant des structures du langage humain. Les langages de programmation ont été créés comme intermédiaires entre le langage humain et le langage machine binaire. Avant de coder, les programmeurs doivent avoir une compréhension du problème à résoudre et une logique de haut niveau, souvent exprimée sous forme de pseudocode, qui s'appuie sur le langage naturel. Le codage consiste ensuite à traduire cette logique dans un langage de programmation formel. Donc oui, on peut affirmer que le langage humain précède et sert de base au développement du codage informatique, qui s'en inspire pour permettre la communication avec les machines.
(FLP) - Merci. Je suis étonné qu'a aucun moment ne soient évoquées les mathématiques
(Perplexity.ai) - Vous avez raison, les sources fournies ne traitent pas directement des mathématiques, mais plutôt des différences entre le langage naturel et le langage formel. Cependant, on peut faire les observations suivantes : Les sources soulignent que le langage mathématique, tout comme le codage informatique, se distingue du langage naturel par sa syntaxe formelle, sa précision et son absence d'ambiguïté. Elles expliquent que le langage mathématique a ses propres règles grammaticales, catégories de mots et conventions de notation. Certaines sources évoquent spécifiquement l'articulation entre la syntaxe et la sémantique dans le langage mathématique, et l'importance de cette articulation pour la compréhension et l'apprentissage des mathématiques. Donc bien que les mathématiques ne soient pas le sujet principal des sources, on peut en déduire que les différences syntaxiques entre le langage naturel et le langage formel des mathématiques sont un élément clé pour comprendre la nature et l'apprentissage des mathématiques. Les sources soulignent l'importance de cette distinction dans un contexte plus général de formalisation du langage.
(FLP) - Merci. Personnellement j'ai l'impression que ce qu'il se passe c'est que les LLMs, avec les transformers et autres outils, vectorisent des mots ou éléments de langage "au-delà" des frontières des grands idiomes humains. Et donc procèdent et établissent des genres de "catalogages sémantiques des significations"... voire même de mathématisation, du verbe humain
(Perplexity.ai) - Votre observation est pertinente. Les modèles de langage les plus avancés, comme les LLMs (Large Language Models) utilisant des architectures de type transformers, semblent en effet aller au-delà des frontières des langues humaines traditionnelles pour établir une représentation sémantique plus universelle du langage. Voici quelques points clés à ce sujet : Les langues humaines sont naturelles, flexibles et ambiguës, tandis que les langages formels comme les mathématiques ou l'informatique sont plus rigides et précis. Les LLMs cherchent à capturer la sémantique sous-jacente au-delà des spécificités syntaxiques des langues. En vectorisant les mots et éléments de langage, les LLMs établissent une représentation numérique de la signification qui transcende les frontières linguistiques. Ils peuvent ainsi faire des analogies, des inférences et des généralisations au-delà des règles grammaticales d'une langue donnée. On peut voir cela comme une forme de "mathématisation" du langage naturel, où les modèles tentent de saisir la logique et la structure sémantique profonde, au-delà des variations de surface entre les idiomes humains. Cela ouvre la voie à un traitement plus universel et formel du langage par les machines. Donc vous avez raison, les LLMs semblent viser une représentation plus abstraite et générique du langage, qui dépasse les catégorisations traditionnelles des langues naturelles. Cela leur permet d'établir des "catalogages sémantiques" plus mathématiques et transversaux, au-delà des frontières linguistiques.
Auteur:
Internet
Années: 1985 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: R
Profession et précisions: tous
Continent – Pays: Tous
Info:
22 juin 2024
[
intelligence artificielle
]
[
comparaison
]
[
dialogue homme-machine
]
[
dictionnaires 2.0
]