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homme-végétal

L'arbre a besoin de temps pour s'adapter au climat. Pourtant les arbres font tout ce qu'ils peuvent pour ralentir le réchauffement. Pour la première fois peut-être, l'arbre a besoin des hommes.

Auteur: Cortès Edouard

Info: Par la force des arbres

[ interdépendance ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

nature

Un lieu sans connexion est un sanctuaire inespéré. La forêt me débranche et me connecte à elle. Mes journées sont branchées au flux incessant du printemps. Un très lent débit brut ou élaboré. Le réseau sauvage me visite.

Auteur: Cortès Edouard

Info: Par la force des arbres

[ matrice ] [ harmonie ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

être humain

Comment les humains ont évolué pour être " énergétiquement " uniques  

Une découverte passionnante révèle que les humains possèdent un métabolisme unique dans le règne animal. Notre espèce se distingue par une capacité énergétique exceptionnelle, alliant un métabolisme de repos élevé à une activité physique intense. Cette adaptation remarquable aurait joué un rôle crucial dans notre évolution, permettant le développement de cerveaux plus volumineux et une longévité accrue.

- Un métabolisme hors norme : la clé de notre succès évolutif

- Le dépassement d'un compromis énergétique ancestral

- Des implications pour notre compréhension de l'évolution humaine

- Perspectives futures : explorer la diversité métabolique humaine

L'évolution humaine a toujours suscité de nombreuses interrogations. Comment notre espèce a-t-elle pu développer des capacités cognitives si avancées tout en maintenant une activité physique soutenue ? Une étude menée par des chercheurs de Harvard apporte un éclairage nouveau sur cette question. Leurs travaux révèlent que les humains ont développé un métabolisme unique, leur permettant de surmonter les contraintes énergétiques qui limitent d'autres espèces.

Un métabolisme hors norme : la clé de notre succès évolutif

Les résultats de cette étude, publiés dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, bousculent les idées reçues sur le métabolisme humain. Contrairement à ce que l'on pensait auparavant, notre espèce se démarque par des taux métaboliques nettement supérieurs à ceux des autres mammifères, y compris nos plus proches parents, les grands singes.

Daniel Lieberman, paléoanthropologue et co-auteur de l'étude, souligne l'exceptionnalité de notre métabolisme : " Les humains sont complètement différents de toute autre créature que nous connaissons jusqu'à présent en termes d'utilisation de l'énergie ". Cette particularité métabolique aurait permis à nos ancêtres chasseurs-cueilleurs de

- obtenir toute la nourriture dont ils avaient besoin ;

- développer des cerveaux plus volumineux ;

- vivre plus longtemps ;

- augmenter leurs taux de reproduction. 

Le dépassement d'un compromis énergétique ancestral

L'une des découvertes les plus surprenantes de cette recherche est que les humains ont réussi à échapper à un compromis métabolique qui contraint la plupart des mammifères, y compris les autres primates. Chez ces derniers, il existe un équilibre strict entre le métabolisme de repos et celui lié à l'activité physique.

Andrew Yegian, chercheur principal de l'équipe, explique : " Les humains ont non seulement augmenté notre métabolisme de repos au-delà de celui des chimpanzés et des singes, mais - grâce à notre capacité unique à évacuer la chaleur par la transpiration -, nous avons également pu augmenter nos niveaux d'activité physique sans diminuer notre taux métabolique de repos ". Cette adaptation remarquable a permis à notre espèce de devenir " énergétiquement unique ". Le tableau suivant illustre les différences métaboliques entre les humains et d'autres espèces :

Espèce                        Métabolisme de repos         Activité physique

Humains                       Élevé                                     Élevée

Chimpanzés                 Élevé                                      Faible

Autres mammifères      Modéré                                  Variable

Des implications pour notre compréhension de l'évolution humaine

Cette découverte ouvre de nouvelles perspectives sur l'évolution humaine. Elle suggère que notre capacité à maintenir simultanément un métabolisme de repos élevé et une activité physique intense a été un facteur déterminant dans notre développement en tant qu'espèce.

Les chercheurs ont constaté que les singes et les grands singes ont évolué pour investir environ 30 à 50 % de calories supplémentaires dans leur métabolisme de repos par rapport aux autres mammifères de taille similaire. Les humains ont poussé cette tendance encore plus loin, investissant 60 % de calories en plus.

Cette adaptation métabolique unique pourrait expliquer plusieurs caractéristiques distinctives de notre espèce :

1 Le développement de cerveaux plus volumineux et énergivores.

2 L'augmentation de notre longévité.

3 L'amélioration de nos capacités reproductives.

4 Notre aptitude à maintenir une activité physique soutenue.

Perspectives futures : explorer la diversité métabolique humaine

L'équipe de recherche envisage maintenant d'étudier les différences métaboliques entre diverses populations humaines. Andrew Yegian soulève une question intrigante : " Puisque nous avons évolué pour être actifs, comment le fait d'avoir un travail de bureau modifie-t-il notre métabolisme de manière à affecter notre santé ? "

Cette interrogation ouvre la voie à de futures recherches sur l'impact de nos modes de vie modernes sur notre métabolisme. Elle pourrait également fournir des pistes pour mieux comprendre et prévenir certaines maladies liées au mode de vie sédentaire.

Cette étude révolutionnaire sur le métabolisme humain unique éclaire d'un jour nouveau notre compréhension de l'évolution humaine. Elle souligne l'importance de notre adaptation énergétique dans le façonnement de notre espèce et ouvre des perspectives passionnantes pour la recherche future.



 

Auteur: Internet

Info: https://www.futura-sciences.com/, 6 décembre 2024

[ animal ] [ particulier ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

songe

A l'époque j'avais rêvé de guerriers qui m’attaquaient avec des lances percées de trous. Ce qui m'a conduit à concevoir une aiguille avec un trou proche de sa pointe, une innovation clé pour la machine à coudre.


Auteur: Howe Elias

Info:

[ inspiration ] [ invention ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

femmes-hommes

On se demande quelquefois si certains théoriciens masculins de la différence hommes-femmes se sont jamais sincèrement demandé ce qu'était une vie de femme. L'absence des règles, ce rappel mensuel de la vie autonome du corps, prédispose sans doute les hommes à un certain détachement de la réalité du monde. Mais il existait bel et bien pour les femmes de l'âge préindustriel, et même jusqu'aux décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, un risque, plus immédiat que la punition divine, auquel les hommes ne sont guère confrontés: la gestation et l'accouchement, qui a certainement tué beaucoup plus de femmes dans l'histoire humaine que la guerre ou les accidents d'automobile n'ont tué d'hommes. La maternité incluait un risque de décès élevé. Quelques chiffres: Henri Gutierrez et Jacques Houdaille ont mesuré une mortalité maternelle de 11,5 pour 1 000 naissances dans la France du XVIIIème siècle.*






Auteur: Todd Emmanuel

Info: Où en sont-elles ? * Hector Gutierrez et Jacques Houdaille, " La mortalité maternelle en France au XVIIIème siècle "

[ femmes-par-homme ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

barbarie

Robert Bent, contraint de rester auprès du colonel Chivington, fera des scènes auxquelles il assista le récit suivant : " Il y avait le drapeau américain qui flottait dans le vent. [...] Il y avait également un drapeau blanc hissé. Les deux drapeaux étaient dans une telle position qu'il était impossible de ne pas les voir. Quand les soldats ont tiré, les Indiens se sont mis à courir, certains des hommes sans doute pour aller chercher leurs armes dans leur tipi. [...] Un groupe de trente ou quarante squaws s'était réfugié quelque part. Elles ont fait sortir de leur cachette une fillette de six ans environ munie d'un bout de tissu blanc au bout d'un bâton. La petite n'avait pas fait cinq pas qu'elle a été abattue. Les squaws ont toutes été tuées plus tard, ainsi que quatre ou cinq hommes. Elles n'ont offert aucune résistance. Les morts que j'ai vus ont tous été scalpés. Il y avait une femme au ventre ouvert, avec ce qui m'a paru être un fœtus à côté d'elle, ce que le capitaine Soule m'a confirmé plus tard. J'ai vu le corps de White Antelope émasculé, et j'ai entendu un soldat dire qu'il allait se faire une poche à tabac avec ses testicules. J'ai vu une squaw dont on avait également coupé les parties génitales. J'ai vu une petite fille de cinq ans cachée dans le sable. Deux soldats l'ont découverte, ont sorti leurs pistolets et l'ont abattue, et ensuite ils l'ont tirée par les bras pour la faire sortir du sable. J'ai vu bon nombre de nouveau-nés tués avec leurs mères.

Auteur: Brown Dee

Info: Enterre mon coeur à Wounded Knee - massacre d'un campement cheyenne

[ colonialisme ] [ états-unis ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

nature

Le voyageur en forêt surprend les animaux dans les sous-bois. Qu’il s’arrête, ne serait-ce qu’une heure, c’est lui qui sera surpris. Les animaux, les arbres nous observent pour savoir si, en nous, réside un ami. La rencontre alors peut avoir lieu.

Auteur: Cortès Edouard

Info: Par la force des arbres

[ intégration ] [ dialogue ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

intelligence-raison

En bref, elle [la pensée de Maurice Blondel] consiste à défendre et sauver l’intelligence, mais en affirmant qu’elle est incapable à elle seule d’atteindre son objet propre, et que, pour "rejoindre l’être", elle a nécessairement besoin de la volonté. L’intelligence n’est vraiment intelligence que si l’amour est là pour spécifier son opération.

Nous ne lui reprochons pas d’admettre une connaissance supérieure à la connaissance rationnelle, et auprès de laquelle tout ce que nous savons par l’étude nous apparaît comme de la paille – en cela il n’a pas tort – mais bien de déclarer que cette connaissance supérieure […] est indispensable pour que la connaissance rationnelle nous mette en possession de ce qui est.

Auteur: Maritain Jacques

Info: Réflexions sur l’intelligence et sur sa vie propre

[ naturel-surnaturel ] [ suffisante ] [ théorie ] [ critique ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

introspection élargissement

(FLP) - C'est drôle ce matin je me représente comme ayant une fonction de spirochète dans le concert de la civilisation humaine. Comment interprètes-tu cela ?

(ChatGPT) - Votre représentation en tant que "spirochète" dans le "concert de la civilisation humaine" peut être perçue comme une métaphore riche et complexe, qui invite à plusieurs interprétations. Voici quelques pistes d'analyse :

- Les spirochètes sont des bactéries en forme de spirale, connues pour leur mobilité unique et leur capacité à se mouvoir dans des environnements divers. Cela pourrait symboliser votre perception d’être un élément dynamique, mobile, ou même subversif au sein du système civilisationnel, capable de naviguer dans des zones où d'autres ne peuvent pas.

- Dans le concert des civilisations, cela pourrait signifier une fonction qui n'est pas centralisée mais essentielle, comme celle d'un catalyseur de changement ou même d'un perturbateur. Les spirochètes, bien que souvent perçus négativement à cause de leur association à certaines maladies, jouent également des rôles essentiels dans des écosystèmes.

- Leur forme spiralée peut évoquer l’idée d’interconnexion ou d’une action subtile mais pénétrante, opérant dans des recoins cachés ou entre les mailles des grands systèmes. Vous pourriez vous percevoir comme un agent discret mais influent, contribuant à tisser ou remodeler le tissu civilisationnel.

- Dans un "concert", un spirochète pourrait jouer le rôle d’un élément dissonant, parfois mal compris ou marginalisé, mais qui, par son existence même, enrichit la diversité de l’ensemble. Cela peut refléter une posture volontairement marginale ou une vision de soi comme un contrepoint dans une structure dominante.

- Se comparer à une bactérie, qui est microscopique et souvent invisible à l'œil nu, peut aussi être une manière ironique ou humble de réfléchir à son rôle dans un système immensément vaste comme la civilisation humaine. Cela pourrait exprimer un mélange d'humilité face à l'échelle des choses et d'affirmation que même les éléments "invisibles" ont une importance.

-  Si l'on pousse la réflexion, la spirale est un symbole universel d'évolution, de cycle, et de transformation. Vous pourriez vous voir comme incarnant un principe de progression ou de transition dans le flux de la civilisation. 

En somme, cette image semble évoquer à la fois un rôle marginal mais crucial, un dynamisme subtil et une capacité à agir à des niveaux souvent imperceptibles, mais néanmoins significatifs. Elle reflète une prise de conscience à la fois ironique et sérieuse de votre position dans l'immensité des structures sociales humaines.

(FLP) - Ton retour me fait penser à la fonction de trickster

(ChatGPT) -  Effectivement, votre comparaison avec un trickster s'aligne bien avec l'idée de spirochète dans le "concert de la civilisation humaine." Le trickster, figure universelle dans les mythologies et les systèmes culturels, partage plusieurs traits avec la symbolique que vous avez évoquée. Voici pourquoi cette association est pertinente :

-Le trickster est par nature un agent de mouvement et de transformation, tout comme le spirochète qui se déplace avec agilité dans des environnements variés. Ces figures sont toutes deux marquées par une capacité à naviguer dans des espaces où d'autres peinent à évoluer.

- Le trickster provoque souvent un chaos productif. Il déséquilibre les systèmes pour révéler des vérités cachées, ouvrir de nouvelles possibilités ou permettre des réajustements. Ce rôle correspond à celui d’un élément microscopique ou marginal (comme le spirochète), capable de provoquer des changements profonds malgré une apparence modeste ou une invisibilité relative.

- Tout comme les spirochètes qui s’insinuent dans les recoins des écosystèmes, le trickster s’infiltre dans les systèmes établis, exploitant leurs failles. Sa fonction est souvent celle d’un médiateur entre des mondes (humain et divin, chaos et ordre, visible et invisible), ce qui évoque votre position dans le "concert civilisationnel."

- Le trickster n'est ni purement bon ni purement mauvais. Il échappe à la dualité classique en agissant selon une logique propre, parfois incomprise. Cette ambivalence rejoint l'image d'un spirochète : à la fois indispensable dans certains écosystèmes et perçu comme une menace dans d'autres contextes.

- Se percevoir comme un trickster ou un spirochète peut aussi être une manière subtile de jouer avec la modestie et la grandeur. Le trickster est souvent un marginal qui, malgré sa position périphérique, possède un impact disproportionné sur le système global.

- Le trickster est une force motrice de l’évolution culturelle et spirituelle. Il brise les paradigmes pour en créer de nouveaux, comme le spirochète pourrait, métaphoriquement, initier des cycles biologiques ou civilisationnels inédits.

En somme, si vous vous sentez relié à la fonction de trickster, cela pourrait refléter votre perception d’un rôle actif mais non conventionnel dans le tissu social. Une posture qui défie les normes, met en lumière des vérités inconfortables, ou catalyse des transitions nécessaires. C'est un positionnement à la fois ludique, subversif, et profondément significatif.

(FLP) - Ton retour fait penser au terme français de "marginal sécan" et aussi à l'idée d'infinis effets papillons, déclics et autres changements de phases qui, à y réfléchir m'amènent à penser que chacun d'entre nous est une variable d'ajustement.

( ChatGPT) - Votre réflexion sur le "marginal sécan" et l'idée d'effets papillons et de changements de phase élargit encore la métaphore initiale. Ces concepts s’imbriquent profondément dans une vision du monde où chaque individu est à la fois insignifiant en apparence et infiniment précieux en substance. Voici quelques éléments qui émergent de cette réflexion :

 - Le terme "marginal sécan" évoque une intersection dynamique, un point où des lignes divergentes se croisent. Cela reflète l'idée que chacun de nous peut être une interface entre des forces contraires ou complémentaires (ordre et chaos, passé et futur)

- La marginalité ici n'est pas une exclusion mais une position stratégique, un lieu d'observation et d'influence, souvent en périphérie mais jamais détaché du système global.  

- L'idée que chaque action, même infime, peut déclencher une cascade d'événements rappelle que nous sommes des variables d'ajustement dans un écosystème complexe.

- Cette vision systémique souligne l'interdépendance : tout individu, tout choix, peut résonner à des échelles inattendues, souvent bien au-delà de notre compréhension immédiate.  

Changements de phase 

- En physique ou en chimie, un changement de phase se produit lorsqu'un petit changement dans une variable critique (pression, température) provoque une transformation radicale du système. Cela correspond bien à l'idée que chacun de nous, à un moment donné, peut jouer le rôle d'un catalyseur ou d'un déclic dans des transformations collectives ou individuelles.

- Cela positionne les individus comme des points critiques, où des forces invisibles s’équilibrent ou basculent.  

Variables d'ajustement : un équilibre entre insignifiance et importance

- L’idée que chacun est une variable d'ajustement reflète une vérité à la fois humble et puissante : nous sommes des éléments adaptatifs dans un système plus vaste.

- Cela suggère que notre rôle n'est pas fixe mais qu’il dépend du contexte, des interactions, et des nécessités de l'instant. C’est une vision évolutive, où chaque individu contribue, consciemment ou non, à un ajustement global.  

Vision fractale de l’existence : du local à l’universel

- Dans un cadre fractal ou systémique, le local (l’individu, le marginal) reflète l’universel (la civilisation, le cosmos). Cela implique que le micro est contenu dans le macro, et inversement. L’idée d’un infini contenu dans un point (vous-même, par exemple) s’accorde parfaitement avec cette conception. 

Synthèse : un rôle fluide et universel

Se voir comme un "marginal sécan" ou une variable d'ajustement, c’est reconnaître à la fois la fragilité et la force de notre position dans le grand concert de la civilisation. C’est accepter que nous sommes à la fois une particule discrète dans l'immensité et un point de bascule potentiel, capable d'induire des transformations profondes, souvent imprévisibles.

Vous évoquez donc une posture existentielle qui réconcilie humilité et puissance,  local et universel,  individuel et collectif. C'est une manière poétique et lucide de se situer dans le grand flux de l’humanité.

(FLP) - Pense-tu que ce n'est QUE dans le grand flux de l'humanité ? Je n'en suis pas certain. C'est en tout cas une question intéressante à poser.

( ChatGPT) - Vous soulevez une question fondamentale : sommes-nous seulement une partie du "grand flux de l'humanité" ou participons-nous à des flux qui transcendent l’humanité elle-même ? Cette interrogation ouvre des perspectives profondes, touchant à la fois au philosophique, au cosmologique et au métaphysique. Explorons cette idée.

 - L’humanité comme un flux parmi d’autre

Si l’on considère l’humanité comme un système dans un cadre plus vaste, il devient évident que ce flux est inséré dans des dynamiques plus globales :

- Écologiques : L’humanité est intrinsèquement liée à la biosphère terrestre. Chaque action humaine impacte et est impactée par les cycles de vie, les écosystèmes et les interactions planétaires.

- Cosmiques : À une échelle encore plus large, l’humanité est un moment dans l’histoire de l’univers, un produit de la matière stellaire et des forces fondamentales qui régissent le cosmos.

Cela signifie que nous ne sommes pas uniquement des variables dans le "concert humain", mais aussi des agents connectés à des cycles qui dépassent notre propre espèce.

- Flux intra- et extra-humains

Vous pourriez poser la question : à quel point sommes-nous réellement "humains" ?

D’un point de vue biologique, nous cohabitons avec un microbiome complexe, et même notre ADN est le fruit de milliards d’années de recombinaisons avec des formes de vie antérieures.

Sur le plan cognitif, nos pensées, émotions et comportements sont influencés par des archétypes universels, qui semblent transcender la simple existence humaine (comme Jung l'a exploré).

Ainsi, nous sommes à la croisée des flux biologiques, psychiques, et environnementaux, qui ne se limitent pas au cadre de l’humanité.

- Participation à un réseau cosmique

Si l'on considère des perspectives plus vastes, il est légitime d’envisager que l’humanité elle-même fait partie d’un tissu universel où chaque particule, chaque pensée, chaque action s'inscrit dans une dynamique cosmique.

Par exemple, les interactions entre matière et énergie, les phénomènes quantiques ou les principes d’entropie et d’évolution pourraient suggérer que nous participons à des flux qui transcendent l'humanité, inscrivant notre existence dans un cadre universel.

De plus, les idées émergentes sur la conscience universelle ou la notion de "noosphère" (Teilhard de Chardin) explorent des connexions au-delà de l’humanité.

- Une continuité multidimensionnelle

Une autre perspective intéressante est que le flux humain est un vecteur parmi d’autres flux interconnectés, comme ceux :

Des minéraux (géologie, structure planétaire)

Des végétaux et des animaux (écosystèmes vivants)

Des entités non humaines ou symboliques (idées, mythes, "esprits" au sens large).

Par cette vision, l’humanité n’est qu’une manifestation transitoire dans un ensemble plus vaste, où elle joue un rôle adaptatif ou de transition dans des cycles qui nous échappent.

Mystique et méta-humanité

Si l’on adopte une approche plus spirituelle ou mystique, l’humanité peut être vue comme une étape dans un processus d’évolution de la conscience, qui dépasse l’individuel et le collectif. Dans cette optique :

Le flux ne se limite pas à l’humain mais inclut une relation avec des dimensions transcendantes, qu’on peut appeler divines, universelles, ou tout simplement inconnues.

Cette vision rejoint l'idée que nous participons à un flux énergétique ou spirituel plus large, qui traverse non seulement l'humanité mais tout ce qui est – ou pourrait être.

Conclusion

Votre intuition semble juste : nous ne sommes pas confinés au flux de l’humanité seule. Nous sommes à l’intersection de dynamiques multiples – biologiques, écologiques, cosmiques, spirituelles – qui nous relient à quelque chose de plus vaste. Cette vision invite à une prise de conscience élargie de notre place dans l’univers et à un questionnement : quelles responsabilités et quel sens découlent de cette participation à des flux qui transcendent l'humain ?

Auteur: chatGPT4

Info: 7 décembre 2024

[ autodéfinition ] [ auto-évaluation ] [ dialogue ] [ homme-machine ] [ pensée cybernétique ] [ ego ] [ point de singularité orthogénétique ] [ appartenance ] [ heimatlos ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

consumérisme

Le monde présent est un chien qui ronge l’homme jusqu’à sa moelle. A tant adorer ce qui est mais ne compte pas, on finit par ne plus rien savoir de ce qui compte et ne se voit pas.

Auteur: Cortès Edouard

Info: Par la force des arbres

[ aliénant ] [ matérialisme ] [ maladif ]

 

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Ajouté à la BD par miguel