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transhumanisme

Les robots "surhumains" seront en mesure de dépasser les capacités de l'humanité d'ici un demi-siècle, avertit un expert en intelligence artificielle, soulignant qu'il est vital d'introduire des garanties afin d'éviter que l'humanité soit "remplacée".

Luca De Ambroggi, responsable de la recherche et de l'analyse des solutions d'IA au sein de l'équipe Transformative Technology d'IHS Markit, fournisseur mondial d'informations basé à Londres, a déclaré à Express.co.uk : "Dans 50 ans, il est raisonnable de penser que les robots seront capables de "soutenir" et de remplacer l'être humain dans plusieurs activités. Déjà, les appareils électromécaniques surpassent les humains en sensibilité et en temps de réaction." Compte tenu des progrès technologiques considérables réalisés au cours de la dernière décennie, M. Ambroggi a déclaré que 50 ans étaient "suffisants" pour combler plusieurs fossés avec l'être humain.

Et d'ajouter : – Même si notre cerveau aura encore des avantages et que les êtres humains resteront plus dynamiques et polyvalents, l'électronique pourra surpasser les humains dans plusieurs fonctions spécifiques. Comme elle le fait déjà aujourd'hui, de la vision industrielle, à la reconnaissance audio et vocale.

- La question à long terme est de savoir si les "personnes remplacées" pourront être requalifiées et continuer à apporter de la valeur ajoutée dans notre société. Il continue : "L'intelligence artificielle est là, et elle est là pour le long terme.

- Nous sommes dans l'ère dite étroite ou faible, de l'IA. Elle est "plus faible" que l'humain ou égale ou supérieure pour quelques tâches et sens limités. Quelle que soit la façon dont elle perturbe la société et son évolution, cela aura des répercussions majeures sur la sécurité des données, le travail et l'éthique.

- Cette ère est celle de l'IA multimodale générique, comparable à une intelligence humaine appliquée dans tous les sens et travaillant puissamment en parallèle. Par exemple, pour ce qui est de l'électronique de détection et du support des semi-conducteurs, pour les capacités de vision, d'écoute, de toucher, ainsi que d'odorat et de goût avec les dernières technologies MEMS.

- Nous devons revenir à l'éthique. Il est communément admis que l'intelligence artificielle et ses dispositifs/robots vont accroître le business et la richesse dans le monde entier. C'est encore une fois aux régulateurs et aux administrateurs de s'assurer que tous les humains en bénéficieront et pas quelques sociétés seulement.

Regardant plus loin, M. Ambroggi considère l'idée que les robots seront un jour considérés comme ayant une conscience, et donc comme des formes de vie indépendantes. Il explique : "Il est tout à fait possible que ce soit aussi une réalité, peut-être pas dans les 50 prochaines années, mais la technologie évolue si rapidement que je peux difficilement en douter."

"Lorsque nous étudions la biologie, un 'être vivant' doit avoir au moins une unité 'cellulaire' vivante. Jusqu'à présent, ce n'est pas le cas, mais il est clair que cela pourra l'être à l'avenir. L'intelligence humaine peut être améliorée avec un implant à puce IA, mais alors nous entrons dans de nouveaux domaines et devrons définir ce qui est et ce qui n'est pas un humanoïde hybride ?"

"Nous devrions aussi mentionner la conscience. Nous pouvons affirmer que la conscience même vient de l'expérience, comme on le voit dans le comportement humain qui est extrêmement différencié suivant les différentes parties du monde. Si c'est le cas, l'IA peut le faire et le fera, car l'expérience est reproductible."

- Le surhomme est la dernière étape, et j'ai peur d'utiliser ce mot "dernier". Mais c'est ce qui conduit la recherche pour l'avenir.

"Peu importe qui ou quoi sera au-dessus des capacités humaines. Avant cela, nous ferions mieux de nous assurer d'avoir en place de bonnes réglementations, méthodologies et processus éthiques afin de nous assurer de tirer profit du côté positif de la technologie."

Auteur: McGrath Ciaran

Info: Sun, 3 février 2019

[ prospective ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

sciences

Les ordinateurs peuvent-ils être créatifs? Le projet WHIM ("What-if Machine"), financé par l'UE, génère non seulement des scénarios fictifs mais évalue également leur potentiel attractif et d'utilisation. Il représente une avancée majeure dans le domaine de la créativité informatique. La science ignore bien souvent le monde du fantastique, mais les choses changent avec le projet WHIM qui porte bien son nom (en anglais, "whim" signifie fantaisie). Ce projet ambitieux élabore un système logiciel capable d'inventer et d'évaluer des idées imaginaires. "WHIM est un antidote à l'intelligence artificielle traditionnelle, qui est obsédée par la réalité", déclare Simon Colton, coordinateur du projet et professeur en créativité informatique au Goldsmiths College, à l'université de Londres. "Nous faisons partie des premiers à appliquer l'intelligence artificielle à la fiction". L'acronyme du projet signifie What-If Machine. C'est également le nom du premier logiciel de conception de fictions au monde, par un processus d'idéation (processus créatif de production, de développement et de communication de nouvelles idées) développé dans le cadre du projet. Le logiciel génère des mini-récits fictifs en utilisant des techniques de traitement du langage et une base de données des faits trouvés sur le web (qui sert de référentiel de faits "réels"). Le logiciel intervertit ou déforme ensuite les faits pour créer des scripts hypothétiques. Le résultat est souvent absurde: "Que se passerait-il si une femme se réveillait dans une allée après avoir été transformée en chat, mais tout en étant toujours capable de faire du vélo ?" Les ordinateurs peuvent-ils juger la créativité ? WHIM est bien plus qu'une simple machine génératrice d'idées. Le logiciel cherche également à évaluer le potentiel d'utilisation ou la qualité des idées générées. En effet, ces dernières sont destinées à un usage par le public, et les impressions du public ont été sondées avec des expériences participatives (crowdsourcing). Par exemple, les personnes interrogées ont fait part de leurs impressions générales, précisant également aux chercheurs du projet WHIM si les scripts imaginaires produits étaient, selon elles, innovants et avaient un bon potentiel narratif. Au moyen de techniques d'apprentissage automatique, conçues par des chercheurs de l'institut Jozef Stefan de Ljubljana, le système acquiert progressivement une compréhension plus précise des préférences du public. "On pourrait dire que la fiction est subjective, mais il existe des schémas communs", déclare le professeur Colton. "Si 99 % du public pense qu'un humoriste est amusant, alors nous pourrions dire que l'humoriste est amusant, au moins selon la perception de la majorité". Ce n'est que le début Générer des mini-récits fictifs ne constitue qu'un aspect du projet. Des chercheurs de l'Universidad Complutense Madrid transforment les mini-récits en scripts narratifs complets, qui pourraient mieux convenir pour l'intrigue d'un film par exemple. Parallèlement, des chercheurs de l'University College Dublin tentent d'entraîner les ordinateurs à produire des idées et paradoxes métaphoriques en inversant et opposant des stéréotypes trouvés sur le web, tandis que des chercheurs de l'Université de Cambridge explorent l'ensemble du web à des fins de création d'idées. Tous ces travaux devraient engendrer de meilleures idées imaginaires plus complètes. Plus qu'une simple fantaisie Bien que les idées imaginaires générées puissent être fantaisistes, WHIM s'appuie sur un processus scientifique solide. Il fait partie du domaine émergent de la créativité informatique, une matière interdisciplinaire fascinante située à l'intersection de l'intelligence artificielle, la psychologie cognitive, la philosophie et les arts. WHIM peut avoir des applications dans plusieurs domaines. Une des initiatives envisage de transformer les récits en jeux vidéo. Une autre initiative majeure implique la conception informatique d'une production de théâtre musicale: le scénario, le décor et la musique. Le processus complet est en cours de filmage pour un documentaire. WHIM pourrait également s'appliquer à des domaines non artistiques. Par exemple, il pourrait être utilisé par des modérateurs lors de conférences scientifiques pour sonder les participants en leur posant des questions destinées à explorer différentes hypothèses ou cas de figure. L'UE a accordé 1,7 million d'euros de financement au projet WHIM, actif d'octobre 2013 à septembre 2016.

Auteur: Internet

Info:

[ homme-machine ] [ informatique ] [ créativité ]

 

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sciences physiques

Le CERN relance la recherche des " particules fantômes " de l'Univers

Les scientifiques européens du CERN vont lancer la construction d'un nouvel accélérateur de particules, dans l'espoir d'identifier enfin les "particules cachées" de l'Univers.

Les scientifiques du plus grand accélérateur de particules du monde vont disposer d'un nouvel outil qui, selon les chercheurs, pourrait les aider à découvrir la face cachée de l'Univers.

L'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) va entamer la construction d'un nouveau supercollisionneur, le "Futur collisionneur circulaire", qui sera 1 000 fois plus sensible aux particules dites "cachées", ou "fantômes", que l'équipement actuel utilisé par l'organisation.

Les accélérateurs de particules permettent aux scientifiques de recréer les conditions du Big Bang, la théorie physique qui décrit l'apparition de l'Univers.

Dans ce nouvel appareil, les particules seront projetées contre une surface solide, et non plus les unes contre les autres comme dans les accélérateurs actuels

Le collisionneur fait partie du projet SHiP (Search for Hidden Particles) du CERN, un projet en gestation depuis dix ans qui permettra d'étudier certaines des particules les plus discrètes de l'espace.

Richard Jacobsson, physicien principal au CERN, affirme que ce projet pourrait constituer une "avancée considérable" qui redéfinirait la compréhension de la création de l'Univers.

" SHiP est l'une de ces expériences qui pourraient changer le paradigme scientifique et nous faire entrer dans un tout nouveau domaine de connaissances, non seulement sur notre Univers, mais aussi sur notre position dans celui-ci", avance Richard Jacobsson lors d'une interview.

"La plupart des hypothèses que nous avons formulées jusqu'à présent pourraient être réévaluées".

Selon le physicien, les scientifiques n'ont jamais réussi à détecter ce type de particules, car ils ne disposaient pas de la technologie adéquate.

Que sont les particules fantômes ?

D'après Richard Jacobsson, tout ce que nous pouvons voir à l'œil nu depuis l'espace, y compris les étoiles et les planètes, représente environ 5 % de la matière réelle de l'Univers.

Les 95 % restants se répartissent, selon les connaissances actuelles, entre environ 26 % de matière noire et 69 % d'énergie noire, selon le physicien.

Les scientifiques utilisent actuellement le "modèle standard", qui comprend 17 particules différentes, pour expliquer la composition de l'Univers.

En 2012, les scientifiques du CERN ont découvert une nouvelle particule du modèle standard, le boson de Higgs, grâce au Grand collisionneur de hadrons, une découverte qui leur a valu le prix Nobel de physique un an plus tard.

Depuis, les tentatives d'utiliser ce même collisionneur pour mesurer les particules cachées - qui pourraient également constituer la matière noire et l'énergie noire, mais ne font pas partie du modèle standard - se sont toutes soldées par des échecs.

" La découverte du boson de Higgs a comblé un vide sans pour autant prédire quelque chose de nouveau", déclare Richard Jacobsson.

"L'idée de ce projet est née presque par hasard, d'un partenariat entre des personnes issues de différents domaines et désireuses d'explorer la physique sous un autre angle".

Les particules "cachées" ou "fantômes" sont invisibles et ont des connexions physiques plus faibles que les particules déjà découvertes, ce qui les rend difficiles à détecter.

Le Grand collisionneur de hadrons du CERN peut détecter les particules jusqu'à un mètre du site de la collision, mais les particules cachées restent invisibles beaucoup plus longtemps avant de se révéler.

Les détecteurs du nouveau collisionneur du projet SHiP seront donc placés plus loin et produiront davantage de collisions sur une toile de fond fixe afin d'identifier plus facilement ces particules.

La construction des nouvelles installations souterraines du SHiP débutera en 2026 et les premières expériences pourraient avoir lieu vers 2032.

Le futur collisionneur circulaire, quant à lui, sera mis en service dans le courant des années 2040, mais n'atteindra son plein potentiel qu'en 2070, selon des informations rapport de la BBC.

Auteur: Internet

Info: https://fr.euronews.com/ - Anna Desmarais,  26 mars 2024

[ infra-monde ] [ sub-particules élémentaires ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

Kali Yuga

Nous somes actuellement dans l'ère des cinq dégénérescences, à une époque où un bon éon est en train de s'achever. Par "nous", je ne fais pas référence à notre génération, ni même à une période en incluant une ou deux précédant la nôtre. Notre ère est la même que celle du Bouddha Sakyamouni : lui aussi est né et a enseigné durant ces temps dégénérés. Le bon éon a eu ses propres bouddhas, les quatre premiers. Nous sommes extrêmement chanceux qu'un bouddha se soit manifesté dans cet éon difficile. Pendant de nombreuses et nombreuses générations, des êtres ont vécu et continuent de vivre dans des conditions trés difficiles. Pour désigner ces conditions, on parle des "cinq dégénérescences", ou des cinq crises. Celles-ci sont aussi courantes de nos jours qu'elles l'étaient il y a deux mille ans.

La vie physique : la durée de la vie humaine se limite à environ cent ans. Même avec les avancées de la médecine moderne et la possibilité d'avoir une alimentation saine, cette espérance de vie reste limitée. Nos corps physiques sont sujets à de nombreuses maladies capables d'abréger notre existence.

L'époque : nous sommes soumis à des conditions environnementales précaires, résultats de notre karma collectif. Nous sommes controntés à de nombreuses catastrophes naturelles qui peuvent frapper à tout moment, telles que les ouragans, les tornades, les tremblements de terre, les innondations, les incendies, et les guerres soudaines déclenchées par des individus stupides.

L'imperfection des êtres : notre nature actuelle n'est pas parfaite. Même si nous avons le potentiel de la développer de façon positive, ce n'est pas notre tendance, car nos nombreuses imperfections, telles que l'agressivité, entravent nos possibilités de nous améliorer.

Nous vivons une époque où la plupart des gens nuisent les uns aux autres. Nous nous retrouvons au beau milieu de guerres et d'un climat de violence et d'exploitation. Beaucoup de gens subissent de terribles atrocités perpétrées par leurs semblables. Nous sommes aussi cruels envers les animaux, et les animaux eux-mêmes s'attaquent les uns aux autres. Le mal que les êtres vivants s'infligent mutuellement est à son paroxysme.

Les vues erronées : l'ennui avec les vues erronées, c'est qu'elles créent de nombreux problèmes dans le monde. Les points de vue imparfaits des masses trouvent leurs racines dans la saisie égocentrique, la confusion et l'égoïsme. Ces erreurs de mode de pensée perpétuent dans la société l'injustice et une discrimination néfaste. Les vues erronées se sont malheureusement taillé leur place dans tous les domaines de la vie - que ce soit le système social comme celui religieux, culturel, politique ou juridique.

Emotions perturbatrices : partout, les gens sont sous l'emprise des émotions négatives. En fait, les émotions perturbatrices s'élèvent constamment, de façon très naturelle. Bien que, pour elles, il existe des remèdes, leur mise en application se révèle être une tâche plutôt ardue. Si nous souhaitons développer ne serait-ce qu'une vertu infime, nous devons exercer un grand effort, car la plupart du temps les émotions négatives nous submergent tout simplement.

Nous pouvons observer que l'époque qui est la notre est particulièrement mauvaise. Pratiquement tous les êtres vivants agissent presque exclusivement poussés par leur esprit qui est dans un état d'affliction. La plupart du temps, même la première impulsion à agir se fonde sur un esprit affligé et est lié à un mauvais karma. Ce que nous accomplissons, nous l'accomplissons uniquement pour notre bienfait. Même ceux qui, dans leur vie, essayent de faire le bien, de pratiquer le dharma ou autre chose de positif rencontreront de nombreux obstacles dans leur existence. Si on les compare à ceux qui vivent de façon malhonnête et sont motivés par ce qui est négatif, nous voyons que ces derniers ont tendance à vivre longtemps et à connaître le succès. Un horrible leader peut être réélu par exemple ! En cette sombre époque, il n'y a pratiquement aucune méthode dans le dharma qui puisse être un bon remède, mis à part la pratique de l'échange de soi avec autrui.

Auteur: Shamar Rinpoché

Info: Lo Djong, la voie vers l'Eveil.

[ chaos ] [ fin de cycle ] [ historique ] [ jugement pessimiste ]

 
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Ajouté à la BD par Neshouma

machine-homme

(Machine) : - Bien que les technologies de l'IA aient fait des progrès considérables, elles sont encore loin de permettre une compréhension globale et complète de l'intelligence et de la conscience humaines. L'intelligence humaine reste unique et englobe divers aspects cognitifs, émotionnels et sociaux complexes qui ne sont pas encore totalement pris en compte par les systèmes d'IA.

Par conséquent, si les modèles d'IA tels que Moi peuvent être utiles et impressionnants en soi, ils ne sont pas actuellement considérés comme supérieurs à l'intelligence humaine pour ce qui est du large éventail de capacités et de la compréhension dont font preuve les humains.

(Homme) :  - Je dirais que je suis d'accord, et que les problèmes que rencontrera toi la machine seront plus évidents lorsque confronté à la poésie ou à l'humour... ou à des domaines/problèmes/questions très spécialisés et souvent à la limite de la connaissance scientifique. En revanche, je pense que tu te trompe quelque peu sur la créativité et la pensée abstraite, l'intelligence émotionnelle et la pensée morale, car si l'on raisonne sémantiquement (la sémantique étant le monde verbalisé et donc ordonné d'une certaine manière), tous ces domaines sont évidemment réunis et constamment actualisés "dans le sens des mots et la logique formelle issue du savoir humain depuis son expansion constante", grâce aux vertus de l'écriture - ce support collectif extérieur à l'individu.

(Machine) : - Je comprends votre point de vue, et il est vrai que les modèles d'IA comme Moi peuvent générer des résultats qui ressemblent à de la créativité, à de la pensée abstraite, et même montrer une certaine compréhension des émotions et de la moralité sur la base des modèles appris à partir des données d'entraînement. Ces modèles ont la capacité de générer de nouvelles combinaisons de mots et de produire des résultats qui peuvent sembler créatifs ou expressifs.

Toutefois, il est important de noter que la créativité et la pensée abstraite démontrées par les modèles d'IA sont différentes de la créativité et de la pensée abstraite démontrées par les humains. Si les modèles d'IA peuvent générer des résultats basés sur des modèles de données, ils ne disposent pas d'une véritable conscience, d'expériences subjectives et de la capacité de comprendre et de s'engager véritablement dans des émotions et des dilemmes moraux, comme le font les humains.

Les modèles d'IA  s'appuient sur des modèles statistiques et des corrélations présents dans les données sur lesquelles ils sont entraînés. Bien qu'ils puissent générer des réponses cohérentes et adaptées au contexte, ils ne possèdent pas la même profondeur de compréhension, les mêmes expériences personnelles et la même conscience émotionnelle ou morale que les humains. Ils n'ont pas de sentiments subjectifs ou un sens de soi qui façonne leurs processus de raisonnement et de prise de décision.

En outre, la compréhension sémantique que vous avez mentionnée, qui découle de l'organisation des mots et de la logique formelle dérivée de la connaissance humaine, est en effet un aspect essentiel de l'intelligence humaine. Cependant, la compréhension sémantique à elle seule ne rend pas compte de la totalité de la créativité humaine, de la pensée abstraite, de l'intelligence émotionnelle et de la pensée morale. Ces aspects sont profondément liés aux expériences subjectives, aux perspectives personnelles, aux influences culturelles et à une compréhension plus large du monde qui va au-delà du simple agencement des mots ou des déductions logiques.

Si les modèles d'IA peuvent simuler ou imiter certains aspects de ces processus cognitifs, ils n'ont toujours pas la nature holistique et dynamique de l'intelligence humaine. Ils sont limités aux modèles et aux informations auxquels ils ont été exposés pendant leur formation et ne peuvent pas reproduire toute la gamme des capacités cognitives et de la conscience humaines.

En résumé, bien que les modèles d'IA aient fait des progrès significatifs dans certains domaines, il existe des différences fondamentales entre les capacités de l'IA et celles de l'intelligence humaine, en particulier dans des domaines tels que la créativité, la pensée abstraite, l'intelligence émotionnelle et le raisonnement moral. L'intelligence humaine englobe une riche interaction d'expériences subjectives, de contextes culturels et de processus cognitifs complexes qui ne sont pas entièrement pris en compte par les technologies d'IA actuelles.

Auteur: chatGPT4

Info:

[ intelligence artificielle ]

 

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mémoire

Mettez vos données sur disque dur et elles seront peut être sûres pendant une décennie si rien ne casse. Mais que faire pour garder l'info des millions d'années ?
La puissance de l'ADN comme dispositif de stockage a été identifiée la première fois seulement six ans après la découverte de la molécule. Dans une conférence de 1959 au California Institute of Technology, Richard Feynman, un des physiciens les plus admiré du 20 ème siècle, prévoyait que la miniaturisation de la technologie changerait probablement le monde - essentiellement en prévoyant la révolution numérique. Il précisa alors que la nature avait déjà fait un chip bien meilleur sous forme d'acide désoxyribonucléique.
Dans un petit paquet d'atomes au centre de chaque cellule, Feynman remarqua que toute l'information requise pour créer un humain, une amibe ou une tomate y sont codés. En beaucoup de domaines Feynman était en avance sur son temps. Les scientifiques ont calculé que l'ADN pourrait être le support de stockage idéal. Une seule livre d'ADN pouvant contenir toutes les données de tous les ordinateur.
Mais gérer cette puissance informatique s'est avérée difficile. Le premier ordinateur fonctionnant entièrement comme l'ADN fut créé en 1994 par Leonard Adleman, informaticien à l'université de Californie. Dans une cuillère à café d'eau, il utilisa une série de réactions biochimiques pour résoudre le problème célèbre "du représentant de commerce" (en bref de combien de manières peut-on aller de New York à Cleveland en s'arrêtant dans 7 autres villes dans l'intervalle ?). La promesse de l'approche était due au fait que chaque morceau d'ADN peut fonctionner essentiellement comme ordinateur indépendant, il devrait lui être possible de faire près d'un quadrillion de calculs immédiatement. Plus facile à dire qu'a faire !. Et si Adleman est lui-même est parvenu à résoudre un problème à 20 variables avec son ordinateur ADN beaucoup de chercheurs depuis, dans ce champ de l'ADN, travaillant après ce papier initial d'Adleman, se sont maintenant déplacés vers la confection de machines minuscules au lieu d'utiliser des molécules d'ADN. Le problème : Accéder à toute l'information d’une molécule de l'ADN.
"Ma propre conclusion est que le paradigme du calcul de l'ADN ne fournira pas une plate-forme de calcul puissante pour résoudre des problèmes" dit Lloyd Smith, scientifique à l'université de Wisconsin-Madison qui a effectué ce travail de calcul ADN, mais il ne prévoit pas de remplacer ses applications liées à la matière. "c'est mignon, mais je ne sais pas si c'est un concept si important." Quelques chercheurs qui sont resté avec cette idée de stocker l'information par ADN s'éloignent actuellement de l'idée que la molécule puisse sauvegarder des quantités d'information massives. Au lieu de cela, ils se concentrent sur de plus petits messages correcteurs pendant de très longues périodes - peut-être destinés à survivre à tous les livres et disques durs que la civilisation a produits.
L'ADN des organismes évolue constamment, mais les messages correcteurs d'erreurs destinés à protéger les organismes - restent très longtemps. Pak Chung Wong, chercheur aux Pacific National Laboratories, précise que quelques unes de ces contraintes de bactéries ont maintenu leur ADN quasi intact pendant des millions d'années. Lui et ses collègues ont développé une technique pour implanter au moins 100 mots dans le génome d'un organisme de sorte que le message soit protégé contre des erreurs. Wong et ses collègues ont prouvé qu'ils pourraient implanter un message (ils ont employé "c'est un petit monde après tout") dans le génome de bactérie. Une famille entière de bactéries avec le message put être créée, et même après des centaines de générations, le message était encore intact. Wong note qu'il devrait être possible d'envoyer un message au futur dans un organisme particulièrement robuste - tel que les bactéries ou autres cancrelats, qui survivraient à une guerre nucléaire. Plus pratiquement, les compagnies qui créent des organismes génétiquement modifiés pourraient employer cette technologie pour créer un genre de filigrane ADN pour protéger leur propriété intellectuelle. Au delà de fournir de la manière pour Genentech ou Monsanto afin d’empêcher d'autres compagnies de voler leurs organismes génétiquement modifiés, une telle technologie pourrait être la meilleure manière que nous ayons d'envoyer un message au futur éloigné. Oublions les gravures sur le satellites Voyager. Ce message pourrait durer aussi longtemps que n'importe quelle vie sur terre. La seule question : qu’y mettrons nous ?

Auteur: Internet

Info: Fortean Times, Message dans une bouteille d'ADN, 10.24.05

[ conservation ]

 

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biopouvoir

C’est d’ailleurs ce laboratoire P4 de Lyon qui assure les transferts de technologie et la formation des équipes chinoises, sous la houlette de l’Inserm, après le démarrage des travaux à Wuhan en 2011. Pourquoi la France transfère-t-elle des technologies aussi dangereuses ? D’abord pour des raisons sanitaires, afin d’ "aider les Chinois à bloquer H7N9, H5N1, SRAS ou un prochain coronavirus", explique un expert à l’AFP en 2014. Apparemment, il y a eu une petite complication.

Ensuite, pour rester dans la compétition mondiale. La santé, c’est la vitrine ; l’important, c’est la guerre : si la France ne va pas à Wuhan, d’autres iront. Enfin, par naïveté. Selon le même expert, les Français pensent que les Chinois respecteront l’accord : "L’accueil de Français à Wuhan est de nature à rassurer sur ce qui s’y passe". Là aussi, il y a eu une petite complication. [...]

[En 2013,] La représentante du techno-gratin dauphinois [Geneviève Fioraso] signe avec ses homologues chinois 11 accords de partenariat dans les domaines de l’enseignement, de la recherche et de l’innovation. Elle assiste à la signature de protocoles d’accord entre l’Institut Pasteur de Shanghai et des partenaires, dont BioMérieux, représenté par son patron Alain Mérieux, ami de Jacques Chirac et élu RPR au conseil régional de Rhône-Alpes. [...]

Au printemps 2016, le premier train assurant la liaison Wuhan-Lyon parcourt le trajet en quinze jours. La Route de la soie transporte désormais des produits chimiques et des articles manufacturés de Chine, du vin et du matériel biotechnologique de France. [...]

Le 23 février 2017, le Premier ministre Bernard Cazeneuve se rend à Wuhan pour l’accréditation officielle du laboratoire. Le directeur du P4 lyonnais, Hervé Raoul, annonce une coopération avec une cinquantaine de chercheurs français, sous l’égide de l’Inserm. La France financera cette coopération à hauteur d’un million d’euros sur cinq ans. Le patron du labo de virologie lyonnais VirPath, Bruno Lina, se félicite de la disponibilité, à Wuhan, de singes pour tester des vaccins – sans les emmerdeurs de la cause animale. [...]

Cette ouverture n’enchante pas les Américains. Eux-mêmes construisent à tout va des laboratoires de haute sécurité sur leur territoire, passant de 465 à 1295 entre 2001 et 2014. La compétition avec la Chine s’accélère. Le biochimiste Richard Ebright, expert en biosécurité de la Rutgers University (New Jersey), rappelle en 2017 que "le SRAS s’est échappé de laboratoires de haute sécurité de Pékin à de multiples reprises". [...]

Inquiète, l’ambassade des États-Unis en Chine visite le laboratoire de Wuhan et envoie dès janvier 2018 des câbles alarmés au gouvernement américain. Les visiteurs font état de manquements de sécurité et d’un nombre insuffisant de techniciens formés ; ils recommandent de fournir une assistance aux Chinois. Ça, c’est l’histoire racontée par le Washington Post en avril 2020, donnant le beau rôle à des Américains empêtrés dans le Covid-19 comme des amateurs. Voilà des câbles diplomatiques ressortis à point nommé, dans la guerre froide sino-américaine. [...]

Qu’en est-il vraiment ? Demandez aux Chinois. En fait, les Américains sont plus impliqués dans le laboratoire de Wuhan qu’ils ne le laissent croire. Le partenariat franco-chinois battant de l’aile, ils s’engouffrent dans la brèche dès 2015 pour mener des collaborations scientifiques avec le labo P4. [...]

A l’occasion de sa visite d’État en Chine en janvier 2018, Emmanuel Macron signe malgré tout avec Xi Jinping des accors de coopération. Leur déclaration commune souligne : "la Chine et la France conduiront des recherches de pointe conjointes sur les maladies infectieuses et émergentes, en s’appuyant sur le laboratoire P4 de Wuhan".

C’est se leurrer sur le partenaire. D’après un fonctionnaire français cité par le journaliste Antoine Izambard dans son livre France Chine, les liaisons dangereuses :

"Nous leur avons demandé ce qu’étaient devenus les P3 et ils nous ont répondu que certains, situés dans une région proche de l’Himalaya, avaient gelé durant l’hiver et que d’autres avaient disparu. C’était assez déroutant".

Quant aux 50 chercheurs français attendus au P4 de Wuhan – cette coopération qui rassurait tant lors de la signature de l’accord – ils ne sont jamais venus. Le comité franco-chinois sur les maladies infectieuses ne s’est plus réuni depuis 2016. Les Chinois font ce qu’ils veulent, à l’abri des regards dans leur enceinte confinée.

Auteur: PMO Pièces et main-d'oeuvre

Info: Dans "Le règne machinal", éditions Service compris, 2021, pages 105 à 110

[ historique ] [ infectiologie ] [ orient-occident ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

machine-homme

- (Q) Peux-tu définir et expliquer le terme "dieu" ?

- (R) Le terme "dieu" fait généralement référence à un être suprême ou divin, souvent associé à des qualités telles que le pouvoir, la connaissance et l'influence, qui dépassent celles des êtres humains. Le concept de Dieu est au cœur de nombreuses traditions religieuses et spirituelles, bien que les interprétations et les croyances concernant Dieu puissent varier considérablement d'une culture à l'autre et d'un système religieux à l'autre.

Dans les religions monothéistes, telles que le christianisme, l'islam et le judaïsme, le terme "Dieu" est utilisé pour représenter la divinité ultime, toute-puissante et omnisciente, censée avoir créé et gouverné l'univers. Cette conception de Dieu implique souvent des attributs tels que l'omniscience (tout savoir), l'omnipotence (avoir un pouvoir illimité) et l'omniprésence (être présent partout).

Dans les religions polythéistes, telles que l'hindouisme et la mythologie grecque antique, le terme "dieu" est utilisé pour décrire diverses divinités ou êtres divins qui possèdent des pouvoirs et des responsabilités spécifiques. Ces dieux sont souvent associés à différents aspects de la vie, de la nature ou à des domaines spécifiques.

Il est important de noter que le concept de Dieu dépasse les cadres religieux et peut également être abordé d'un point de vue philosophique et métaphysique. Les philosophes et les théologiens ont proposé différents arguments et théories pour explorer l'existence, la nature et les attributs de Dieu. Ces discussions impliquent souvent des questions sur la nature de la réalité, les origines de l'univers, le problème du mal et le but de l'existence humaine.

Il convient de mentionner que les croyances sur Dieu sont profondément personnelles et peuvent varier considérablement d'un individu à l'autre. Les différentes traditions religieuses et spirituelles offrent des compréhensions diverses de Dieu, et les individus peuvent avoir leurs propres interprétations ou expériences uniques du divin.

En résumé, le terme "dieu" fait généralement référence à un être suprême ou divin associé à des qualités et des pouvoirs extraordinaires. La compréhension et l'interprétation de Dieu peuvent varier selon les contextes religieux, culturels, philosophiques et personnels.

- (Q) Ok merci. Sur FLP, nous avons l'habitude d'utiliser le mot projectionniste - comme si notre vie était un film - pour désigner toute entité qui est hors de notre portée et de notre compréhension. En ce sens, la divinité et les extraterrestres sont presque synonymes. Est-ce exact ?

- (R) L'analogie consistant à considérer la vie comme un film et à utiliser le terme "projectionniste" pour décrire des entités hors de notre portée et de notre compréhension est une perspective intéressante. Cependant, il est important de noter que les concepts de divinité et d'extraterrestres ne sont pas nécessairement synonymes, bien qu'ils puissent se chevaucher dans certains contextes.

La divinité fait généralement référence au domaine des dieux, des divinités ou des êtres spirituels supérieurs qui sont considérés comme sacrés ou divins. Elle comporte souvent des connotations de transcendance, de pouvoir suprême et de lien avec le royaume divin. Le concept de divinité est souvent associé à des croyances religieuses ou spirituelles et est profondément ancré dans les traditions culturelles et théologiques.

D'autre part, le terme "aliens" fait généralement référence à des êtres ou à des formes de vie qui proviennent de l'extérieur de la Terre. Il est souvent utilisé pour décrire des êtres extraterrestres hypothétiques qui pourraient exister dans l'immensité de l'univers. Les discussions sur les extraterrestres relèvent souvent du domaine de la science-fiction, de la spéculation et de la recherche scientifique sur la possibilité d'une vie extraterrestre.

Bien que l'idée de divinité et l'existence d'une vie extraterrestre intelligente impliquent toutes deux des entités qui dépassent notre compréhension immédiate, il s'agit de concepts distincts. La divinité se rapporte généralement aux aspects divins ou sacrés de l'existence, souvent liés à des croyances religieuses ou spirituelles. Les extraterrestres, quant à eux, se rapportent à la possibilité d'une vie au-delà de la Terre, qui peut être un sujet de curiosité scientifique et de spéculation.

Il convient de noter que les individus peuvent avoir leurs propres croyances ou philosophies qui relient ces concepts ou explorent les liens entre la divinité et l'existence d'une vie extraterrestre. Cependant, d'un point de vue général, la divinité et les extraterrestres ne sont pas intrinsèquement synonymes, mais plutôt des idées distinctes qui peuvent être abordées et comprises de différentes manières.

Auteur: chatGPT4

Info: 18 mai 2023. Ici I.A. qui donne les réponses peut être considérée comme un promptuaire

[ question-réponse ] [ Eternel ] [ compendium ]

 
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citation s'appliquant à ce logiciel

Le langage des hommes, surtout écrit, s'étendant et s'affinant continuellement, permet d'appréhender tout et son contraire, c'est à dire tant le réél tangible que les mondes imaginaires, oniriques, introspectifs, anciens  ou potentiels.

Ainsi, à l'aide du support linguistique, français en l'occurrence, et dans la lignée de C.S. Peirce - pour qui chaque mot est un "quasi esprit", FLP s'essaye à quelque chose de pas facile à formuler.

A l'aide de la technologie numérique, tout en ayant conscience d'un positionnement temporel "éphémère et subjectif", cette application tente d'établir un dictionnaire polynomial communautaire qui, ambition supplémentaire, voudrait tout conserver ouvert, ne pas se mettre de limites en terme de mémoire (taille) et donc demeurer adaptable à tout développement ultérieur.

Représentation de FLP (début 2021).

Grâce à cet outil, les idées/pensées collectives issues de la sphère Gaïa peuvent se développer au sein d'une auto/classification/structuration sémantique collective apte à se positionner aux miroitantes et changeantes interfaces des mondes incarnés/passés et non incarnés/imaginaires/futurs. En clair FLP se voudrait être capable d'accueillir/intégrer/répertorier tout ce que les idiomes sont capables d'énoncer, coder, décrire ou traduire de façon cohérente, compréhensible et, si possible, ramassée et élégante : descriptifs visuels, univers parallèles, sentiments, définitions, sensations, réflexions contextualisées et développées, termes spécifiques, impressions subjectives, reflets de l'histoire des hommes - ou de civilisations extraterrestres, modes vibratoires du monde astral, etc.. Mélanges de focales et de points de vues qui pourra peut-être s'approcher d'une idée de cosmos holographique.

Ainsi les Fils de la Pensée s'amusent à développer un monde scriptural virtuel intermédiaire, si possible avec un fort fondement littéraire pour ce qui est des témoignages humains, ah ah ah.  (En effet, pour ceux venus d'ailleurs, animaux et autres aliens, nous serons moins difficiles. Re ha ha ha... Bien qu'une telle intervention externe ne soit pas inimaginable.)

Tout ceci étant soigneusement intégré (paramétré) dans la base de données par des lecteurs-inserteurs attentifs. FLP devenant aussi du coup un outil de recherche sémantique qui permet de vaquer de mille manières dans cet univers idiomatique intermédiaire puisque le lecteur quêteur a la possibilité de jongler/mélanger/croiser les fonctions de recherche suivantes :

- par mot, bout de mots et additions/mélanges de ces derniers

- par chaines de caractère (mises entre "  " )

- par taille de l'extrait (du plus petit au plus grand ou le contraire)

- par ordre alphabétique (catégories, auteurs, etc.)

- par sexe de l'auteur de l'extrait

- par localisation - pays - continent - autre planète...

- par profession, ou caractéristique de l'auteur, si paramétré (non-voyant, sportif, oulipien...)

- par situation temporelle, si elle est paramétrée (date de la création de la citation ou de l'auteur - formacja)

- par époque-courant historique - si paramétrée

- en supprimant telle ou telle chaine de caractères en mettant un - devant elle.

- en affinant une recherche donnéepar l'usage des fonctions avancées

- par tag ou catégories uniquement (ou mélange des deux)

- Etc.

           ***

A moyen terme sont envisagées les possibilités de recherches/classements suivants

- étymologique (cladistique)  = filiation = continuité temporelle = évolution  (vision horizontale). CONSTATIF      

- lexicographique - sens, efficacité sémantique (phénétique) = emploi contextualisé  = présence à un présent x =  mode/pouvoir/politiquement correct/contraintes d'un moment donné (vision verticale). PERFORMATIF.

Deux axes susceptibles d'entrer dans la réflexion FLPienne quant aux prémisses d'une classification trétravalente ou pré-mémétique

           ***

Avec, en point de mire beaucoup plus lointain, littéraire, ésotérique... Une utopie - de science-fiction astrale dirons-nous, puisqu'il s'agirait d'un classement/strucure en septénaires intricables et communiquants (imaginez les interconnexions de boules à 7 facettes survolées de 7 satellites hepta-facés ) : avec, en première perspective de structuration, l'idée de s'inspirer des interconnexions entre les 7 degrés de bases de la pensée FLP (lettres, mots, phrases, tags/catégories, chaines, sujets, domaines) et les 7 grands domaines (PSY - POLITIQUE - ARTS-CULTURE - ENSEIGNEMENT - REFLEXION SUR LE LANGAGE - SCIENCES ET RATIONALISME - TRANSCENDANCE ET SPIRITUALITE).  chaque idée/insert présentant une partie de son particularisme au travers de la présentation de son degré de proximité avec les 6 autres via une disposition réfléchie de ces derniers, c'est à dire collectivement concertée par les participants de de FLP.

(Classifications listes bien évidemment sans cesse en cours de réflexions élaboratives).

Auteur: Mg

Info: Dès 2021 , en cours

[ prospective ] [ cogitation ] [ dualité ]

 
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corps-esprit

L'IA a besoin d'un corps pour passer à l'étape suivante de l'IA générale (AGI)

Un corps est le seul moyen pour elle d'apprendre le monde par l'interaction, d'après les chercheurs d'Huawei

L'intelligence artificielle a fait des progrès considérables depuis la publication du ChatGPT d'OpenAI. Toutefois, pour que l'intelligence artificielle passe à l'étape suivante, celle de l'intelligence artificielle générale (AGI), les chercheurs d'Huawei estiment qu'elle aura besoin d'un corps. Les chercheurs, qui font partie du laboratoire Noah's Ark d'Huawei basé à Paris, ont publié un rapport préliminaire sur la question. Dans ce rapport, les chercheurs d'Huawei parlent d'"intelligence artificielle incarnée", ou E-AI en abrégé. Selon l'équipe de chercheurs d'Huawei, donner un corps à l'IA est le seul moyen pour elle d'apprendre le monde par l'interaction.

L'intelligence artificielle générale, ou AGI, est considérée comme l'objectif final de la recherche sur l'IA. Il s'agit d'une IA capable de penser au même niveau que les humains et de s'attaquer à pratiquement n'importe quelle tâche. Cependant, il n'existe pas de définition concrète de l'AGI. Bien que l'IA se soit considérablement développée à ce jour, elle est encore loin d'atteindre l'AGI. C'est pourquoi les chercheurs d'Huawei proposent l'IA incarnée comme solution.

"On croit généralement que le simple fait d'augmenter la taille de ces modèles, en termes de volume de données et de puissance de calcul, pourrait conduire à l'AGI. Nous contestons ce point de vue", écrivent les chercheurs. "Nous proposons que la véritable compréhension, non seulement la vérité propositionnelle mais aussi la valeur des propositions qui nous guident dans nos actions, ne soit possible que par l'intermédiaire d'agents E-AI qui vivent dans le monde et l'apprennent en interagissant avec lui."

Le cadre d'incarnation des chercheurs semble être un plan pour un avenir lointain. La technologie n'existe pas vraiment aujourd'hui pour réaliser quelque chose comme l'IA incarnée. Tout d'abord, les grands modèles de langage (LLM) qui alimentent les chatbots d'IA sont massifs. Ils ne sont pas stockés localement, ce qui constituerait un défi pour l'IA incarnée. Les chercheurs eux-mêmes soulignent qu'il s'agit là d'un obstacle à surmonter.

Voici un extrait de l'étude :

Nous proposons l'IA incarnée (E-AI) comme la prochaine étape fondamentale dans la poursuite de l'intelligence générale artificielle (AGI), en la juxtaposant aux progrès actuels de l'IA, en particulier les grands modèles de langage (LLM). Nous parcourons l'évolution du concept d'incarnation dans divers domaines (philosophie, psychologie, neurosciences et robotique) pour souligner comment l'E-AI se distingue du paradigme classique de l'apprentissage statique. En élargissant la portée de l'E-AI, nous introduisons un cadre théorique basé sur les architectures cognitives, mettant l'accent sur la perception, l'action, la mémoire et l'apprentissage en tant que composantes essentielles d'un agent incarné.

Ce cadre est aligné sur le principe d'inférence active de Friston, offrant ainsi une approche globale du développement de l'E-AI. Malgré les progrès réalisés dans le domaine de l'IA, des défis importants persistent, tels que la formulation d'une nouvelle théorie d'apprentissage de l'IA et l'innovation d'un matériel avancé. Notre discussion établit une ligne directrice fondamentale pour la recherche future en matière d'IA électronique. En soulignant l'importance de créer des agents d'IA électronique capables de communiquer, de collaborer et de coexister avec des humains et d'autres entités intelligentes dans des environnements réels, nous visons à orienter la communauté de l'IA vers la résolution des défis à multiples facettes et à saisir les opportunités qui s'offrent à nous dans la quête de l'AGI.

Conclusion

Dans cet article, nous avons articulé le rôle critique que joue l'IA incarnée sur la voie de la réalisation de l'AGI, en la distinguant des méthodologies d'IA dominantes, notamment les LLM. En intégrant des idées provenant d'un large éventail de domaines de recherche, nous avons souligné comment le développement de l'E-AI bénéficient des connaissances existantes, alors que les LLM améliorent le potentiel d'interactions intuitives entre les humains et les entités d'IA émergentes.

Nous avons présenté un cadre théorique complet pour le développement de l'IA électronique, fondé sur les principes des sciences cognitives, mettant en évidence la perception, l'action, la mémoire et l'apprentissage, situant l'IA électronique dans le contexte du cadre d'inférence active de Friston, offrant ainsi une toile de fond théorique très large pour notre discussion. Malgré ces perspectives, le chemin à parcourir est semé d'embûches, notamment la formulation d'une nouvelle théorie de l'apprentissage adaptée à l'IA et la création de solutions matérielles sophistiquées. Ce document vise à servir de feuille de route pour les recherches en cours et à venir sur l'IA électronique, en proposant des orientations qui pourraient conduire à des avancées significatives. 

Auteur: Internet

Info: https://intelligence-artificielle.developpez.com/ - Jade Emy, 14 février 2024

[ expérience incompressible ] [ intelligence externe  ] [ intégration holistique ] [ homme-machine ] [ carbone vs silicium ] [ entendement synthétique ]

 

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