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religion

Pour les Navajo, les êtres surnaturels, dans le sens conventionnel du terme, n'existent pas. Ils entretiennent des relations très variées avec des phénomènes humains qui ne sont pas visibles, y compris avec ce que les Occidentaux désignent sous le terme de "fantômes". Mais dans l'esprit des Navajo, ces êtres sont des humains (ancêtres) qui ont pu, un jour, être visibles, mais qui ne le sont plus. De même, les Navajo n'ont pas de dieux. Ils ont ce qui a été traduit par cette expression d' "Êtres sacrés" (diyin dine'é) mais là encore, ceux-ci sont des individus qui ont un jour côtoyé les gens ordinaires (nihookaa dine'é) mais qui maintenant occupent de manière invisible les sites sacrés et autres parties éloignées de la terre Navajo. Il n'y a certainement pas, chez les Navajo, de dieu unique et primordial ou de grand Esprit qui serait la cause de tout. De même, il n'y a ni paradis ni enfer, et les récompenses d'une bonne vie sont dans sa longévité et sa beauté (sa'ah naaghai bikeh hozho). Une courte vie laide est une vie remplie de maux et de maladies. Aux yeux des Navajo, c'est la manifestation d'une vie qui n'aurait pas été suffisamment attentive à l'ordre local.
Chez les Navajo, la causalité est entre les mains des individus.

Auteur: Crossman Sylvie

Info: Hozho, peintures de guérison des Indiens Navajo p. 45 et 46

[ animisme ] [ amérindien ]

 

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novlangue

(Parlant du langage utilisé au sein de l'entreprise)
Cette langue obéit à cinq règles de base :
L'entreprise fait compliqué quand on peut faire simple. Elle utilise " initialiser " à la place de commencer, verbe qui fait beaucoup trop trivial, " finaliser" au lieu du très ordinaire finir, et " positionner " pour le terre-à-terre placer.
Elle choisit son vocabulaire de façon à se donner plus d'importance qu'elle n'en a réellement. " Coordonner ", " optimiser ", sont plus porteurs qu'" exécuter ". Mais c'est " décider " qui trône au panthéon des verbes, d'une courte tête devant " piloter " ou " chapeauter ". Elle ne lésine pas sur les mots en " ence " : pertinence, compétence, expérience, efficience, cohérence, excellence, tous ces mots donnent en apparence de l'importance.
Elle considère la grammaire comme une vieillerie obsolète. Elle abuse des circonlocutions, boursoufle la syntaxe, se revêt de toute une quincaillerie de termes techniques et administratifs, et malmène les mots. Car elle sait dévoyer le français avec maestria: l'entreprise aime les barbarismes. Par exemple, "décliner" n'est pas employé dans son sens usuel; quand on décline un logo, un message, une valeur, cela ne signifie pas qu'on les abaisse, mais qu'ils sont adoptés par d'autres instances, situées en dessous. De même, le très usité " solutionner ", qui remplace sans coup férir résoudre, est d'autant moins français qu'il donne une vraie prestance de cadre.

Auteur: Maier Corinne

Info: Bonjour paresse, De l'art et la nécessité d'en faire le moins possible en entreprise

[ branché ]

 

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reproduction

Pour la biologie moderne, tout être vivant se forme par l'exécution d'un programme inscrit dans ses chromosomes. Chez les organismes sans sexe, se reproduisant par exemple par fission, le programme génétique est exactement recopié à chaque génération. Tous les individus de la population sont alors identiques, à l'exception de quelques rares mutants. De telles populations ne peuvent s'adapter que par sélection de ces mutants sous la pression du milieu. En revanche, dès lors que la sexualité devient condition nécessaire de la reproduction, chaque programme est formé, non plus par copie exacte d'un seul programme, mais par réassortiment de deux programmes différents. En conséquence, chaque programme génétique, c'est-à-dire chaque individu, devient différent de tous les autres, à l'exception des jumeaux identiques. Chaque enfant conçu par un couple donné est le résultat d'une loterie génétique. [...] Le réassortiment du matériel génétique à chaque génération permet de juxtaposer rapidement des mutations favorables qui, chez les organismes dépourvus de sexualité, resteraient séparées. Une population pourvue de sexualité peut donc évoluer plus vite qu'une population qui en est dépourvue. A long terme, les populations sexuées peuvent survivre là où s'éteindraient des populations asexuées. De plus, les organismes à reproduction sexuée offrent une plus grande diversité de phénotypes dans leur descendance. A court terme, ils ont donc plus de chances de produire des individus adaptés aux conditions nouvelles créées par des variations de l'environnement. La sexualité fournit ainsi une marge de sécurité contre les incertitudes du milieu. C'est une assurance sur l'imprévu.

Auteur: Jacob François

Info: Le jeu des possibles, Fayard 1981<p.23-25>

[ adaptation ]

 

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asservissement

Nous estimons que la dette s’analyse d’abord de par son origine. Les origines de la dette remontent aux origines du colonialisme. Ceux qui nous ont prêté de l’argent, ce sont eux qui nous ont colonisés. Ce sont les mêmes qui géraient nos économies. Ce sont les colonisateurs qui endettaient l’Afrique auprès des bailleurs de fond, leurs frères et cousins. Nous sommes étrangers à la dette. Nous ne pouvons donc pas la payer.

La dette c’est encore le néo-colonialisme ou les colonialistes qui se sont transformés en "assistants techniques". En fait, nous devrions dire en assassins techniques. Et ce sont eux qui nous ont proposé des sources de financement, des "bailleurs de fonds". Un terme que l’on emploie chaque jour comme s’il y avait des hommes dont le "bâillement" suffirait à créer le développement chez d’autres. Ces bailleurs de fonds nous ont été conseillés, recommandés. On nous a présenté des dossiers et des montages financiers alléchants. Nous nous sommes endettés pour cinquante ans, soixante ans et même plus. C’est-à-dire que l’on nous a amenés à compromettre nos peuples pendant cinquante ans et plus.

La dette sous sa forme actuelle est une reconquête savamment organisée de l’Afrique, pour que sa croissance et son développement obéissent à des paliers, à des normes, qui nous sont totalement étrangers. Faisant en sorte que chacun de nous devienne l’esclave financier, c’est-à-dire l’esclave tout court, de ceux qui ont eu l’opportunité, la ruse, la fourberie de placer des fonds chez nous avec l’obligation de rembourser.

Auteur: Sankara Thomas

Info: Anthologie des discours de T. S., 29 juillet 1987, pp. 166-167

[ mammon impérialiste ] [ machiavéliques créanciers ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

psychanalyse

Revenons maintenant au livre qu'on appelle : La science des rêves (Traumdeutung), mantique plutôt, ou mieux signifiance.

Freud ne prétend pas du tout y épuiser du rêve les problèmes psychologiques. Qu'on le lise pour constater qu'à ces problèmes peu exploités (les recherches restent rares, sinon pauvres, sur l'espace et le temps dans le rêve, sur son étoffe sensorielle, rêve en couleur ou atonal, et l'odorant, le sapide et le grain tactile y viennent-ils, si le vertigineux, le turgide et le lourd y sont?), Freud ne touche pas. Dire que la doctrine freudienne est une psychologie est une équivoque grossière.

Freud est loin d'entretenir cette équivoque. Il nous avertit au contraire que dans le rêve ne l'intéresse que son élaboration. Qu'est-ce à dire? Exactement ce que nous traduisons par sa structure de langage. Comment Freud s'en serait-il avisé, puisque cette structure par Ferdinand de Saussure n'a été articulée que depuis? Si elle recouvre ses propres termes, il n'en est que plus saisissant que Freud l'ait anticipée. Mais où l'a-t-il découverte? Dans un flux signifiant dont le mystère consiste en ce que le sujet ne sait pas même où feindre d'en être l'organisateur.

Le faire s'y retrouver comme désirant, c'est à l'inverse de l'y faire se reconnaître comme sujet, car c'est comme en dérivation de la chaîne signifiante que court le ru du désir et le sujet doit profiter d'une voie de bretelle pour y attraper son propre feed-back.

Le désir ne fait qu'assujettir ce que l'analyse subjective.

Auteur: Lacan Jacques

Info: La direction de la cure et les principes de son pouvoir

[ courants contradictoires ] [ effets ]

 
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philosophie

Ce qui est unique à l'Hégélianisme, c'est la temporalité de son processus logique : en d'autres termes, le premier choix est toujours le mauvais choix mais il faut pourtant commencer par lui pour pouvoir créer ensuite les conditions idéales pour faire émerger le bon choix. Voilà donc la clé pour comprendre l'attrait de Hegel pour la révolution Française et l'Etat rationnel auquel il aspirait alors que tous ses contemporains déclaraient eux, 1789 comme étant une bonne chose et, 1793 comme une catastrophe; selon eux, il aurait donc fallu s'arrêter au libéralisme de la première phase et éviter ainsi la terreur Jacobine de la seconde. 



Mais Hegel avait justement saisi toute la nécessité de passer par la Terreur Jacobine ; pourtant, il ne proclame pas pour autant qu'il y ait alors trois options possibles, c'est-à-dire : soit le conservatisme pour préserver ainsi l'Ancien Régime; soit le libéralisme pour changer modestement la donne ; soit verser purement dans le fanatisme Jacobin... Pour Hegel, ces trois choix existent bel et bien mais pas en même temps !



Bien évidemment, Hegel a toujours fait la juste critique de la Terreur Jacobine mais pour lui, le choix initial entre l'Ancien Regime et la Terreur Jacobine fut nécessaire pour pouvoir révéler plus tard le second choix: soit rester coincé au coeur de cette terreur autodestructrice, soit la surmonter pour parvenir à un état rationnel. Il était impossible de court-circuiter la temporalité en sautant directement de l'Ancien Régime à l'Etat rationnel. 



Pour Hegel, oui la Terreur Jacobine fut un détour effroyable mais c'est elle qui indirectement, à travers son propre dépassement, put alors donner naissance à l'Etat rationnel [Napoléonien].

Auteur: Zizek Slavoj

Info:

[ erreur créatrice ] [ révolution française ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

écologie

Dans le rapport rendu public lundi 8, les quelques centaines d'experts mondiaux du climat réunis au sein du Giec se livrent à un exercice pédagogique des plus distrayants. Voici le monde tel qu'il sera si le réchauffement se limite à 1.5°C, avancent-ils. Et voici comment il sera s'il atteint 2°C. Quelques centigrades de plus ou de moins, et tout change. Exemple : à 2°C, le niveau des mers gagne 10 centimètres, et ce sont 10 millions de personnes qui se retrouvent à la rue [...]. A 2°C, seulement 5.5% du globe reste zone refuge pour les espèces vivantes (alors que ce chiffre grimpe à 14% si on limite le réchauffement à 1.5°C).
[...]
Le message est clair : il faut se bouger, et vite. Pour tenir l'objectif, faire baisser de 45% les émissions de gaz carbonique d'ici à 2030. Et ce n'est pas de la tarte !
[...]
Les recettes magiques sortent donc du chapeau : pour commencer, planter des forêts, et des mangroves, et des espèces végétales ad hoc qui capteront le carbone. Mais, surtout, proposent certains joyeux géo-ingénieurs, mieux vaut continuer de vivre comme aujourd'hui, en jetant le CO2 par les fenêtres, puis le capter, le piéger, le comprimer et le stocker en profondeur.
Certes, on ne sait pas encore faire. Il y aura des fuites. Personne ne voudra vivre à côté de ces bombes à retardement. Mais c'est la voie que prônent, notamment, les Américains. Lesquels ont dénoncé l'accord de Paris et comptent bien devenir les champions du stockage.
[...] Apprenons donc vite à stocker : aménageons pour cela nos anciennes mines, nos grottes, nos catacombes... Et nos arrière-petits-enfants n'auront qu'à se débrouiller !

Auteur: Porquet Jean-Luc

Info: A nous deux, Celsius, Le Canard Enchaîné, n° 5110, mercredi 10 octobre 2018

[ cynisme ] [ court terme ] [ solutions miracles ]

 
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rationalisation technicienne

A chacun, il devrait être possible d’aller jusqu’au terme de son "capital" biologique, de jouir "jusqu’au bout" de sa vie, sans violence ni mort précoce. Comme si chacun avait son petit schéma de vie imprimé, son "espérance normale" de vie, un "contrat de vie" au fond – d’où la revendication sociale de cette qualité de vie dont fait partie la mort naturelle. Nouveau contrat social : c’est toute la société, avec sa science, sa technique, qui devient solidairement responsable de la mort de chaque individu. Cette revendication peut d’ailleurs impliquer une mise en cause de l’ordre existant, du même type que les revendications salariales et quantitatives : c’est l’exigence d’une juste durée de vie, comme d’une juste rétribution de la force de travail. Pour l’essentiel, ce droit, comme tous les autres, cache une juridiction répressive. Chacun a droit, mais en même temps devoir de mort naturelle. Car celle-ci est la mort caractéristique du système de l’économie politique, son type de mort obligé :


  1. Comme système de maximisation des forces productives [...].

  2. Bien plus important : que chacun ait droit à sa vie (habeas corpus – habeas vitam) – c’est la juridiction sociale étendue à la mort. La mort est socialisée comme tout le reste : elle ne peut plus être que naturelle, car toute autre mort est un scandale social : on n’a pas fait ce qu’il fallait. Progrès social ? Non : progrès du social, qui s’annexe même la mort. [...] Le principe de la mort naturelle équivaut à une neutralisation de la vie tout court. De même pour la question de l’égalité devant la mort : il faut réduire la vie à la quantité (et donc la mort à rien) pour l’ajuster à la démocratie et à la loi des équivalences. 

Auteur: Baudrillard Jean

Info: Dans "L'échange symbolique et la mort", éditions Gallimard, 1976, pages 266-267

[ société de contrôle ] [ gestion ] [ survie ]

 

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citation s'appliquant à ce logiciel

Nouvel outil qui privilégie la lecture courte, le surf sur des idées ou des concepts, la découverte d'embranchements inattendus, de synonymes étonnants, d'auteurs nouveaux, d'un vocabulaire singulier... On peut s'y promener sur un mot, plusieurs mots, un auteur, une période-époque, une profession, un pays, un continent... et toutes les possibilités de mélanges de ces termes-paramètres.
Bref "lire comme avant" disparaît puisqu'on peut choisir et affiner un sujet - sans être simplement guidé par un auteur qui vous mène où il veut. Et donc rester AUSSI à la merci de ses propres instincts, amusements, curiosités...
De manière plus réflexive, pour ceux que "le sens" amuse ou intéresse, les extraits et leur étiquetage demanderont parfois, souvent... idéalement : une relecture. (Voire un retour en arrière sur des extraits précédents, chose aisée avec l'informatique.)
Ici - ce qui fera le bonheur des concepteurs de cette application - le lecteur/miroir, titillé, tente alors de "se situer" par rapport à l'extrait.
Donc s'arrête, médite. Le "sens" ? Que ce soit d'un mot, d'une phrase... Suis-je en accord ou pas ? Pourquoi ? Quelles sont les nuances que j'aurai envie d'apporter à tel ou tel extrait/formulation - ou à son étiquetage .... s'y j'y songe ?...
Délibération personnelle qui pourra amener à proposer une autre citation pertinente en regard de l'extrait, et pourquoi pas ensuite s'amuser à construire une chaîne pour tenter de développer, d'articuler, cette réflexion.
Mieux encore : le participant en vient à formuler sa propre pensée, pour l'intégrer dans la chaîne - après son acceptation par la modération du site bien sûr. (Sous-entendu : si la réflexion en cause est une redite, il vaut mieux user de la formulation originale, ou antérieure, pour compléter la chaîne en question.)
Là nous semble se profiler l'embryon d'une réflexion collective.

Auteur: Mg

Info: 8 juillet 2017

[ réfléchir ] [ révasser ]

 

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spéculation

Cependant, si les extraterrestres vivaient réellement dans ou au contact des trous noirs, nous n'aurions aucune chance de les détecter, tout simplement parce qu'ils n'émettraient aucune lumière. Malgré tout, dans un esprit scientifique, je suis allé voir de plus près où étaient observés les quelques trous noirs stellaires confirmés. J'ai alors réalisé qu'ils n'étaient pas isolés, mais se trouvaient dans des systèmes d'étoiles binaires. J'ai commencé à explorer avec fascination les microquasars et progressivement la variété des systèmes d'étoiles binaires en accrétion. Ces systèmes m'ont immédiatement frappé par le fait qu'ils présentaient toutes les caractéristiques du métabolisme. Le métabolisme nécessite un flux d'énergie, le maintien d'une organisation interne et l'exportation d'entropie. Toutes caractéristiques qui semblaient être présentes dans certains de ces systèmes binaires. J'ai inventé le terme "starivore" (un mot hybride de l'anglais star ; et du latin vorus) en raison de sa proximité avec le mot "carnivore".  Mais depuis août 2015, je préfère désormais utiliser le terme stellivore (du latin stella et vorus). Même si l'idée s'avère fausse, elle a peut-être influencé Disney et la base Starkiller dans Star Wars : The Force Awakens...

(Illustration : photo d'un colibri se nourrissant d'une fleur en plein vol) L'oiseau colibri nectarivore à haute énergie se nourrit de l'énergie stockée dans les tournesols.  La civilisation extraterrestre stellivore à haute énergie se nourrit de l'énergie stockée dans les étoiles. Vrai ou faux ? )

Ces systèmes pourraient-ils être des êtres vivants avancés ? Pourraient-ils être des cerveaux super globaux utilisant activement l'énergie stellaire ? L'exploration de ces questions ne fait que commencer, et mes réflexions actualisées se trouvent dans le chapitre 9 de mon livre de 2014 : "Astrobiologie à haute énergie". Un court article de 2016 résume l'argument : Stellivore Extraterrestrials? Binary stars as living systems. Bien sûr, prouver l'existence d'une organisation interne dans une naine blanche, une étoile à neutrons ou un trou noir reste une question clé ouverte.

Auteur: Vidal Clément

Info: extrait de sa bio sur http://www.clemvidal.com/

[ analogie bio-cosmologique ]

 

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