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humour

anoname: Moi perso, j'ai eu la première aprèm' pour apprendre les secours d'urgence aujourd'hui, le mec (jeune, 28 ans, beau gosse quoi) me choisi comme victime pour expliquer la manoeuvre de Heimlich (compression abdominale quand on s'étouffe), du coup il me met dos a son ventre, il baisse le haut de mon corps (exactement la position pour me baiser en gros)..
anoname: Là, il me sort "t'inquiète je suis hétéro", j'ai frôlé le fou rire en disant "pas moi" et les autres en face aussi.

Auteur: Internet

Info:

[ secourisme ] [ dialogue-web ] [ homo ]

 

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USA

Personne ne pouvait souffrir les Américains. Tout le monde les injuriait et les maudissait. C'étaient des voleurs prêts à vous trancher la gorge, des usuriers qui voulaient transformer en dollars les soucis et les larmes des pères et des mères français survivants, parce qu'il leur en fallait toujours plus, alors qu'ils croulaient déjà sous l'or. (...) D'abord ils volent le pays aux pauvres Indiens et, une fois qu'il est à eux, ils ne laissent plus entrer personne et s'étouffent dans leur graisse, ces maudits chiens.

Auteur: B.Traven

Info: Le vaisseau des morts 1926

[ dénigrés ] [ haine ] [ colonialisme ] [ impérialisme ]

 

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anti-américanisme

Personne ne pouvait souffrir les Américains. Tout le monde les injuriait et les maudissait. C'étaient des voleurs prêts à vous trancher la gorge, des usuriers qui voulaient transformer en dollars les soucis et les larmes des pères et des mères français survivants, parce qu'il leur en fallait toujours plus, alors qu'ils croulaient déjà sous l'or. (...)

D'abord ils volent le pays aux pauvres Indiens et, une fois qu'il est à eux, ils ne laissent plus entrer personne et s'étouffent dans leur graisse, ces maudits chiens. 


Auteur: B.Traven

Info: Le Vaisseau des morts - Histoire d'un marin américain, 1926

[ état-unis dénigrés ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

éloignement

C’est contre une injonction précise que je m’érige : faire des efforts, encore, toujours. Tout est question d’efforts. Lorsqu’on est un jeune adulte, il faut se trouver un but dans sa vie, il faut réussir, se poser avec femme et enfants, cultiver une vie mondaine. Mais pourquoi est-ce devenu obligatoire ?... Rester chez moi comme j’aspire à le faire est aussi un mode de vie. sans certitude que mon bonheur soit dans la réclusion, j’ai en tête une vie entrecoupée de retraites entre quatre murs. Ce besoin n’est-il pas naturel chez l’homme ?

Auteur: Saada Andréas

Info: Dans "En retrait du monde, je suis un hikkikomori", page 91

[ conformité sociale ] [ étouffement ] [ fuite ] [ refus social ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

question

Ne peut-on considérer [...] comme le suggère Karl Popper, que la télévision, le média politiquement et techniquement le plus puissant, a pris de nos jours la place de Dieu ? Dans notre civilisation où le bruit règne en maître, le sacré semble se réfugier dans l'écoute d'une télévision, dont le bavardage impose le silence à tous et étouffe la Parole de Dieu. La télévision ne s'octroie-t-elle pas également l'ubiquité divine, en nous transportant, dans une immédiateté et une transparence apparentes, au coeur même des événements dont elle prétend nous faire les contemporains ?

Auteur: Naveau Étienne

Info: La foule, c'est le mensonge, Kierkegaard, p.20, Pleins Feux, coll. Variations, 2002

[ TV ] [ abrutissement ]

 

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nationalisme

Le génie de la France sommeillait sur un oreiller de vipères. Il semblait qu'il allât périr, étouffer dans les noeuds dégoûtants de la guerre civile. Mais les cloches sonnent le tocsin, et voici que le dormeur se réveille dans un élan d'amour. Catholiques, protestants, israélites, socialistes, traditionalistes soudain laissent tomber leurs griefs. Les couteaux de la haine, par enchantement, disparaissent. L'innombrable querelle sous le ciel livide fait silence. Chacun dit : "Je ne me mettrai pas ne fût-ce par une pensée secrète, en travers de rien qui travaille au salut de la patrie.

Auteur: Barrès Maurice

Info: Les diverses familles spirituelles de la France, 1917

[ Gaule ]

 

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femmes-hommes

Selon moi, l'essor du patriarcat moderne a eu tendance à mutiler le principe féminin dans toute sa plénitude et a notamment tenté de le refouler complètement chez l'homme. Dans une certaine mesure l'essor d'un type masculin de connaissance, de production et de domination a permis de détruire ce qui était essentiel à la société - aux hommes comme aux femmes. Heureusement, les patriarches qui s'imaginent gouverner des êtres dociles (femmes et nature) n'ont jamais réussi à éliminer tout à fait cette force vitale. Ils ont pu la déformer, l'étouffer, mais jamais la détruire tout à fait.

Auteur: Shiva Vandana

Info: Courrier de l'Unesco, Mars 92

[ civilisation ] [ vingtième siècle ]

 

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solitude

Cinq heures, c'est l'heure de ma dépression. Parce que la journée active est terminée durant laquelle je mets au pas et conquiers mes désillusions ou mes déceptions. Mais cinq heures, c'est l'heure fatidique, la fin du travail, le commencement de la prise de conscience, alors que les autobus sont tellement bondés que l'on ne peut monter, que tout le monde se dirige vers un but, que les amants se sont choisis. C'est alors, au coin de la rue, incapable de rentrer chez moi, que je sens cette vague d'angoisse qui m'étouffe, je suis échouée, déracinée, seule.

Auteur: Nin Anaïs

Info: Journal IV 1944-1947, Novembre 1946, Stock, 1975, p.203

[ décompression ] [ déprime ]

 

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pénitencier

Sinistres pontons ! Si, pendant tout le XIXe siècle, les marins français ont gardé si forte la haine de l’Anglais, c’est par mémoire des pontons. Les pontons sont de vieux navires sans mâture, mouillés ou embossés dans la rade de Portsmouth, à plusieurs milles de la terre. Les marins n’aiment déjà pas être en rade. La vie des prisonniers, enfermés dans l’entrepont, est atroce. Le jour, les sabords sont ouverts, et l’on s’achète fort cher – si l’on a de l’argent - une place auprès d’eux ; la nuit, ils sont fermés, on étouffe dans la puanteur.

Auteur: Merrien Jean

Info: Corsaires et flibustiers,p. 307-308

[ batellerie ] [ souffrance ] [ maritime ]

 

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pouvoir

Celui qui veut mettre les nations sous le joug n'aura qu'à faire naître des besoins que lui seul puisse satisfaire. Érigez en corps hiérarchique la tribu mercantile, c'est-à-dire donnez-lui quelque rang, quelque autorité dans le gouvernement; et vous aurez créé avec ce corps la puissance peut-être la plus redoutable, la plus despotique. Vous la verrez faire la loi à l'univers ; et d'elle seule dépendra peut-être l'indépendance d'une partie du monde, l'esclavage de l'autre. Car celui-là est maître, qui peut susciter ou prévoir, étouffer, affaiblir ou satisfaire le besoin. Eh ! Qui le pourra mieux que les marchands ?

Auteur: Weishaupt Adam

Info: La Guerre occulte, les sociétés secrètes contre les nations, cité par Paul Copin-Albancelli, éd. Perrin et Cie, Paris, 1925, chap. XII, p. 240

[ caché ] [ dissimulation ]

 

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